 Le Faux Rhum
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Faye |
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Posté le 24/11/2019 à 12:57:56
Passer les derniers mois avec Andras et Renat, c'était chouette. L'arrivée de Mademoiselle, bien que perturbante, était chouette aussi. La galloise, d'abord sur la défensive, par rapport à leur dernière discussion lors des duels à Port-Louis, s'était mise à l'apprécier beaucoup.
Puis, comme elle arborait à présent le bandeau français, elle s'était présentée en tant que Générale, pour soutenir la volonté d'apaisement de Shadow. Et elle avait laissé Andras et Renat pour venir se préoccuper des affaires militaires, Mademoiselle étant venue avec elle.
Il y avait eu ces étranges trous dans le sol, qui menait à "En bas", comme l'appelait la petite Alice. Il y avait eu ces épreuves, données par le squelette qui se faisait appeler Jack. Ou Jack'O, comme l'appelait la petite Alice. Il y avait eu des combats, dans la joie et la bonne humeur, des chasses à la citrouille, aux bonbons, aux morceaux de Jack'O. Il y avait eu plein de monde, et Faye en était heureuse.
A un moment, la galloise avait perdu Mademoiselle de vue. Il faut dire qu'il y avait tant de personne qu'elle connaissait, et appréciait, qu'elle n'avait pas beaucoup de temps à consacrer à l'adolescente. Mais elle avait prévenu. Elle n'était pas exclusive. Et elle ne pouvait pas se consacrer entièrement à une seule personne. Elle espérait que la française pourrait régler son problème de jalousie. Elle la voyait travailler dessus, en tout cas, et avait bon espoir.
Et puis il y avait Cendre aussi. Un petit bout d'aventurier adorable pour lequel la brunette s'était prise d'affection à mesure qu'ils se voyaient. Elle avait adoré, avec l'aide de Caitlin, lui confectionner un costume de Dragon, pour le jeu de Jack'O. Et puis elle avait fini par le perdre de vue aussi.
Finalement, lorsqu'elle était ressortie du monde souterrain, la courtisane s'était décidée à aller rejoindre Mademoiselle à la grotte aux esprits. Elle y était presque, d'ailleurs, quand elle avait appris le décès du capitaine de la Chimère. Si elle avait eu quelques soucis avec le sorcier qu'il était devenu, elle avait vraiment apprécié Nico quand elle l'avait rencontré. Elle avait d'ailleurs toujours gardé l'espoir qu'il soit toujours là, au fond, sous les influence maléfiques. Sa disparition était triste. Tragique. Et Faye ne pouvait pas ne pas aller lui rendre hommage.
Si elle ne se sentait pas forcément autorisée à se sentir triste, parce qu'il est vrai qu'elle ne le connaissait pas comme les autres pirates, elle voulait quand même faire acte de présence. Et, surtout, elle voulait soutenir ses amis. Alors elle avait fait demi-tour, envoyant un message à Mademoiselle pour la prévenir, et elle avait pris la direction de la crique pirate. Andras et Renat l'avait rejointe, de même que Cendre et Jax.
L'hommage avait été rendu, et les paroles de Madre Anna étaient touchantes. La tristesse qui émanait d'elle était palpable, vibrante. Et la galloise était encore plus touchée par cela en sachant que ce n'était pas la première disparition de l'équipage de la Chimère.
Après cela, la brune était partie essayer de reprendre l'avant-poste français, pour faire son devoir de Général. Mais tout ne s'était pas déroulé comme prévu. Au petit matin, ou au milieu de la nuit selon comment on voyait les choses, Mademoiselle était arrivée, réveillant la brune par ses paroles. Décontenancée par la présence d'oreilles de lapins, et par la chevelure blonde qu'elle arborait, la galloise n'a pas réagi. Et les coups de feu ont retenti, chaque balle atteignant sa cible. Jusqu'à ce qu'elle perde connaissance, et ne se réveille que le lendemain, aux bons soins des infirmières.
Perturbée, se sentant trahie, la courtisane n'était pas vraiment prête à revoir Mademoiselle. Alors, quand celle-ci est arrivée à l'hôpital ensuite, elle l'a ignorée. Elle a pris de la distance, revenant au vouvoiement. Et plus la blonde insistait, plus la brune se rétractait.
La vie continuait, et la galloise faisait son possible pour être à la hauteur de son poste de Général. Elle est venue défendre l'avant-poste qui avait été repris. Elle a même dirigé l'escouade vers la Madone, pour aller nettoyer les tapis espagnol, avant de repartir. Et, toujours, elle restait distante vis-à-vis de Mademoiselle. Elle restait froide, et même l'afflux de souvenirs et d'émotions -que la blonde lui avait transmis- ne firent rien pour changer cela. Parce qu'elle ne voulait pas s'y attarder pour le moment, pansant ses plaies. Parce qu'elle voulait savoir où elle en était, ce qu'elle ressentait, à l'encontre de la française. Parce que plus celle-ci insistait, lui tirait dessus, moins elle se sentait encline à le faire.
En plus, elle avait d'autres choses en tête que la jalousie et les caprices d'une adolescente, fut-elle affublée d'une paire d'oreilles de lapin. Mademoiselle n'était pas le centre de son monde, et son insistance brutale ne faisait rien pour l'aider.
