Le Faux Rhum
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Chansons de pirates.
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Panda |
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Posté le 02/09/2008 à 01:59:33
* Jùan, assit sur un tonneau derrière l'auberge Espagnole, fredonnait un air d'un ton mélancolique, le regard porté vers la lune...*
Quinze marins sur l'bahut du mort !
Yop la ho, un' bouteill' de rhum...
A boire et l'diable avait réglé leur sort
Yop la ho, un' bouteill' de rhum.
Long John Silver a pris le command'ment
Des marins et vogu' la galère
Il tient ses hommes comme il tient le vent
Tout l'monde a peur de Long John Silver.
Quinze marins sur l'bahut du mort !
Yop la ho, un' bouteill' de rhum...
A boire et l'diable avait réglé leur sort
Yop la ho, un' bouteill' de rhum.
C'est Bill le second du corsaire
Le capitain' Flint en colère
Est revenu du royaum' des morts
Pour hanter la cache au trésor.
Quinze marins sur l'bahut du mort !
Yop la ho, un' bouteill' de rhum...
A boire et l'diable avait réglé leur sort
Yop la ho, un' bouteill' de rhum.
Quinze marins sur l'bahut du mort !
Yop la ho, un' bouteill' de rhum...
A boire et l'diable avait réglé leur sort
Yop la ho, un' bouteill' de rhum.
Et tu iras où tant d'autr's sont allés
Quequ's-uns aux vergues et quequ's-uns par d'ssus bord
Tous pour nourrir le poisson d'abord.
Quinze marins sur l'bahut du mort !
Yop la ho, un' bouteill' de rhum...
A boire et l'diable avait réglé leur sort
Yop la ho, un' bouteill' de rhum.
Tous finiront par danser la gigue
La corde au cou au quai des pendus
Toi John Forest et toi John Hervig
Si près du gibet qu'j'en ai l'cou tordu.
Quinze marins sur l'bahut du mort !
Yop la ho, un' bouteill' de rhum...
A boire et l'diable avait réglé leur sort
Yop la ho, un' bouteill' de rhum...
[Quinze Marins - version de Cap à l'Ouest, groupe d'un de mes oncles, reprise de Michel Tonnerre. (bon ok, c'est les mêmes paroles, mais je préfère la reprise :P] |
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Posté le 07/09/2008 à 11:52:27. Dernière édition le 15/02/2024 à 15:23:05
Il avait une fleur entre les dents, entre les dents, Il avait dans le coeur l'amour du large et des grands vents, Et quand il embarquait par trop gros temps, il nous disait: "Nous, on n'a pas de cimetière, on a la mer"
Quand il ne revint pas un beau matin, un beau matin, Les femmes ne pleuraient pas, elles joignaient seulement leurs mains, Les hommes ne disaient rien mais ils pensaient: "Un jour, qui sait... Nous, on n'a pas de cimetière, on a la mer"
Et quand la vague un jour nous ramena une fleur, On l'a compris, qu'il nous laissait encore son coeur.
Il avait une fleur entre les dents, entre les dents, Il avait dans le coeur l'amour du large et des grands vents; Quand nous parlons de lui, tout en riant, on se redit: "Nous, on n'a pas de cimetière, on a la mer". |
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Posté le 07/09/2008 à 11:55:36
Quand Les Bateaux Reviennent
Quand les bateaux reviennent
Il reste sur leurs flancs
Des lambeaux décevants
Du vent qui les emmène
Quand les bateaux reviennent...
Et les marins du bord
Voient grandir la falaise
Et le curieux malaise
Et les lueurs du port
Où les femmes au matin
Frissonnant sous le châle
Ont la lèvre un peu pâle
Et le coeur incertain
Car c'est le même vent
Qui trousse leurs dentelles
Emporte leurs enfants
Puis les ramène à elles
Il donne aux goélands
Cette lenteur si belle
Et fait de leurs amants
Des marins infidèles
Quand les bateaux reviennent
On les attache au quai
La longe et le piquet
Pour seuls fruits de leur peine
Quand les bateaux reviennent...
Puis les marins s'en vont
Ecrasés de fatigue
Même le sol navigue
Au coeur de leur maison
Le lit déjà défait
Se couvre de soupirs
Et les femmes chavirent
Et leur espoir renait
Car c'est le même vent
Qui souffle leur chandelle
Un soir de printemps
Les a trouvées moins belles
Il donne aux océans
Quelques rides nouvelles
Et montre aux cerfs-volants
Tous les chemins du ciel
Alors pour quelques jours
Le temps n'existe pas
C'est peut-être pour ça
Que les adieux sont lourds
Quand les bateaux repartent...
Les femmes au petit jour
A l'instant du départ
Cherchent dans leur mouchoir
Pour se compter les jours
Les grains déjà si lourds
Du chapelet d'ivoire
Et l'impossible amarre
Qui mène à leur amour
Mais c'est le même vent
Qui ramène au rivage
Un peu de l'Océan
Jusque sur leur visage
Où la mer et le temps
De passage en passage
Ont creusé le sillage
Etrange et fascinant
D'un bateau qui voyage... |
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Posté le 07/09/2008 à 13:02:37
Vous ne l'avez pas encore mise celle la?
