Faux Rhum Le Faux Rhum Faux Rhum  

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Chansons de pirates. 1 -2- 3  
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Panda
Panda
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05/06/2007
Posté le 02/09/2008 à 01:59:33 

* Jùan, assit sur un tonneau derrière l'auberge Espagnole, fredonnait un air d'un ton mélancolique, le regard porté vers la lune...* Quinze marins sur l'bahut du mort ! Yop la ho, un' bouteill' de rhum... A boire et l'diable avait réglé leur sort Yop la ho, un' bouteill' de rhum. Long John Silver a pris le command'ment Des marins et vogu' la galère Il tient ses hommes comme il tient le vent Tout l'monde a peur de Long John Silver. Quinze marins sur l'bahut du mort ! Yop la ho, un' bouteill' de rhum... A boire et l'diable avait réglé leur sort Yop la ho, un' bouteill' de rhum. C'est Bill le second du corsaire Le capitain' Flint en colère Est revenu du royaum' des morts Pour hanter la cache au trésor. Quinze marins sur l'bahut du mort ! Yop la ho, un' bouteill' de rhum... A boire et l'diable avait réglé leur sort Yop la ho, un' bouteill' de rhum. Quinze marins sur l'bahut du mort ! Yop la ho, un' bouteill' de rhum... A boire et l'diable avait réglé leur sort Yop la ho, un' bouteill' de rhum. Et tu iras où tant d'autr's sont allés Quequ's-uns aux vergues et quequ's-uns par d'ssus bord Tous pour nourrir le poisson d'abord. Quinze marins sur l'bahut du mort ! Yop la ho, un' bouteill' de rhum... A boire et l'diable avait réglé leur sort Yop la ho, un' bouteill' de rhum. Tous finiront par danser la gigue La corde au cou au quai des pendus Toi John Forest et toi John Hervig Si près du gibet qu'j'en ai l'cou tordu. Quinze marins sur l'bahut du mort ! Yop la ho, un' bouteill' de rhum... A boire et l'diable avait réglé leur sort Yop la ho, un' bouteill' de rhum... [Quinze Marins - version de Cap à l'Ouest, groupe d'un de mes oncles, reprise de Michel Tonnerre. (bon ok, c'est les mêmes paroles, mais je préfère la reprise :P]
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 07/09/2008 à 11:52:27. Dernière édition le 15/02/2024 à 15:23:05 

Il avait une fleur entre les dents, entre les dents,
Il avait dans le coeur l'amour du large et des grands vents,
Et quand il embarquait par trop gros temps,
il nous disait: "Nous, on n'a pas de cimetière, on a la mer"

Quand il ne revint pas un beau matin, un beau matin,
Les femmes ne pleuraient pas, elles joignaient seulement leurs mains,
Les hommes ne disaient rien mais ils pensaient:
"Un jour, qui sait... Nous, on n'a pas de cimetière, on a la mer"

Et quand la vague un jour nous ramena une fleur,
On l'a compris, qu'il nous laissait encore son coeur.

Il avait une fleur entre les dents, entre les dents,
Il avait dans le coeur l'amour du large et des grands vents;
Quand nous parlons de lui, tout en riant, on se redit:
"Nous, on n'a pas de cimetière, on a la mer".
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 07/09/2008 à 11:55:36 