Tout en répondant aux missives de Cendre, et en s'inquiétant pour la santé de Jax concernant ce que lui rapportait le jeune aventurier, la courtisane se repassait aussi en tête les paroles de Red Frag. « Heureusement que Faye est toujours bien placée, c'est une amie de la famille tu sais. » Ces mots flottaient en boucle dans son esprit. Elle était flattée, bien entendu. Elle appréciait beaucoup Frag. Il était gallois, comme elle, il avait été un soutien et un modèle, lorsqu'ils étaient tous les deux sous le bandeau anglais, et il avait toujours été bon envers elle, de manière générale. La question de Cendre, qui suivit, était légitime cependant. « La famille d'qui ? La famille Pirate ? » Faye, quant à elle, songeait plutôt à leurs origines communes. Mais il est vrai qu'elle appréciait globalement tout l'équipage pirate. Bon, elle ne connaissait pas vraiment Marco Gemini, mais elle le respectait. « La nôtre mon bon Cuyer, la nôtre... et aussi un peu celle des pirates. Bien sur c'est également une compatriote du Pays de Galles, et de New Kingston ici... ça fait un bout de temps qu'on se connait », fut la réponse de Frag. Et tout cela était vrai. Et la courtisane s'était sentie heureuse. Les CULs étaient devenue sa famille, elle, l'orpheline devenue prostituée. Et elle était heureuse d'avoir des amis, et d'être considérée comme telle.
La douce chaleur que produisait les paroles de Frag en elle ne s'en était pas allée. Malgré les interruptions de ses pensées par Mademoiselle, elle était toujours là. Elle était fière d'être considérée comme une amie de Frag, de sa famille quelle qu'elle soit. Elle était heureuse, honorée. D'ailleurs, elle réfléchissait à lui envoyer une lettre. Parce que Cendre lui avait dit qu'il lui avait dit être à l'hôpital, et qu'elle s'inquiétait. Et parce qu'elle voulait lui dire aussi à quel point ses paroles l'avaient touchée. |
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Posté le 02/12/2019 à 21:39:52. Dernière édition le 02/12/2019 à 21:40:26
El Renat après avoir assisté aux funérailles de Nico, avait décidé de se retirer un peu de la vie active de la guilde.
Quelque chose avais changé depuis que Mademoiselle avait fait son passage au sein des CULs.
La jolie Faye participait maintenant à des actions et tuait même de temps en temps... Andras se morfondait dans son coin en manque de câlins et l'Ermite ne trouvait plus la sortie du temple.
La visite du territoire hollandais avait été des plus expéditive, le gouvernement ne faisant qu'une faible confiance aux espagnols malgrés un comportement exemplaire de l'ex-amiral. La suite alla bon train, le labyrinthite, la distillerie et enfin Port Louis ou il fût accueillis chaleureusement mais pas forcement au bon moment.
Le regard un peu embué après une nuit à la fleure bleu il avait découvert le pillage de la ville quand l'intendant était venu le tirer de son sommeil.
heureusement Claris plaida sa cause en justifiant ça présence toute la nuit à ces cotés.
Relisant une vielle note dans ces poches, le petit Tigre quitta la fière cité puis ce dirigea l’œil sombre vers la Prison... |
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Posté le 15/12/2019 à 20:54:36
El Renat avait fini son tour de l'ile et les bénéfices furent à la hauteur de ses espérances. Fatigué, éreinté, l'espagnol se laissa sombrer dans l'alcool facile à la taverne. drôle de coup du sort, à son réveil l'ex amiral dans une brume comateuse avait tout oublié, jusqu’à son propre nom!
Perdu, un peu agars il vit arrivé une bande de joyeux luron dont une señorita à la chevelure un peu particulière. Ha! El Renat, qu'est ce que tu fais là?
C'était donc mon nom?! Après quelques rasades de plus en agréable compagnie l'espagnol décida donc de suivre la petite troupe, de toute façon ne connaissant plus personnes c'était la meilleur solution, peut être que la mémoire reviendrai!
"Jessie, Ten, papi ... attendez moi!" |
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Posté le 22/12/2019 à 11:51:58. Dernière édition le 22/12/2019 à 11:55:01
El Renat assis au comptoir, encore maculé de sang séché se tenait la tête devant un verre vide. Tout se mélangeait dans ses pensées, les derniers jours avaient été d'une violence extrême, l'attaque de port Louis le sabre au clair coupant et tirant sur tous ce qui bougeait; la prise de la tour hollandaise avait été le summum des atrocités, l'espagnol revoyait les têtes explosées par ses balles, les corps découpés des corsaires hollandais, la petite alice baignant dans le sang de ses compagnons ...
Ces visions le hantait maintenant.
Des brides de souvenirs ré-apparurent, cela avait commencé au moment ou l'espagnol enfonçait son sabre dans le ventre de Kalliopée, là son visage lui était apparu comme flouté, d'une autre époque.
A l'hôpital, des images troublantes; une brunette anglaise avec un petit louveteau accompagné d'un corsaire espagnol; un bandeau noir et la silhouette grâcieuse d'une femme, son corps nu couvert de cicatrices.