Les pirates sur le pont
Célèbrent leur victoire
Ils défoncent les caissons
Pour y trouver à boire
R : Célébrons le jour passé
La soirée est belle
Célébrons le jour passé
Demain nous verrons bien
Et l'on boit à fût percé
Et les tonneaux se vident
Ils n'en ont jamais assez
Ils sont tout à fait ivres
Mais arrive un grand bateau
Hourrah ! A l'abordage
A la hache et au couteau
On pille et on saccage
Mais cette fois les marins
Se battent et se défendent
Et voilà que bel et bien
Les pirates se rendent
Plus jamais ne montera
Tout en haut de misaine
Le pavillon scélérat
De pillage et de haine |
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Posté le 08/11/2008 à 13:21:59
Et si c'était une nuit Comme on ne connu pas depuis, Depuis cent mille nuits. Le nuit de fer, le nuit de sang, Une nuit, un chien hurle. Regarde bien, gens, de d'enfer, regarde le. De son manteau de bronze vers les ours, Les ours tremblent. Les hommes avaient perdu le goût De vivre, et se foutaient de tout Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas Pour eux c'était que des foutaises Le ciel redevenait sauvage, Le béton bouffait le paysage... D'alors Les loups, ououh! ououououh! Les loups étaient loin de Port-Louis Du camp paria, d’la ConfrérieLes loups étaient loin de Port-Louis J'aimais ton rire, charmante Kristal Les loups étaient loin de Port-Louis. Mais ça fait cinquante lieues Dans une nuit à queue leu leu Dès que ça flaire une ripaille De morts sur un champ de bataille Dès que la peur hante les rues Les loups s'en viennent la nuit venue... Alors Les loups, ououh! ououououh! Les loups ont regardé vers Port-Louis Du camp paria, d’la Confrérie Les loups ont regardé vers Port-Louis Tu peux sourire, charmante Kristal Les loups regardent vers Port-Louis. Et voilà qu'il fit un rude hiver Cent congestions en fait divers Volets clos, on claquait des dents Même dans les beaux arrondissements Et personne n'osait plus le soir Affronter la pluie froide tropicale... Alors Des loups ououh! ououououh! Des loups sont entrés dans Port-Louis L'un par Issy, l'autre par Ivry Deux loups sont entrés dans Port-Louis Ah tu peux rire, charmante Deux loups sont entrés dans Port-Louis. Le premier n'avait plus qu'un oeil C'était un vieux mâle de Krivoï Il installa ses dix femelles Dans la vaste maison de France, Et nourrit ses deux cents petits Avec les enfants de Port-Louis... alors Cent loups, ououh! ououououh! Cent loups sont entrés dans Port-Louis Soit par Issy, soit par Ivry Cent loups sont entrés dans Port-Louis Cessez de rire, charmante Amandine Cent loups sont entrés dans Port-Louis. Le deuxième n'avait que trois pattes C'était un loup gris des Karpates Qu'on appelait Carême-Prenant Il fit faire gras à ses enfants Et leur offrit six ministères Et tous les gardiens des fourrières... alors Les loups ououh! ououououh! Les loups ont envahi Port-Louis Soit par Issy, soit par Ivry Les loups ont envahi Port-Louis Cessez de rire, charmante Kristal Les loups ont envahi Port-Louis. Attirés par l'odeur du sang Il en vint des mille et des cents Faire carousse, liesse et bombance Dans ce foutu pays de France Jusqu'à ce que les hommes aient retrouvé L'amour et la fraternité... Et alors Les loups ououh! ououououh! Les loups sont sortis de Port-Louis Soit par le nord, soit par l’est Les loups sont sortis de Port-Louis Tu peux sourire, charmante Alex Les loups sont sortis de Port-Louis J'aime ton rire, charmante Alex Les loups sont sortis de Port-Louis... Les loups... Les loups... Les loups... Les loups... Les loups, les loups. les loups... Les loups... Les loups... |
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Posté le 07/12/2008 à 16:10:40
Soyons sérieux pour une fois! cette chanson est trop belle...
Pep's - Liberta
Tu sais qu'il y a un bateau qui mène au pays des rêves Là-bas où il fait chaud, où le ciel n'a pas son pareil Tu sais qu'au bout cette terre Oh oui les gens sèment Des milliers d'graines de joie où pousse ici la haine On m'avait dit p'tit gars Là-bas on t'enlève tes chaînes On te donne une vie Sans t'jeter dans l'arène Comme ici tout petit après neuf mois à peine On te plonge dans une vie où tu perds vite haleine Alors sans hésiter J'ai sauté dans la mer Pour rejoindre ce vaisseau Et voir enfin cette terre Là-bas trop de lumière J'ai dû fermer les yeux Mais rien que les odeurs Remplissaient tous mes vœux Refrain I just wanna be free in this way Just wanna be free in my world Vivere per libertà Vivere nella libertà Alors une petite fille aussi belle que nature Me pris par la main et m'dis suit cette aventure On disait même, oh oui que la mer l'enviait Que la montagne se courbait pour la laisser passer Elle m'emmena au loin avec une douceur sans fin Et ses bouclettes dorées dégageaient ce parfum Qui depuis des années guidait ton chemin, mon chemin, le chemin Refrain Pour arriver enfin à ces rêves d'enfants Qui n'ont pas de limites comme on a maintenant J'ai vu des dauphins nager dans un ciel de coton Où des fleurs volaient caressant l'horizon J'ai vu des arbres pousser remplaçant les gratte-ciel J'ai vu au fond de l'eau une nuée d'hirondelles Refrain |
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Posté le 07/12/2008 à 17:01:22
Bon les traductions c'est pas du sur... moi j'ai juste copier-coller-arranger...