Quand Les Bateaux Reviennent Quand les bateaux reviennent Il reste sur leurs flancs Des lambeaux décevants Du vent qui les emmène Quand les bateaux reviennent... Et les marins du bord Voient grandir la falaise Et le curieux malaise Et les lueurs du port Où les femmes au matin Frissonnant sous le châle Ont la lèvre un peu pâle Et le coeur incertain Car c'est le même vent Qui trousse leurs dentelles Emporte leurs enfants Puis les ramène à elles Il donne aux goélands Cette lenteur si belle Et fait de leurs amants Des marins infidèles Quand les bateaux reviennent On les attache au quai La longe et le piquet Pour seuls fruits de leur peine Quand les bateaux reviennent... Puis les marins s'en vont Ecrasés de fatigue Même le sol navigue Au coeur de leur maison Le lit déjà défait Se couvre de soupirs Et les femmes chavirent Et leur espoir renait Car c'est le même vent Qui souffle leur chandelle Un soir de printemps Les a trouvées moins belles Il donne aux océans Quelques rides nouvelles Et montre aux cerfs-volants Tous les chemins du ciel Alors pour quelques jours Le temps n'existe pas C'est peut-être pour ça Que les adieux sont lourds Quand les bateaux repartent... Les femmes au petit jour A l'instant du départ Cherchent dans leur mouchoir Pour se compter les jours Les grains déjà si lourds Du chapelet d'ivoire Et l'impossible amarre Qui mène à leur amour Mais c'est le même vent Qui ramène au rivage Un peu de l'Océan Jusque sur leur visage Où la mer et le temps De passage en passage Ont creusé le sillage Etrange et fascinant D'un bateau qui voyage...
el Valiente del Clacos
el Valiente del Clacos
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05/04/2006
Posté le 07/09/2008 à 13:02:37 

Vous ne l'avez pas encore mise celle la? Les pirates sur le pont Célèbrent leur victoire Ils défoncent les caissons Pour y trouver à boire R : Célébrons le jour passé La soirée est belle Célébrons le jour passé Demain nous verrons bien Et l'on boit à fût percé Et les tonneaux se vident Ils n'en ont jamais assez Ils sont tout à fait ivres Mais arrive un grand bateau Hourrah ! A l'abordage A la hache et au couteau On pille et on saccage Mais cette fois les marins Se battent et se défendent Et voilà que bel et bien Les pirates se rendent Plus jamais ne montera Tout en haut de misaine Le pavillon scélérat De pillage et de haine
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 08/11/2008 à 13:21:59 

Et si c'était une nuit
Comme on ne connu pas depuis,
Depuis cent mille nuits.
Le nuit de fer, le nuit de sang,
Une nuit, un chien hurle.
Regarde bien, gens, de d'enfer, regarde le.
De son manteau de bronze vers les ours,
Les ours tremblent.

Les hommes avaient perdu le goût
De vivre, et se foutaient de tout
Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas
Pour eux c'était que des foutaises
Le ciel redevenait sauvage,
Le béton bouffait le paysage... D'alors

Les loups, ououh! ououououh!
Les loups étaient loin de Port-Louis
Du camp paria, d’la ConfrérieLes loups étaient loin de Port-Louis
J'aimais ton rire, charmante Kristal
Les loups étaient loin de Port-Louis.

Mais ça fait cinquante lieues
Dans une nuit à queue leu leu
Dès que ça flaire une ripaille
De morts sur un champ de bataille
Dès que la peur hante les rues
Les loups s'en viennent la nuit venue... Alors

Les loups, ououh! ououououh!
Les loups ont regardé vers Port-Louis
Du camp paria, d’la Confrérie
Les loups ont regardé vers Port-Louis
Tu peux sourire, charmante Kristal
Les loups regardent vers Port-Louis.

Et voilà qu'il fit un rude hiver
Cent congestions en fait divers
Volets clos, on claquait des dents
Même dans les beaux arrondissements
Et personne n'osait plus le soir
Affronter la pluie froide tropicale... Alors

Des loups ououh! ououououh!
Des loups sont entrés dans Port-Louis
L'un par Issy, l'autre par Ivry
Deux loups sont entrés dans Port-Louis
Ah tu peux rire, charmante
Deux loups sont entrés dans Port-Louis.

Le premier n'avait plus qu'un oeil
C'était un vieux mâle de Krivoï
Il installa ses dix femelles
Dans la vaste maison de France,
Et nourrit ses deux cents petits
Avec les enfants de Port-Louis... alors

Cent loups, ououh! ououououh!
Cent loups sont entrés dans Port-Louis
Soit par Issy, soit par Ivry
Cent loups sont entrés dans Port-Louis
Cessez de rire, charmante Amandine
Cent loups sont entrés dans Port-Louis.