Et puis cette lettre ce matin d'une certaine Faye, ancienne générale française ... qu'avais-je donc fait ... Piller les français et apparemment leur ex-générale le connaissait si bien.
Ne sachant plus qui il était, El Renat décida de se retrancher loin de tout en attendant que cette mémoire si défaillante lui revienne enfin. |
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Posté le 05/01/2020 à 12:44:15. Dernière édition le 05/01/2020 à 12:44:41
C'était vraiment la merde. Les 4 Lunes étaient à sa recherche, et la galloise n'avait pas de réponses quant au pourquoi, elle ne pouvait que théoriser. Etait-ce parce qu'elle avait été présente pour délivrer Rodrigo et Valakas ? Pour la prime que quelqu'un avait mis sur sa tête ? Pour une autre raison ?
Le plan de se déguiser en Jessie pour les éviter avait du plomb dans l'aile. Mais elle était plutôt fière des transformations physiques. Elle luttait jour et nuit pour les conserver, mais ça avait de l'allure. Sauf que la gitane, Rak Li, semblait voir au-travers du glamour. Que Patator et Branlouz avaient des doutes. Nick aussi, peut-être ? Plus le temps passait, et plus c'était risqué. Heureusement que Jacquot veillait à ce qu'il n'y ait pas de grabuge.
Adopter le caractère de l'espagnole, en revanche, c'était une autre paire de manche. C'était même une torture, de ne pas pouvoir être soi-même, et la galloise rongeait son frein, ayant confiance en ses proches. Mais l'idée de s'éclipser, et de prendre une autre apparence, tournait dans sa tête. Ce serait épuisant, sans doute. Ce serait risqué aussi. Mais moins que d'être Jessie ? Cela restait à voir. Elle y songeait quand même sérieusement, depuis quelques heures.
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Posté le 10/03/2020 à 20:55:49. Dernière édition le 10/03/2020 à 20:56:07
Tout ça avais commencé lors de nos excursion de groupe de la Guilde du Cul.
La bonne époque, tous nos compagnons était encore en vie et plein d'entrain même si cela marquai le début de la fin de cet ère d'insouciance.
Nous étions tous parti pour la capitainerie afin de nous entrainer à rosser du pirate de petite vergogne, rien a voir avoir la chimère, qui eux sont un peut plus coriaces ...Ou tendre , a voir.
Les journées passaient longues et monotone jusqu'au jour ou rassasier nous nous dispersâmes à travers le dédale des mines.
C'est a ce moment là que tout bascula, le moment même ou en parlant à Otah El Renat trébucha sur un objet enterré.
Un crâne brillant et étincelant, cela devait bien avoir de la valeur.
L'espagnol le pris et le mis dans sa besace puis l'oublia un moment .... |
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Posté le 12/03/2020 à 19:18:27. Dernière édition le 20/03/2020 à 18:19:03
Le temps passait et la guilde avait sombré dans un semblant de léthargie, plusieurs membres étaient mort est d'autre avant disparu de l'ile.
El Renat toujours à la tête de l'invincible armada continuait sont chemin en solitaire tout en gardant le contact avec les quelques survivants des CULs.
Sont voyage l'avait emmené au tréfonds de l'ancien repaire pirate et après une bonne biture chez Jacquot l'espagnol était aller voir un drôle de personnage surnommé "le BIG"
Après une brève discutions riche en enseignement... si l'on peut dire cela car tabasser les redevables du BIG n'était pas le boulot préféré d'El Renat. L'amiral repartit en tanguant légèrement jusqu'à tomber au sol (Saleté de mirabelle!).
A peine remis sur pied, il vit deux orbites vide le regarder, il enfonça ses doigts dedans puis en sorti un crâne identique à celui de la caverne.
Ces choses me suivent donc ! Allez, celui-là aussi dans le balluchon.
L'espagnol disparu ensuite sans donner de nouvelles.
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Posté le 20/03/2020 à 18:28:23
Allant de ville en ville l'espagnol continuait une flopée de menu travaux pour l'ensemble des colonies.
Arrivée à la corniche il décida de retourner un peu de terre à la recherche de diamant afin de compléter sa collection personnel.
Et quel surprise de retomber sur un troisième crâne, sans le regarder il le pris et en retournant le ranger dans sa maison de guilde fut pris de mystérieux maux de tête. arrivé dans le phare il aligna les crâne sur l'étagère puis s’endormit tourmenter par d'horrible songes. |
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Posté le 25/03/2020 à 07:34:26
El Renat venait de recevoir un perroquet le désignant comme nouveau maitre de guilde du CUL, abasourdi il s'assit sur une caisse et repris son souffle. Que c'est il passé? il n'y avait aucun autre mot... Andras est mort?
Il était temps de ressortir le bout de son nez est d'aller voir ce qui ce passait dehors. |
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Posté le 25/03/2020 à 07:52:49
Deux départs pour la Confrerie ? Les CULs n'étaient plus les CULs... ce qui avait motivé l'hollandaise a les rejoindre c'était l'amitié qu'elle entretenait avec les membres historiques du groupe : Riquel, Jef, Faye.