Brooke ( de one piece ^^ si ya une originale j'connais pas son auteur alors je mets celui-ci en attendant que quelqu'un me fasse une remarque ) - Bink's sake
Yohohohooooo~ Yo~~Hohoooh~~~ Yohohoho~~~Yo~~hohooh~~~ Yohohoho~~~Yo~~hoho~~ho~~~ Yohohoho~~Yoohoohooho~~~ ... Binks~~no sake wo~~~ Todoke~~ni yuku yo... (Set out to deliver Binks' sake...)
Umikaze ki~~makase~ (..Through the wind of the sea, through the wind of the heart..) Namimakkase~~~ (..through the wind of the waves..) Shio no mukou de~ (..on the ocean's horizon..) Yu~~~hi~~~mo sawagu~ (..to the setting sun..) Sora nya~~wa o kaku~ (..where the bird sings its song..) Tori no uta~~ (..through the heavens.) Hm~~~Hmm~~Hm~~~Hmm~~ Binks no Sake Yohohoho yohohoho x 4 Binks no sake wo todoke ni yuku yo umi kaze kima kase nami kase ushio no mukou de yuuhi mo sawagu sora nya wa o kaku tori no uta Sayonara minato tsumugi no sato yo don to icchou utao funade no uta kinpa ginpa mo shibuki ni kaete oretachiya yukuzo umi no kagiri Binks no sake wo todoke ni yuku yo warera kaizoku umiwatteku nami o makura ni negura wa fune yo ho ni hata ni ketateru wa dokuro Arashi ga kita zo senri no sora ni nami ga odoru yo doramu narase okubyou kaze ni fukarerya saigo asu no asahi ga naijanai shi yohohoho yohohoho x 4 Binks no sake wo todoke ni yuku yo kyou ka asu ka to you no yume te wo furu kage ni mou aenai yo nani wo kuyo kuyo asu mo tsuku yo Binks no sake wo todoke ni yuku yo don to icchou utao unaba no uta douse dare demo itsuka wa hone yo hatenashi atenashi warai hanashi yohohoho yohohoho x 4
Il semblerait que j'ai trouvé une traduction complète sur un autre site... mais bon les différents traducteurs ne doivent pas avoir les même versions passkils sont pas tout à fait d'accord ^^.
Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho,
Going to deliver Bink's Sake! Following the sea breeze! Riding on the waves! Far across the salty depths! The merry evening sun! Painting circles in the sky! as the Birds Sing
Farewell to the harbour, To my old hometown Lets all sing out with a Don! As the ship sets sail Waves of gold and silver dissolve to salty spray As we all set sail to The ends of the sea Going to deliver Bink's Sake! We are pirates Sailing through the Sea! The waves are our pillows The ship our roost Flying the proud Skull On our flags and our sails Now comes a storm Through the far-off sky Now the waves are dancing Beat upon the drums If you loose your nerve This breath could be your last But if you just hold on, The morning sun will rise Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho, Yo-hohoho,
Going to deliver Bink's Sake! Today, and tomorrow, our dreams through the night! Waving our goodbyes, we'll never meet again! But don't look so down; For at night the moon will rise! Going to deliver Bink's Sake! Let's all sing it with a Don! A song of the waves Doesn't matter who you are, Someday you'll just be bones Never-Ending, Ever-wandering, Our funny Traveling tale!
Pour connaitre l'air de la musique: http://www.youtube.com/watch?v=pAJPTlfHkIw&feature=related
Pour connaitre le personnage: http://www.youtube.com/watch?v=G8iKmmBUe9U&feature=related |
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Posté le 08/04/2009 à 20:19:56
En cherchant un RP dans les "archives" de Liberty, je viens de tomber sur cette chanson de Drake et elle ne mérite pas de disparaitre sous la poussière :
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Pour les amateurs de Renaud, de la chanson ou de la guerre Anglo-hollandaise... Petit Hollandais, bien integré quasiment commercant, Dans mon coffe tout de bois et de brique, Je prends mon job, une taff et amasse le frik, Petite fille Anglaise, de l'autre côté du lac central, Jamais entendu parler de Ulungen, Mon quotidien c'est la misère et la gène, Deux étrangers au bout d'Liberty, si différents, Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant, Pulverisés, sur l'autel, du dégout mutel, Une grosse défaite, a fait éxplosés mes prix, Mon ciel si bleu est devenu orage, Lorsque les hollandais ont rasés mon village, Deux étrangers au bout d'Liberty, si différents, Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant, Pulverisés, sur l'autel, du dégout mutel, So long, adieu mon rêve de commercant, Moi, plus jamais esclave du gouvern'ment, Vite imposé le Vol des tyrans, Ceux là ont'ils jamais manqués d'argents ? Suis redev'nu poussière, Je s'rai pas vendeur populaire, Ce pays que j'aimais tellement serait-il, Finallement dirigé par des imbéciles ? Les idéaux, les populations, Les guerres d'argumentations, Les armes, les drapeaux, les patries les nations, Font toujours de nous de la chair à canon Deux étrangers au bout d'Liberty, si différents, Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant, Pulverisés, sur l'autel, du dégout mutel, Deux étrangers au bout d'Liberty, si différents, Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant, Pulverisés, sur l'autel, du dégout mutel. |