Le deuxième n'avait que trois pattes
C'était un loup gris des Karpates
Qu'on appelait Carême-Prenant
Il fit faire gras à ses enfants
Et leur offrit six ministères
Et tous les gardiens des fourrières... alors

Les loups ououh! ououououh!
Les loups ont envahi Port-Louis
Soit par Issy, soit par Ivry
Les loups ont envahi Port-Louis
Cessez de rire, charmante Kristal
Les loups ont envahi Port-Louis.

Attirés par l'odeur du sang
Il en vint des mille et des cents
Faire carousse, liesse et bombance
Dans ce foutu pays de France
Jusqu'à ce que les hommes aient retrouvé
L'amour et la fraternité... Et alors

Les loups ououh! ououououh!
Les loups sont sortis de Port-Louis
Soit par le nord, soit par l’est
Les loups sont sortis de Port-Louis
Tu peux sourire, charmante Alex
Les loups sont sortis de Port-Louis
J'aime ton rire, charmante Alex
Les loups sont sortis de Port-Louis...
Les loups...
Les loups...
Les loups...
Les loups...
Les loups, les loups. les loups...
Les loups...
Les loups...
RIP
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Posté le 07/12/2008 à 16:10:40 

Soyons sérieux pour une fois! cette chanson est trop belle...

Pep's - Liberta


Tu sais qu'il y a un bateau qui mène au pays des rêves
Là-bas où il fait chaud, où le ciel n'a pas son pareil
Tu sais qu'au bout cette terre
Oh oui les gens sèment
Des milliers d'graines de joie où pousse ici la haine
On m'avait dit p'tit gars
Là-bas on t'enlève tes chaînes
On te donne une vie
Sans t'jeter dans l'arène
Comme ici tout petit après neuf mois à peine
On te plonge dans une vie où tu perds vite haleine
Alors sans hésiter
J'ai sauté dans la mer
Pour rejoindre ce vaisseau
Et voir enfin cette terre
Là-bas trop de lumière
J'ai dû fermer les yeux
Mais rien que les odeurs
Remplissaient tous mes vœux

Refrain
I just wanna be free in this way
Just wanna be free in my world
Vivere per libertà
Vivere nella libertà

Alors une petite fille aussi belle que nature
Me pris par la main et m'dis suit cette aventure
On disait même, oh oui que la mer l'enviait
Que la montagne se courbait pour la laisser passer
Elle m'emmena au loin avec une douceur sans fin
Et ses bouclettes dorées dégageaient ce parfum
Qui depuis des années guidait ton chemin, mon chemin, le chemin

Refrain

Pour arriver enfin à ces rêves d'enfants
Qui n'ont pas de limites comme on a maintenant
J'ai vu des dauphins nager dans un ciel de coton
Où des fleurs volaient caressant l'horizon
J'ai vu des arbres pousser remplaçant les gratte-ciel
J'ai vu au fond de l'eau une nuée d'hirondelles

Refrain
RIP
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Posté le 07/12/2008 à 17:01:22 

Bon les traductions c'est pas du sur... moi j'ai juste copier-coller-arranger...

Brooke ( de one piece ^^ si ya une originale j'connais pas son auteur alors je mets celui-ci en attendant que quelqu'un me fasse une remarque ) - Bink's sake

Yohohohooooo~ Yo~~Hohoooh~~~
Yohohoho~~~Yo~~hohooh~~~

Yohohoho~~~Yo~~hoho~~ho~~~

Yohohoho~~Yoohoohooho~~~ ...


Binks~~no sake wo~~~ Todoke~~ni yuku yo... (Set out to deliver Binks' sake...)

Umikaze ki~~makase~ (..Through the wind of the sea, through the wind of the heart..)
Namimakkase~~~ (..through the wind of the waves..)

Shio no mukou de~ (..on the ocean's horizon..)

Yu~~~hi~~~mo sawagu~ (..to the setting sun..)
Sora nya~~wa o kaku~ (..where the bird sings its song..)

Tori no uta~~ (..through the heavens.)