Bien entendu, ces relations avec les autres membres ont toujours été bonne voire excellente. Renat son ami devenu maître de guilde allait devoir travailler à refonder ce groupe, ce groupe qui se retrouverait amputé d'une nouvelle personne...
Nymphea chez les CULs...c'est terminé ! |
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Andras |
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Posté le 27/03/2020 à 16:53:54
Cela faisait un mois qu'il se battait sous les couleurs Françaises, et il n'avait pas eu l'opportunité de passer du temps avec sa guilde, ou avec Faye. Tout cela lui manquait terriblement.
Il avait été appelé à la Maison de France, des intrus, préparant une attaque. Il était bien pourtant, les galons avaient leurs avantages, les infirmières étaient aux petits soins pour lui. Interrompu au milieu d'un massage de récupération, pour s'occuper d'intrus, pour une fois qu'on allait lui en laisser quelques-uns, il aurait tort de rechigner, c'était plutôt sympa de le convier.
Mais manque de bol, c'était des pirates, bloqués sur la plage de la maison de France, attendant qu'il se montre. Dans quelle merde est-ce qu'il allait encore se mettre à essayer de désamorcer un massacre en règle. À plusieurs reprises, il avait négocier, baratiner, prétexter, toujours opter pour l'issue pacifique dans le but d'en sauver le plus possible.
Et cette fois, ils avaient tous débarqué, en maison de France les cons, grands sourires, et réclamant le général français. L'avait-il prévenu, bien sur que non, beaucoup plus facile d'apparaitre comme le cheveu sur la soupe. Ils étaient tous là, la Chimère, les Français, Kayvaan, Euphrasien, Ambroise, rien que ça. Et les enfants... Cendre et Sirius, encore au milieu d'un conflit qui ne les concerne pas.
Les Français voulaient qu'on les pende, original. Ca a la mérite de changer du bucher, c'est bien de revisiter les classiques aussi. Les pirates... les pirates, ils avaient forcément un but, mais lequel. Il allait falloir baratiner une fois de plus, naviguer en aveugle au milieu de la tempête, comprendre ce qu'ils voulaient cette fois. Une idée vite, n'importe quoi, Frag, au minimum, lance-moi quelque chose à exploiter. Et Frag prit finalement la parole.
- Andras, éloignez donc vos hommes, nous avons amèné vos caisses de munitions comme convenu.
Habile. Des caisses de munitions, suspect, mais ça devrait nous faire gagner du temps. Sur le côté, Cendre, jouait avec Sirius, inconscients qu'ils étaient du danger imminent.
- Andras ! y a d'Linciel et l'aut' Euphrasien i'veulent me taper comm'quoi j'sais pas compter au jeu du cache cache !
Décidément... l'ignorer, se concentrer sur la situation, désamorcer.
- Mes caisses de munitions, oui, en effet. Mon contact ne m'avait pas prévenu que ça serait livré par la Chimère, mais j'imagine que c'est le prix à payer pour se fournir.
- Vous en vouliez en quantité et vite pour tenir le front espagnol... Les chats ne font pas des chiens.
- ... ca serait des animaux bizarres sinon.
Cendre, pitié...
Une bourse lancée aux pieds du pirate et un geste de dédain pour se décharger de cette situation embarrassante.
- Mes hommes vont se charger des caisses. Pour le paiement, comme convenu, deuxième moitié à la livraison. Qu'on les laisse repartir pour une fois, et qu'on me transporte ça dans la garnison.
Et ce qui aurait pu être une simple transaction dérapa, c'est Linciel, le héros de Port Louis qui douta le premier.
- Général ? Sérieusement vous avez traité avec cette engeance ? Il est plutôt habituel de demander l'avis du peuple. Traiter avec la piraterie est sujet de controverses au sein de la nation. J'espère que vous n'êtes pas en train de négocier votre bandeau noir général.
Hum, Ambroise, Ambroise, mon bandeau est encore bleu que je sache, et le peuple français, pour ce que je m'en tape, les dieux m'ont mis à ce poste pour une raison. Non, plus subtil, l'ennemi commun,
- Oh mais je suis désolé d'être prêt à tout pour virer les Espagnols de l'ile. S'il me faut engager des assassins pour en finir avec eux, je n'hésiterai pas.
- Notre place publique est votre tribune, Général, allez-y expliquer votre plan, mon honneur m'interdit de les laisser partir, mais je vais obéir pour l'instant et me replier.
Obéir, bien, c'est une idée à creuser. Euphrasien suivit Ambroise sans un mot, les deux partirent en garnison. On progresse, plus que trois à faire partir. Cendre ne poserait pas de difficulté, la pauvre enfant ne se battra pas, trop occupée à jouer avec Sirius. Kayvaan, il aurait du les suivre, mais il est resté, seul pour le coup. Ça m'ennuie, mais je sais qu'il est apprécié des infirmières, donc dans le pire des cas...
Une missive arriva, Calica, elle organise l'assaut du soir, parfait. Voilà la distraction qui devrait les occuper le temps que j'évacue les autres. Avant même de pouvoir enchainer, Frag me rejoint sur l'estrade.