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Posté le 03/07/2009 à 21:30:44
LE GALERIEN Je me souviens que ma mère m'aimait Et je suis aux galères Je me souviens que ma mère me disait Mais je n'ai pas cru ma mère Ne traîne pas dans les ruisseaux Te bats pas comme un sauvage T'amuse pas comme les oiseaux Elle me disait d'être sage J'ai pas tue, j'ai pas vole Je voulais courir ma chance J'ai pas tue, j'ai pas vole Je voulais que chaque jour soit Dimanche Je me souviens que ma mère pleurait Des que je passais la porte Je me souviens comme elle pleurait Elle voulait pas que je sorte Toujours, toujours elle disait T'en vas pas chez les filles Ne fais donc pas toujours ce qu'il te plaît Dans les prisons 'y a des grilles J'ai pas tue, j'ai pas vole Mais j'ai cru Madeleine J'ai pas tue, j'ai pas vole Je voulais pas lui faire de peine Je me souviens que ma mère disait Suis pas les bohémiennes Je me souviens comme elle disait On ramasse les gens qui traînent Un jour les soldats du roi T'emmèneront aux galères Tu t'en iras trois par trois Comme ils ont emmène ton père Tu auras la tête rasée On te mettra des chaînes T'en auras les reins brises Et moi j'en mourrai de peine Toujours toujours tu rameras Quand tu seras aux galères Toujours toujours tu rameras Tu penseras peut-être a ta mère J'ai pas tue, j'ai pas vole Mais j'ai pas cru ma mère Et je me souviens comme elle m'aimait Pendant que je rame aux galères |
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Posté le 24/01/2010 à 23:48:14
C'est dans la pipe qu'on met l'tabac. Oula ! Oula ! C'est dans la pipe qu'on met l'tabac. Oula ! Oulala !
Pare à virer, les gars faudrait haler. On s'repos'ra quand on arriv'ra Dans les ports de Tacoma.
C'est dans la cave qu'il y a des rats. Oula ! Oula ! C'est dans la cave qu'il y a des rats. Oula ! Oulala !
Pare à virer, les gars faudrait haler. On s'repos'ra quand on arriv'ra Dans les ports de Tacoma.
C'est dans la gueule qu'on met l'tafia. Oula ! Oula ! C'est dans la gueule qu'on met l'tafia. Oula ! Oulala !
Pare à virer, les gars faudrait haler. On s'repos'ra quand on arriv'ra Dans les ports de Tacoma.
C'est dans la mer qu'on met les mâts
Oula ! Oula !
C'est dans la mer qu'on met les mâts
Oula ! Oula !
Pare à virer, les gars faudrait haler. On s'repos'ra quand on arriv'ra Dans les ports de Tacoma.
Et les filles ça s'met dans les bras Oula ! Oula ! Et les filles ça s'met dans les bras Oula ! Oula !
Pare à virer, les gars faudrait haler. On s'repos'ra quand on arriv'ra Dans les ports de Tacoma. |
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Posté le 25/01/2010 à 11:01:52
[HRP: Le Panda a dit, il y a bien longtemps: "Quinze Marins - version de Cap à l'Ouest, groupe d'un de mes oncles, reprise de Michel Tonnerre". Euh, c'est Yaouank, ton oncle? T'es qui toi? Yaouank et Tonnerre je les connais...]
LE MAÎTRE A BORD
Eh quoi les matelots, vous avez tous la frousse, Et oui je le sais bien, il est vieux mon Trois Mats. Mais il me faut douze hommes, un capitaine, un mousse, Qui le raménera vers le Guatemala
Alors pendant ce temps, il cherche un équipage, Contraint de le former de marins d'occasion, Vagabons sans aveux, dont certains tatouages Affichent l'anarchie, et la Révolution. Mais lui, le Malabar, lui qui n'a peur de rien, Au moment du départ, leur dit, je vous préviens...
JE SUIS LE MAÎTRE A BORD A bord je suis le maître Bien des costauds, des forts, ont du le reconnaître.
Je vous promets, moi commandant: Double ration, bon vin, bonne route. Je serai juste et indulgent, Mais il faudra que l'on m'écoute. Et maintenant, le cap au Nord. Je suis le maître à bord.
Pendant 40 jours, le navire est en route. Les vents sont contre lui, le mauvais temps aussi. Et bientôt plus de vivre, et plus d'eau dans les soutes, On sent que la révolte est à bord, et grandit. S'avançant dans la nuit, 4 hommes fous de rage Vont l'insulte à la bouche, le couteau à la main, Parler au Capitaine, au nom de l'équipage: Il faut que tu nous donnes des biscuits et du vin. Mais lui le Malabar Leur dit: Voyez là-bas, Voyez briller ce phare, C'est le Guatemala.
JE SUIS LE MAÎTRE A BORD Ce soir, demain j'espère, Nous toucherons le port, Vous serez libre à terre
Oui mais ici, Mille Sabords! Je n'admets pas la moindre riposte. Je materai tous les plus forts. Que chacun regagne son poste. Sur tous j'ai l'droit de vie, de mort Je suis le maître à bord.