Hm~~~Hmm~~Hm~~~Hmm~~

Binks no Sake
Yohohoho yohohoho x 4

Binks no sake wo
todoke ni yuku yo
umi kaze
kima kase
nami kase
ushio no mukou de
yuuhi mo sawagu
sora nya
wa o kaku
tori no uta
Sayonara minato
tsumugi no sato yo
don to icchou utao
funade no uta
kinpa ginpa mo

shibuki ni kaete
oretachiya yukuzo
umi no kagiri
Binks no sake wo
todoke ni yuku yo
warera kaizoku
umiwatteku
nami o makura ni
negura wa fune yo
ho ni hata ni
ketateru wa dokuro

Arashi ga kita zo
senri no sora ni
nami ga odoru yo
doramu narase
okubyou kaze ni
fukarerya saigo
asu no asahi ga
naijanai shi
yohohoho yohohoho x 4

Binks no sake wo
todoke ni yuku yo
kyou ka asu ka to you no yume
te wo furu kage ni
mou aenai yo
nani wo kuyo kuyo
asu mo tsuku yo

Binks no sake wo
todoke ni yuku yo
don to icchou utao
unaba no uta
douse dare demo
itsuka wa hone yo
hatenashi
atenashi
warai hanashi
yohohoho yohohoho x 4

Il semblerait que j'ai trouvé une traduction complète sur un autre site... mais bon les différents traducteurs ne doivent pas avoir les même versions passkils sont pas tout à fait d'accord ^^.

Yo-hohoho, Yo-hohoho,
Yo-hohoho, Yo-hohoho,
Yo-hohoho, Yo-hohoho,
Yo-hohoho, Yo-hohoho,

Going to deliver Bink's Sake!
Following the sea breeze!
Riding on the waves!
Far across the salty depths!
The merry evening sun!
Painting circles in the sky!
as the Birds Sing

Farewell to the harbour,
To my old hometown
Lets all sing out with a Don!
As the ship sets sail
Waves of gold and silver
dissolve to salty spray
As we all set sail to
The ends of the sea
Going to deliver Bink's Sake!
We are pirates
Sailing through the Sea!
The waves are our pillows
The ship our roost
Flying the proud Skull
On our flags and our sails
Now comes a storm
Through the far-off sky
Now the waves are dancing
Beat upon the drums
If you loose your nerve
This breath could be your last
But if you just hold on,
The morning sun will rise

Yo-hohoho, Yo-hohoho,
Yo-hohoho, Yo-hohoho,
Yo-hohoho, Yo-hohoho,
Yo-hohoho, Yo-hohoho,

Going to deliver Bink's Sake!
Today, and tomorrow,
our dreams through the night!
Waving our goodbyes,
we'll never meet again!
But don't look so down;
For at night the moon will rise!
Going to deliver Bink's Sake!
Let's all sing it with a Don!
A song of the waves
Doesn't matter who you are,
Someday you'll just be bones
Never-Ending, Ever-wandering,
Our funny Traveling tale!

Pour connaitre l'air de la musique:
http://www.youtube.com/watch?v=pAJPTlfHkIw&feature=related

Pour connaitre le personnage:
http://www.youtube.com/watch?v=G8iKmmBUe9U&feature=related
Anne Providence
Anne Providence
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Posté le 08/04/2009 à 20:19:56 

En cherchant un RP dans les "archives" de Liberty, je viens de tomber sur cette chanson de Drake et elle ne mérite pas de disparaitre sous la poussière :


-----------------------------------

Pour les amateurs de Renaud, de la chanson ou de la guerre

Anglo-hollandaise...