- La France a toujours eu une bonne armée, on se demandait comment c'était possible. Au fil des années, nous avons observé et compris, c'est avant tout du à des officiers de qualité.
*Rires gênés dans le public pirate, petits coups de coude dans les cotes pour calmer les irrespectueux.* Il poursuivit...
- J'ai été marié ici et légionnaire dans l'armée, mais jamais plus haut. En tous les cas, aujourd'hui, nous pensons qu'il faut se renforcer intelligemment. Aussi nous allons honorer notre promesse et participer à la reconquête de LLG...
Non, non, Frag, ça, c'est la ligne qu'ils ne franchiront pas. On a eu de la chance jusque-là, mais ça ne va pas passer.
- Ah, mais je n'aurais aucun problème à vous utiliser contre l'Espagne, mais je vois difficilement les Français me le pardonner...
Frag reprit...
- Mais au détail prêt que nous aurons deux généraux dans nos rangs. Faye, Andras ! Vous pouvez maintenant prouver votre valeur au combat. Sus aux spaniards !
Anne Providence s'avança et déposa le bandeau noir sur le front de Faye.
Et Anna s'avança vers Andras pour lui faire l'échange de bandeaux.
Non, non, pas ce soir, pas maintenant. Pas quand je commençais à faire quelque chose avec la France. Ça va tout foutre en l'air. Je lançais un regard à Kayvaan, le pauvre avait l'air chafouin. Il devait fulminer à l'intérieur, et je le comprenais, il prit la parole sans quitter des yeux les pirates sur l'estrade.
- Oh, puisque c'est comme ça... vous êtes bien plus nombreux que je ne le pensais pour une trahison... Quelle chance, moi qui croyais m'ennuyer ce soir.
Et merde, le bain de sang contre-productif est en vue, on va avoir des pertes entre nous, le succès s'eloigne à chaque seconde qui passe. Désamorcer, vite. Dernier sursaut d'autorité, ou main tendue.
- Kayvaan, on a mieux à faire, LLG nou... t'attend, et on va passer devant pour vous aider.
Etait-ce d'avoir simplement posé les faits devant lui qui avait suffi ou bien la peur du combat à 7 contre 1. Qu'importe, il était parti rejoindre les autres pour l'assaut, et me voilà revenu au point de départ, mais cette fois avec l'ile contre moi. L'envie de sauver les pirates avaient bizarrement disparu, en meme temps que le danger, un poids en moins sur la poitrine, plus besoin de se cacher, de manigancer, d'espionner.
Ce soir, à LLG, ce serait la dernière opportunité de combattre aux côtés des Français. Il faut juste aller au combat, survivre, ne pas réfléchir. L'assaut fut rapide, violent et l'envahisseur fut renvoyé chez lui, enfin les Espagnols ont conservé la tour quoi. Le réveil, douloureux, les infirmières, nettement moins avenantes au repaire. Une piste d'amélioration peut-être ?
Il avait trahi sa guilde, la mémoire de ceux avec qui il l'avait fondé. Au diable avec ceux la, ils sont partis, ils l'ont laissé sur cette ile. Avant même qu'il ne soit décidé de son sort, il donnait les pleins pouvoirs à El Renat, s'en remettant a son jugement. Il en prendrait soin, mais lui ne pourrait plus s'y montrer pendant un moment. Enfin ça prendrait du temps avant qu'il se présente devant eux avec le coup de ce soir.
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Posté le 29/03/2020 à 19:27:34. Dernière édition le 29/03/2020 à 19:27:48
C'était l'heure du grand ménage en maison de guilde, le nouveau chef avait réagencé tout le bric à brac qui trainait un peu partout, dehors les tabouret véreux et bienvenu aux divans confortable. Une croix faite pour l'occasion trônait au centre du logis en mémoire des disparus, que ce soit de l'ile ou simplement de la guilde. A la fin de la journée, l'amiral, satisfait regardait le rendu de son dur labeur.
Bon maintenant la paperasse !
Les comptes, c'est ok on a de quoi voir venir, par contre il y a un gros soucis, notre équipement est encore disséminé dans les différents coffres des nations. Il va falloir trouver une solution pour rapatrier tout ça!
Fouillant dans une pile de feuille, la liste des membres tomba au sol.... Moui bon la aussi il vas falloir faire du vide, d'un coup de crayon El Renat raya quelques noms.
La nuit tombait enfin, l'espagnol rentra dans sa cellule, posa son sac a dos, son carnet de quête dans un coin puis sortit son coffre de combattant.
Il est temps de passer à autre chose! Sa DZA au placard il pris un tromblon de la taupe tout neuf qu'il commença à briquer. |
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Faye |
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Posté le 31/03/2020 à 22:55:06
La courtisane avait passé un mois entre la Capitainerie et la Corniche, à aider l'espagnol Esteban, religieux de son état, à s'endurcir pour survivre sur l'île. Et à sa sortie, elle avait voulu retrouver ses amis. Parce qu'ils lui avaient manqué, pendant ce temps.