Mais la brise fléchit, balloté par la houle, Le Trois Mâts va, tanguant, sous la force du vent. De tribord à babord, il va, il vient, il roule. "Qu'on me donne la barre!" a dit le commandant. Bientôt, c'est l'ouragan, on ne voit plus le phare, Les voiles se déchirent, et les flôts furieux Emportent un marin. Devinant le naufrage, Alors le Malabar s'écrie: "Sauve qui peut. Les canots tous à la mer Que dieu veille sur vous". Et tous les matelots crient: "Venez avec nous" NON
JE SUIS LE MAÎTRE A BORD Je dois le reconnaître Mes droits me rendent forts Me font parler en maître
Mais le devoir commande encore, Honneur au pied du mât de Misaine Tu ne dois pas quitte ton poste, C'est le devoir du Capitaine. Et maintenant, face à la mort, Je suis le maître à bord... |
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Posté le 26/02/2010 à 19:32:31
Alanis, Alanis, Du fond de Liberty Alanis, Alanis De bâbord à tribord Tu veilles sur la Confrérie Sur la liberté aussi
Alanis, Alanis Capitaine d'la Confrérie Alanis, Alanis Même si tu parais de glace Ton cœur est bon Ton cœur est grand Pour accueillir tes amants.
Le fier Sournois est ton vaisseau Le pavillon noir est son drapeau Momo et Manitas sont avec toi
Alanis, Alanis Avec ton équipage Alanis, Alanis Tu mène au pillage tu sèmes la terreur D'un bord l'autre Tous les corsaires
Alanis, Alanis Capitaine d'la Confrérie Alanis, Alanis Bien plus fort que la mort Tu es toujours au rendez-vous N'importe quand, n'importe où Tu es toujours au rendez-vous Toujours avec nous |
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Posté le 27/02/2010 à 16:09:44
Pensez à compléter les paroles, mais celle-ci elle vaut de l'or, il s'agit d'une oeuvre collective :
Le petit Zombie en mousse
Le petit Zombie en mousse Qui t'poursuis avec son hachoireuuuuuh! Tel une fouzère se trémousse... Comme ta maman l'fais chaqueuuuh soiiiiir ! La petiteee, petiteee zombinetteeee... Qui s'étaaaaale, qui est sans têêêête ! |
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Posté le 02/03/2010 à 21:50:47
spéciale dédicasse aux français
Les Filles de Port Louis Michel Tonnerre par Rhum et Eau
Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï Bien qu'elles aillent à la messe Dimanche matin Ne dédaignent point la fesse Ni les jeux malins Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï
On dit des filles de Provence Qu'elles sont tendres et bien jolies Mais la seule qui m'fout en transe C'est une fille de Port-Louis
Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï Bien qu'elles aillent à la messe Dimanche matin Ne dédaignent point la fesse Ni les jeux malins
Les filles d'Hennebont on l'chuchotte N'ont pas d'boutons à leurs culottes Mais quand elles rentrent à la maison C'est sans culotte et plein d'boutons
Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï Bien qu'elles aillent à la messe Dimanche matin Ne dédaignent point la fesse Ni les jeux malins Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï
Et c'est derrière les remparts Qu'elles font bande à part Voilà mes amis j'vous l'dis C'est un vrai traqu'nard
Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï Bien qu'elles aillent à la messe Dimanche matin Ne dédaignent point la fesse Ni les jeux malins Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï
Et puis dès le matin très tôt Depuis l'Port de Keroman Pire qu'les sirènes des bateaux On entend leurs gémissements
Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï Bien qu'elles aillent à la messe Dimanche matin Ne dédaignent point la fesse Ni les jeux malins Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï
Il y en a une très jolie Avec qui je suis de mèche Et dans le lit elle me dit Fais-moi l'amour mais pas la pêche
Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï Bien qu'elles aillent à la messe Dimanche matin Ne dédaignent point la fesse Ni les jeux malins Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï
Et certaines grandes goules Vous diront c'est une fable Quand on fait la pêche aux moules Il faut s'méfier des p'tits crabes
Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï Bien qu'elles aillent à la messe Dimanche matin Ne dédaignent point la fesse Ni les jeux malins Les Filles de Port-Louis Sont bien chaudes touï |
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Posté le 02/03/2010 à 22:24:12
Ecoute mon histoire, matelot Si lorsque tu regardes les flots Tu vois des femelles aquatiques Qui te font dans le froc comme un cric Le mauvais oeil sur un bateau Ca s'attrape en y pensant trop Méfie-toi d'elles, méfie-toi matelot Ces femelles n'en veulent qu'à ta peau Tous les marins savent que les sirènes Hey hey ho, écoute-moi matelot C'est pas du sang c'est de l'eau salée Qui coule dans leurs veines Hey hey ho, écoute-moi matelot Si les femmes te travaillent la chair Il fallait rester sur la terre Ecoute mon histoire, écoute bien garçon Si tu veux pas finir ton quart bouffé par les poissons Si tu touches aux écailles d'une fille de Neptune Tu reviendras avec un trident planté dans la lune Si les vagues dans le coeur te font du ressac Lorsque tu penses au port et aux filles de Piriac Dis-toi bien que même les pirates, que même les corsaires Ont peur de sombrer dans les pattes d'une fille des mers Tous les marins savent que les sirènes Hey hey ho, écoute-moi matelot C'est pas du sang c'est de l'eau salée Qui coule dans leurs veines Hey hey ho, écoute-moi matelot Si les femmes te travaillent la chair Il fallait rester sur la terre Plus d'un gabier, plus d'un capitaine Ont finis noyés perdus par ces chiennes Elles te font tourner la caboche en faisant les câlines Elles porteront ta paire en broche au bal de la marine Tous les marins savent que les sirènes Hey hey ho, écoute-moi matelot C'est pas du sang c'est de l'eau salée Qui coule dans leurs veines Hey hey ho, écoute-moi matelot Si les femmes te travaillent la chair Il fallait rester sur la terre
Le clip est un joyeux portenawak bien dans l'esprit du jeu, avec ses anachronismes et son côté HRP pour rire...