Elle aurait pu s'arrêter à la prison de PL, pour voir Cendre, Chiki et Caitlin, si elle s'était souvenue où l'entrée était. Elle est passée juste devant ! Mais elle ne se rappelait pas du passage. Alors elle a été à Port Louis, espérant trouver Andras quelque part. Et s'était dit que, finalement, elle allait profiter du passage en ville pour aller causer à Charles Henry de la Molinière. (Un peu bougon, le bretteur, d'ailleurs.)
Et puis le señor Valakas était arrivé, et Faye avait été plus qu'heureuse de discuter avec lui tout en lançant régulièrement un maléfice ou deux à Charles Henry.
De là, les choses s'étaient un peu précipitées. L'arrivée du reste des pirates, qu'elle a accueilli avec grand plaisir, celle de Cendre, puis de Caitlin et Chiki. Et Sirius. Et quelques autres français aussi. Et enfin, Andras. Et Assashin. A moins qu'Assashin ne soit arrivé avant Andras ? C'est-à-dire que le souvenir est un peu flou.
Sauf une chose. Une chose est bien claire dans son esprit quand elle revisite ces quelques jours à Port Louis. Le moment où Anne Providence, capitaine de la Chimère, et quelqu'un que Faye considère comme une amie chère, lui a remis un bandeau noir orné d'un crâne et de deux sabres croisés. Le bandeau pirate qui orne à présent sa crinière et qu'elle admire à la moindre occasion dans un reflet.
Il y a eut une ruée à LLG, aussi, après cet instant encore limpide dans ses souvenirs. Et puis le réveil à l'hôpital du bandeau noir, en compagnie de ses amis.
Non, de sa famille.
C'était une sacré surprise. Une bonne, évidemment. Mais elle ne s'y attendait clairement pas. Pas aussi tôt, en tout cas.
D'ailleurs, il restait toujours un détail qui l'ennuyait un peu, dans cette histoire. Elle y réfléchissait depuis son réveil, le premier jour, dans le Repaire, alors qu'elle fixait par instant l'ex-ex-ex-Capitaine pirate. Comment convaincre Gemini ? C'est qu'elle n'aimait pas laisser une affaire inachevée, après tout. |
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Posté le 05/04/2020 à 15:29:28. Dernière édition le 05/04/2020 à 15:29:51
L'amiral c'était lancé tête baissée dans la défense et l'expansion du territoire espagnol, Il apprenait vite mais les adversaires étaient redoutable et bien préparer ... Sacré corsaires ces français! Bref après quelques aller retour a Sta Lucia, il fallait pensé a s'équiper un peu mieux pour ne pas finir en merguez à chaque assaut.
L'espagnol repris donc son balluchon pour un temps afin d'honoré une promesse faite à une "pirate", oui sœur basanée attendait mon retour avec impatience et m'avait promis un joli collier si j'arrivai au bout de cette mission.
Un léger détour par Ulungen histoire de revoir quelques amis chèrs, Andras, Faye, Anne , Nymphéa, Umbrela et m'approvisionner au coffee shop.
Me voilà maintenant arrivé à bon port, le fameux Labyrinthe de liberty
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Posté le 22/04/2020 à 11:44:23. Dernière édition le 22/04/2020 à 11:44:43
Muurf ouar r mmamm
Voilà tout ce que l'amiral était capable de dire et de penser !!!
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Posté le 04/05/2020 à 21:50:55. Dernière édition le 04/05/2020 à 21:53:14
El Renat était revenu d’entre les morts, ses souvenirs étaient floues mais quelques brides subsistaient.
L’espagnol avait maintenant fait le tour de la question, il connaissait l’ile par cœur après avoir relevé les défis des différents intendant s et voir même d’individus relativement louches. Les corsaires de liberty lui semblait presque tous familiers il avait maintenant commencer à les connaître au combat, a leurs cotés ou contre eux !
Il connaissait maintenant le monde des vivants parfaitement et aussi celui des morts après les derniers évènements survenus.
Un point sombre lui apparu subitement, les indigènes ! Certes il les avaient fréquenté un peu lors de diverses courses pour les arranger entre villages, les avait même affronté en grand nombre et même participé à l’exécution de leurs grand chefs et même leur mystique.
Tout devint claire subitement ! Voilà la solution, percer leur mystère et m’accaparer leurs pouvoirs !
Tout était dit.
L’amiral avec tout un arsenal de babioles parti à la rencontre de ces guerriers.
"Le village indigène était en vue"
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Posté le 05/05/2020 à 18:55:26. Dernière édition le 05/05/2020 à 18:55:55
L'arrivée au village Chiika fut des plus agréable, a peine rentré qu'une jeune indigène se jeta sur moi, surement mon charisme naturel ou mon belle uniforme!
malgré une lutte acharné avec moi même, je fut bien obligé de partager sa couche, on ne sais jamais de fois que le chef s’offense.
Mais quel vu ma déception quand le lendemain cette plantureuse créature me demanda de payer son "hospitalité"... Bon tant pis pour le charisme.
De toute façon il faut que j'aille voir le chef pour affaire et qu'il m'éclaire sur leur méthode d'entrainement
l'entretien fût bref : "toi tuer grand guerrier, sinon rien te dire !"
Après deux coups de sabre bien placé il en était fini de lui. "Toi maintenant faire tchi-tchi avec ma fille !" hurla le chef.
L'espagnol se rebiffa "Non mais ça va pas je ne sert pas qu'a sa, je suis venu pour autre chose!"
Les deux hommes s'assirent puis commencèrent a parler ... parler... très longtemps. Enfin El Renat pris un paquet puis se leva et se dirigea vers la hutte du Sorcier.
L'amiral l'écouta longtemps parler d'un monde parallèle au delà des rêve apportant une autre vision pour ceux qui en reviennent .
El Renat le remercia respectueusement et lui promis de revenir l'aider.
Il plia son baluchon puis saluant une dernière fois le chef il parti retrouver une religieuse a la vertu plutôt bien cachée.
Soeur Basanée me voilà. |
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Posté le 07/05/2020 à 14:23:29. Dernière édition le 07/05/2020 à 14:27:20
L'entretien avec la religieuse fût assez houleux, Quoi ! Comment ça il faut que je retourne voir le chef Chiika ! Mais j'en viens !
Madre de dios! Bon, bon d'accord. Ah et puis tiens voilà de quoi t'amuser vielle bique (pousse quatre demoiselles vers la sœur qui les regardes d'un air lubrique).
Décidément je ne comprendrai jamais ces religieux...
L'espagnol repris la route et se dirigea vers le village Taopucco, qui ce trouvai sur la route de New Kingtown ou un bal y serai célébré en fin de semaine.
Le chemin se fît sans encombres et le village indigène était en vue.
A priori désert El Renat chemina dans le dédale de pilotis a la recherche d'un indigène et tomba nez à nez avec Tché Tché.Il entama la discution et s’aperçut que le personnage était plutôt bavard.
Après quelque verres d'eau de feu, il était tant de s'approprier le secret des guerriers Taoppuco, Tché Tché étant parfaitement en confiance avec l'Amiral.
Voilà donc un de leur secret !
Mais ça ne suffira pas, je vais en profiter pour étudier leurs vêtements et leurs armes je suis sûr qu'il y a d'autre chose à apprendre
Tu as acheté 2 Eau de Feu à 6 PO + 1 Cache sexe indigène à 96 PO + 1 Lance en bois à 17 PO pour un total de 125 PO au marchand.
Voilà parfait, El Renat s'installa confortablement et entreprit une expertise approfondie du matériel.
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Posté le 10/05/2020 à 15:19:43. Dernière édition le 10/05/2020 à 15:20:09
Le bal étant terminé l'amiral se remit en route, prochaine destination le village Weekly.
Arrivé à l'entrée des mines du crâne l'espagnol entama la discussion avec un indigène du nom d'Otha mais celui-ci ne lui révéla rien a part "toi voir Robinson!"
Allons donc voir ce Robinson s'il sera plus bavard.
Eh bien ce village ne m'apprendra rien! Son chef n'est qu'un vieux fou et pas l'ombre de quelconque indigènes.
Aigris l'espagnol se dirigea vers l'auberge des gueules noir pour se ré-hydrater de sa marche dans les cavernes humides.
L'heure avançant et le Barman étant aimable comme une porte de prison El Renat décida de monter à l'étage pour y passer la nuit.
Malheureusement le lit était déjà occupé, mais il fini par payer la tenancière et partager sa couche, en tout bien tout honneur.
La nuit devra être bonne car demain une longue journée de marche s'annonce. |
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Posté le 13/05/2020 à 19:10:15. Dernière édition le 13/05/2020 à 19:11:58
L'espagnol avait cheminé à grand pas et après deux nuits en des lieux peu confortables attaqué par des loups et des brigands de grand chemin.
Il c'était posé pour la nuit dans des draps de satin à la fleur bleue puis à l'aube il reparti en direction du village Narawaks toujours en quêtes d'information sur les us et coutumes indigènes.
Le village était étrangement désert, seul un guerrier était planté là en plein milieu à me scruter. L'amiral s'approcha.
- Toi rien à faire ici homme blanc!
- Hola amigo, je viens en paix.
- Pas de paix avec homme blanc, toi partir!
La discution était donc close, El Renat reparti donc le regard plein de colère puis se rendit au village Gou-chiiii.
La colère retomba vite et le shaman fit à l'Espagnol un bon accueil malgré qu'il soit occupé avec une jeune anglaise.
Mais malgré la bonne humeur l'amiral n'appris rien de bien utile a part l'éternel utilisation de l'eau de feu.
L'hospitalité de ce village le fit cependant rester, la soiré passa agrémenté par les histoires du Shaman qui mystérieusement semblait rajeunir au fure et à mesure qu'il buvait de l'eau de feu.
Demain j'arriverai à la fin de ma tournée des villages indigènes, j'espère que j'en apprendrai plus au village sysaides! |
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Posté le 14/05/2020 à 15:23:01. Dernière édition le 14/05/2020 à 15:23:27
De bon matin El Renat salua le shaman et quitta le village Gou-chiiii avec une breloque qu'il devait présenter au chef du village Sysaide.
Ce petit présent était censé l'introduire chez les Sysaides avec tout le respect que celle-ci pouvait représentée.