http://www.dailymotion.com/video/xno36_elmer-food-beat_music |
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Posté le 09/04/2010 à 20:03:32
A toutes les corsaires que j'ai bernés avant Qui me sont devenus indifférents maintenant A leur volcan de larmes A leur torrent de charme Je suis resté insouciant A tous les corsaires que j'ai bernés avant Des donjons de Liberty à Louis le Grand Aux perroquets déchirées A leurs baisers volés Je suis resté insouciant
{Refrain:}Ils avaient, ils avaient, Des océans au fond des yeux Je mentais, je mentais, Pour les garder plus amoureux Ils disaient, ils disaient, Que l'amour c'est toute une vie à deux Il y avait dans mon sourire un prédateur Quelque chose de dangereux Ils gravaient nos deux cœurs Sur les arbres des forêts Ils criaient comme on perd la tête Quand on a trop aimé Des océans au fond des yeux
A toutes les corsaires que j'ai bernés avant Qui me sont devenues indifférents maintenant De leurs éclats de rire A nos nuits de plaisir Je suis resté insouciant A toutes les corsaires que j'ai bernés avant De plage, de soleil, en dîners dansants Aux secrets murmurés Aux passions déchirées Je suis resté insouciant
{au Refrain}Des océans au fond des yeux {au Refrain}Des océans au fond des yeux... A toutes les corsaires que je bernerais encore |
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Posté le 14/04/2010 à 13:00:09
Attention les gars, voilà la frégate, Attention les gars, c’est nous les pirates Corsaires, pirates, ou bien flibustiers Corsaires, pirates, nous sommes sans pitié ! Attention les gars, voilà la frégate, Attention les gars, c’est nous les pirates Toutes vos richesses, nous les volerons, Nus comme des vers nous vous laisserons ! Attention les gars, voilà la frégate, Attention les gars, c’est nous les pirates Attention les gars, c’est pour vous qu’ça s’gâte Attention les gars, c’est nous les pirates |
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Posté le 20/04/2010 à 19:19:17
http://www.deezer.com/listen-4618824 Ils leur ont dit, ils y ont cru C'est à Liberty qu'ils sont bienvenus. Prix du voyage : tous leurs bagages Prix du voyage : tous leurs bagages Un grand navire, des mois sur l'eau Ils voient le pire, avant le beau Quand on crie terre, ils ont des yeux d'enfants, Quand on crie terre, ils ont des yeux d'enfants, Refrain : C'est leur île aux trésors, leur envie d'espérance Mais à la place de l'or, ils trouvent Anne Providence Ils ont pour seuls bagages, un sabre et deux bandages Seules consignes du voyage, tuer des bêtes sauvages
Ils s'voient confiés grand nombre de quêtes Ils doivent tuer de drôles de bêtes Ils n'ont qu'leur sabre pour s'protéger Ils n'ont qu'leur sabre pour s'protéger Ils en oublient leurs rêves d'avenir Ils sont partis, pour devenir Mais c'est ici, qu'ils sont surpris Mais c'est ici, qu'ils sont surpris Refrain : C'est leur île aux trésors, leur envie d'espérance Mais à la place de l'or, ils trouvent Anne Providence Ils ont pour seuls bagages, un sabre et deux bandages Seules consignes du voyage, tuer des bêtes sauvages
Leur aller simple, est sans retour Traqués le jour tout comme la nuit Ils se battent pour rester en vie Ils se battent pour rester en vie Quand ils ont compris, ils font bataille Toutes les nations se mettent à mal Même leur patrie envoie des balles Même leur patrie envoie des balles Refrain : C'est leur île aux trésors, leur envie d'espérance Mais à la place de l'or, ils trouvent Anne Providence Ils ont pour seuls bagages, un sabre et deux bandages Seules consignes du voyage, tuer des bêtes sauvages |
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Ricolo |
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Inscrit depuis le : 22/04/2007 |
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Posté le 02/05/2010 à 21:29:52
Le pirate gallois
C’était un pirate gallois Œil de verre, jambe de bois Un pirate sans foi ni loi Cœur de pierre et jambe de bois
Un pirate contre le roi Main de fer et jambe de bois Quand il coulait un voilier Il se mettait à danser
Boum, boum, tip tip tip bang bang La jambe de bois frappait en cadence Boum, boum, tip tip tip bang bang La jambe de bois du pirate gallois
Un jour le pirate gallois Œil de verre, jambe de bois Offrit à la fille du roi Cœur de pierre et jambe de bois Mais la belle n’en voulut pas Main de fer et jambe de bois Alors pour se consoler Il se remit à danser
Boum, boum, tip tip tip bang bang La jambe de bois frappait en cadence Boum, boum, tip tip tip bang bang La jambe de bois du pirate gallois
Un soir le pirate gallois Œil de verre, jambe de bois Enleva la fille du roi Cœur de pierre et jambe de bois Dans la mer elle se noya Main de fer et jambe de bois Alors pour se consoler Il se remit à danser
Boum, boum, tip tip tip bang bang La jambe de bois frappait en cadence Boum, boum, tip tip tip bang bang La jambe de bois du pirate gallois
Et puis le pirate gallois Œil de verre, jambe de bois Coula trois bateaux du roi Cœur de pierre et jambe de bois Enfin il se saborda Main de fer et jambe de bois Juste avant de se noyer Les marins l’ont vu danser |
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Posté le 13/05/2010 à 06:20:48
Notre ancêtre Vidange
Voici l'histoire d'un naincapable (n'incapable) de tuer vite et de tier louin... Dans son épopée formidable... nous le suivrons un verre de rhum a la main... (WAII!!!!!)
refrain: Nous sommes les pirates d'la Confrérie... on tue le jour, on boit la nuit.. et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...
Un jour mon ancêtre Vidange.. fut envoyé écumer Liberty .. y avait soi-disant de l'or et du rhum .. si y en avait... ben on savait pas ou y strouvait..
refrain: Nous sommes les pirates d'la Confrérie... on tue le jour, on boit la nuit.. et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...
Il fit sa moisson en bordure... d'une ville cossue peuplée de corsaires... des gens qui boufent de la verdure... évidemment ca ne fait pas de bonnes victimes..
refrain: Nous sommes les pirates d'la Confrérie... on tue le jour, on boit la nuit.. et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...
Vas t'en!..tu n'est pas le bien venu!.. lui dire ces corsaires ..en lui tirant leur balle.. voyant que tout était foutu... il s'enfuit... en suivant la canquale..
refrain: Nous sommes les pirates d'la Confrérie... on tue le jour, on boit la nuit.. et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...
Il fut recueilli par les Syaides.... ondines bleues ... bullant sur le rivage.. de l'eau de pluie lui fut donnée.. il recracha (Pouha) tout dans leur visage....
refrain: Nous sommes les pirates d'la Confrérie... on tue le jour, on boit la nuit.. et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...
courant a travers les fougères... il arriva prés d'un village zombies... bien sur qu'on y vendais de la bière... mais aucun homme ne voulait servir un pirate.... Vidange massacra le patron...d'une taverne a coup de tabouret... puis il rentra a la maison...et du repaire il ne reparti jamais...
refrain: Nous sommes les pirates d'la Confrérie... on tue le jour, on boit la nuit.. et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...
Frères..restons bien a l'abris... Mangeons..buvons..dans notre beau repaire... Là-bas c'est peuplé d'abrutis... Vas y Jacquot ressert donc nous un rhum!!
refrain : Nous sommes les pirates d'la Confrérie... on tue le jour, on boit la nuit.. et on n'aime pas les corsaires d'Liberty... |
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Posté le 18/05/2010 à 07:57:07
C'est le fameux trois mats Del senor montoya yepehaaa yepeahyooo ! 18 litres dans 400 tonneau C'est tout se qu'on peut y trouver d'eau
Tiens bon la boutanche et lache rien dans les flots yepehaaa yepeahyooo ! Si dieu veut toujours titubant Nous iront comme des alcolos
C'est a la taverne qu'on s'amarine matelot yepehaaa yepeahyooo ! Fais quand même gaffe quand tu lache des rôts Parfois sa fais du pas beau
On prétend que chez moi le rhum coule à flots. yepehaaa yepeahyooo ! qu'on en trouve un vrai ruisseau ben ouai j'en ai 400 tonneau
Un jour, je reviendrai chargé comme un bardot. yepehaaa yepeahyooo ! Au pays, j'irai voir El paso Et je ravitaillerai pour rester a flot
Le joueur de junior s'enfuis en courant, aprés lecture de se qu'il as fais d'un jet de se pauvre santiano aprés une nuit blanche. Mais comme la terre est ronde il devrai repasser d'ici demain. |
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Ocowyn |
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Posté le 22/12/2010 à 23:27:32
Jim le Souriant:
Il vous apportera de l'hydromel Il vous apportera de la bière Le visage fendu d'un large sourire Il nous a servi d'année en année Nous l'appelons Jim le Souriant. |
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Ocowyn |
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Posté le 23/12/2010 à 00:10:27
La Bataille d'Ulüngen :
Le vent souffle sur les plaines de Liberty, à Ulüngen, Je jette un dernier regard sur ma femme, mon fils et mon domaine. Akim, le fils du capitaine, est venu me chercher; Les chefs ont décidé de mener le combat dans la vallée. Là où nos compagnons, de vaillants moussaillons, Après de grandes batailles se sont retrouvés bien cons. C'est l'heure maintenant de défendre notre terre Contre une armée de vils Anglais prêts à croiser le fer. Et tout Ulu s'est réuni autour des grands menhirs Pour invoquer les dieux afin qu'ils puissent nous bénir. Après cette prière avec mes frères, sans faire état de zèle, Les chefs nous ont donné à tous des gorgées d'hydromel, Pour le courage, pour pas qu'il y ait de faille, Pour rester grands et fiers quand nous serons dans la bataille. Car c'est la première fois pour moi que je pars à la guerre Et j'espère être digne des Hollandais, mes frères. {Refrain:} Les Hollandais (oh oh) ils sont là (la li la la). Les Hollandais (oh oh) et ils comptent bien te mettre KO Les Hollandais (oh oh) ils sont là (la li la la). Les Hollandais (oh oh) tu finiras dans un tombeau. Après quelques incantations de druides et de magie, Les Hollandais, le glaive en main, couraient vers l'ennemi. La lutte était terrible et je ne voyais que des ombres, Tranchant l'ennemi qui revenait toujours en surnombre. Mes frères tombaient l'un après l'autre devant mon regard, Sous le poids des armes que possédaient tous ces barbares, Des dagues, des sabres et