La route n'était pas longue mais à sa grande surprise l'espagnol croisa énormément de monde, certes ils étaient tous endormis vu l'heure matinale mais celà lui sembla quand même relativement louche. Il vaut mieux se méfier sur cette ile, les amis d'un jour peuvent devenir les ennemis de demain.
Les palissades du villages étaient enfin en vue, L'amiral respira l'air iodé de la mer non loin et s'engouffra dans le fortin à vive allure.
A sa grande surprise il y avait du monde, le village respirai la gaité, El Renat remarqua tout de suite le Chef en pleine discussion avec un curieux Chat français. Il commença a nouer contact avec les villageois le temps que le chef soit prêt a le recevoir.
Après un bref moment le chef remarqua l'amulette autour du coup d'El Renat et lui fit un signe d'approcher.
La babiole Gou-chiiii semblait faire effet.
Il commencèrent a parler et parler jusqu'à ce que la nuit commence à tomber, ce chef était plein d'esprit est de sagesse. Enfin son chemin n'avait pas servit à rien, tout ces villages visités et effectivement il y en avait à apprendre sur ces soi disant sauvages!
Enfin un point et sur c'est qu'à l'unanimité ils était tous très friand de cette fameuse eau de feu, à croire qu'elle servait à tout:
Donner du courage, de la force, rajeunir, oublier ses soucis et encore beaucoup d'autres choses.
Riche de son expérience l'amiral décida de rentrer sur Espéranza afin de consigner tout ça par écrit, et puis sa cellule privée dans son phare lui manquait cruellement. |
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Posté le 19/05/2020 à 22:47:14
A la nuit tombante, El Renat assis regardait les étoiles briller, une faible lueur dans les nuages au loin faisait présager une triste soirée pour les habitants d'une ville peut être Ulungen ? Non pas assez près, Esperanza était dans la même direction ... de toute façon l'espagnol ne pouvait rien faire d'autre que de regarder les cendres crépitante s'éléver au ciel.
L'âme en peine il faisait rotir son repas, un lapin chasser du matin, en mangeant un morceau il tomba sur le "pijama" de celui-ci qui gisait non loin.
Un petit sourire s'esquissa, il pris la peau étendue au sol l'observa attentivement puis dans un grand fou rire il la plia soigneusement et l'accrocha à un gros volatile.
- Aller va ! Amène donc ça a qui tu sais, ça devrai la taquiner un peu.
Repus, l'amiral se coucha sous ce ciel étoilé rougi et sombra dans le sommeil. |
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Posté le 21/05/2020 à 20:29:11. Dernière édition le 21/05/2020 à 23:51:54
L'amiral arriva dans une ville en feu, les pillards n'avaient pas fait dans la dentelle.
le temps de régler quelques affaires, prendre un peu de repos et un nouveau projet germa dans sa tête.
Il avait enquêter sur les indigènes maintenant il ne restait plus qu'une seul caste à étudier: "La confrerie!"
Hors de question d'aller les voire en tête à tête car ça risquerai de mal tourner et l'espagnol ne ferai pas le poids contre la meute pirate.
Il fallait être plus subtil, donc direction l'ancien repaire c'est là en fouillant dans ce qui reste des affaires des pirates qu'il trouvera des informations utiles sur se groupe de guerrier.
A l'heure de partir, El Renat se dirigea vers la sortie d'Esperanza quand attiré par une affiche il se stoppa net.
Bon, le choix de ne pas s'approcher des pirates était donc judicieux.
Ahhh ... La Tigresse, toujours aussi charmante. |
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Posté le 31/05/2020 à 18:57:09. Dernière édition le 31/05/2020 à 19:10:37
L'expédition a l'ancien repaire avait pris un peu de temps mais fut riche en enseignement. La Piraterie semblait invincible avant cette expédition mais maintenant rien n'était moi sûr!
Une bonne partie de l'équipage de la chimère avant disparu et peu restaient encore avec le bandeau noir de cette époque.
Jour après jour j'avais fouillé dans le repaire extirpé au passé de vieilles breloques de pirates disparus, une seul chose était sur c'était tous des corsaires endurci qui avaient basculé pour des raisons obscures pour un bandeau noir.
J'avais passé mes premiers jours à interroger tout les aventuriers corsaires que je croisait mais sans rien n'apprendre d'eux, les jours suivants se fût les pirates du repaire qui tentèrent de me faire rebrousser chemin. Rien n'y fit.
Je fouillais sans relâche cet amas de cendre refroidit. récoltant par-ci par là de menu objet (range discrètement une petite culotte de la Tigresse dans sa poche, je lui rendrai plus tard!).
Il me restait encore un endroit , la fameuse salle d'entrainement! C'était peut être cela le secret des pirates l'entrainement intensif.
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Posté le 10/06/2020 à 17:14:33
L'espagnol avait terminé son entrainement, maintenant il fallait passer à l'action et quoi de mieux qu'une bonne mise en pratique en tant que Général!
El Renat, assis à la taverne examinait les cartes, les rapports d'espionnage, les forces en présence en se grattant la tête.
Pfff... foutu boulot et ces hollandais qui partent dans tout les sens !
Bon aller il faut prendre une décision, Lieutenant Giovanni tu t'occupe du plan moi je vais boire une bière. |
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