des épées sur le sol d’Ulüngen Qui écoulaient du sang sur l'herbe verte de la plaine. Comme ces jours de peine, où l'homme se traîne À la limite du règne du mal et de la haine. Fallait-il continuer ce combat déjà perdu ? Mais telle était la fierté de toute la ville d’Ulu. La lutte a continué comme ça jusqu'au soleil couchant, De férocité extrême en plus d'acharnement; Fallait défendre la terre de nos ancêtres disparus, Et pour toutes les lois des Hollandais d’Ulu. {au Refrain} Au bout de la vallée on entendit un cri de femme, D'un chef ennemi qui rappelait tous ces infâmes. Avait-il compris qu'on lutterait même en enfer Et qu’aux fiers Hollandais appartenaient ces terres ? Les Anglais repartaient, je ne comprenais pas Tout le chemin qu'ils avaient fait pour en arriver là, Quand mon regard se posa tout autour de moi, J'étais le seul debout de tout Ulu ; voilà pourquoi Mes doigts se sont écartés tout en lâchant mes armes, Et le long de mes joues se sont mises à couler des larmes Je n'ai jamais compris pourquoi les dieux m'ont épargné De ce jour noir de notre histoire que j'ai contée. Le vent souffle toujours sur Liberty, à Ulüngen Et j'ai rejoint ma femme, mon fils et mon domaine. J'ai tout reconstruit de mes mains pour pouvoir y arriver, Et je suis devenu, Gouverneur Hollandais. {au Refrain} |
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Ocowyn |
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Posté le 09/01/2011 à 17:39:25
J’étais dans mon village à réparer des chaises en bois Mais l’aventure m’appelait, l’ennui était en moi J’avais ouïe d’une île, située au-delà des mers, J’ai attrapé mon pistolet, mon sabre et ma galère..
A l’aventure mes amis je suis parti pour Liberty J’aurais p’têt’ mieux fait d’rester chez moi, la suite vous le dira.
J’suis arrivé sur Liberty trempé par un orage, L’bateau m’a été pris mais j’ai gardé mon courage. Contournant Ulüngen dont les portes étaient fermées, J’ai fait « c’est bien ma veine ! » et des pirates sont arrivés..
A l’aventure mes amis je suis parti pour Liberty J’aurais mieux fait d’rester au lit, au lieu d’venir ici.
Ils m’ont piqué ma cape, mes sandwichs, mon pistolet, J’ai dû abandonner mon sac et fuir comme un Anglais, Poursuivi par ces brutes, je suis tombé dans un trou, C’était l’entrée secrète qui passait par les égouts.
A l’aventure mes amis je suis parti pour Liberty J’aurais mieux fait d’rester au lit, au lieu d’venir ici.
J’ai rampé dans la fange, les vermines et les sangsues, J’ai atterri dans une taverne, la taverne d’Ulu Ils ont soigné mes plaies, merci la Croix Orange, Et puis ils m’ont offert du rhum et bien d’autres mélanges..
A l’aventure mes amis j’suis arrivé sur Liberty J’aime l’hospitalité qu’y a, surtout les filles de joie !
J’ai traîné dans les rues d’Ulu sans armes, toujours pas d’veine, Egaré dans la ville j’suis revenu à la taverne. Des gens m’ont vu passer, courant vers le comptoir, Je me demande encore tout ce que j’ai bien pu boire..
A l’aventure mes amis j’suis arrivé sur Liberty Maint’nant moi j’suis un vrai bonhomme ‘vec ma bouteille de rhum ! |
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Posté le 31/07/2011 à 13:09:43
Petite moisson rapportée de Kandorya pour les différents posts qui suivent)
Hissons nos couleurs (Pirates des Caraibes)
http://www.dailymotion.com/video/x4uds5_hissons-nos-couleurs_shortfilmsLe roi et ses pairs Ont enfermé la Paix/reine, A bord d'un bateau de plomb. Nous naviguons, et par ses pouvoirs Moi et mes frères vogueront. Yo ho sur l'heure Hissons nos couleurs. Hissez ho, l'âme des pirates Jamais ne mourra. Yo ho quand sonne l'heure Hissons nos couleurs. Hissez ho, l'âme des pirates Jamais ne mourra. Il y a les morts il y a les vivants, On ne peut fuir le temps. Grâce au clé de la cage Il faut payer le diable Et piller le levant/prier pour la forme Les morts ne peuvent pas faire voile vers les mystères Du funèbre océan. ( Mais ) nous ne sommes et soyons forts, Et rentrons au port. Yo ho quand sonne l'heure Hissons nos couleurs. Hissez ho, l'âme des pirates Jamais ne mourra. Hoist the Colors The king and his men stole the queen from her bed and bound her in her Bones. The seas be ours and by the powers where we will we’ll roam. Yo, ho, all together, hoist the Colors high. Heave ho, thieves and beggars, never shall we die. Yo, ho, all together, hoist the Colors high. Heave ho, thieves and beggars, never shall we die. Some men have died and some are alive and others sail on the sea – with the keys to the cage… and the Devil to pay we lay to Fiddler’s Green! The bell has been raised from it’s watery grave… Do you hear it’s sepulchral tone? We are a call to all, pay head the squall and turn your sail toward home! Yo, ho, all together, hoist the Colors high… Heave ho, thieves and beggars, never shall we die.
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