Petit Hollandais, bien integré quasiment commercant,
Dans mon coffe

tout de bois et de brique,
Je prends mon job, une taff et amasse le frik,


Petite fille

Anglaise, de l'autre côté du lac central,
Jamais entendu parler de Ulungen,
Mon quotidien c'est la

misère et la gène,


Deux étrangers au bout d'Liberty, si différents,
Deux inconnus, deux

anonymes, mais pourtant,
Pulverisés, sur l'autel, du dégout mutel,


Une grosse défaite, a

fait éxplosés mes prix,
Mon ciel si bleu est devenu orage,
Lorsque les hollandais ont rasés mon

village,


Deux étrangers au bout d'Liberty, si différents,
Deux inconnus, deux anonymes,

mais pourtant,
Pulverisés, sur l'autel, du dégout mutel,


So long, adieu mon rêve de

commercant,
Moi, plus jamais esclave du gouvern'ment,
Vite imposé le Vol des tyrans,
Ceux là

ont'ils jamais manqués d'argents ?


Suis redev'nu poussière,
Je s'rai pas vendeur

populaire,
Ce pays que j'aimais tellement serait-il,
Finallement dirigé par des imbéciles

?


Les idéaux, les populations,
Les guerres d'argumentations,
Les armes, les drapeaux,

les patries les nations,
Font toujours de nous de la chair à canon


Deux étrangers au bout

d'Liberty, si différents,
Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant,
Pulverisés, sur l'autel, du

dégout mutel,


Deux étrangers au bout d'Liberty, si différents,
Deux inconnus, deux

anonymes, mais pourtant,
Pulverisés, sur l'autel, du dégout mutel.
Anne Providence
Anne Providence
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Posté le 03/07/2009 à 21:30:44 

LE GALERIEN


Je me souviens que ma mère m'aimait
Et je suis aux galères
Je me souviens que ma mère me disait
Mais je n'ai pas cru ma mère

Ne traîne pas dans les ruisseaux
Te bats pas comme un sauvage
T'amuse pas comme les oiseaux
Elle me disait d'être sage

J'ai pas tue, j'ai pas vole
Je voulais courir ma chance
J'ai pas tue, j'ai pas vole
Je voulais que chaque jour soit Dimanche

Je me souviens que ma mère pleurait
Des que je passais la porte
Je me souviens comme elle pleurait
Elle voulait pas que je sorte

Toujours, toujours elle disait
T'en vas pas chez les filles
Ne fais donc pas toujours ce qu'il te plaît
Dans les prisons 'y a des grilles

J'ai pas tue, j'ai pas vole
Mais j'ai cru Madeleine
J'ai pas tue, j'ai pas vole
Je voulais pas lui faire de peine

Je me souviens que ma mère disait
Suis pas les bohémiennes
Je me souviens comme elle disait
On ramasse les gens qui traînent

Un jour les soldats du roi
T'emmèneront aux galères
Tu t'en iras trois par trois
Comme ils ont emmène ton père

Tu auras la tête rasée
On te mettra des chaînes
T'en auras les reins brises
Et moi j'en mourrai de peine

Toujours toujours tu rameras
Quand tu seras aux galères
Toujours toujours tu rameras
Tu penseras peut-être a ta mère

J'ai pas tue, j'ai pas vole
Mais j'ai pas cru ma mère
Et je me souviens comme elle m'aimait
Pendant que je rame aux galères
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 24/01/2010 à 23:48:14 

C'est dans la pipe qu'on met l'tabac.
Oula ! Oula !
C'est dans la pipe qu'on met l'tabac.
Oula ! Oulala !

Pare à virer, les gars faudrait haler.
On s'repos'ra quand on arriv'ra
Dans les ports de Tacoma.

C'est dans la cave qu'il y a des rats.
Oula ! Oula !
C'est dans la cave qu'il y a des rats.
Oula ! Oulala !

Pare à virer, les gars faudrait haler.
On s'repos'ra quand on arriv'ra
Dans les ports de Tacoma.

C'est dans la gueule qu'on met l'tafia.
Oula ! Oula !
C'est dans la gueule qu'on met l'tafia.
Oula ! Oulala !

Pare à virer, les gars faudrait haler.
On s'repos'ra quand on arriv'ra
Dans les ports de Tacoma.

C'est dans la mer qu'on met les mâts

Oula ! Oula !

C'est dans la mer qu'on met les mâts

Oula ! Oula !


Pare à virer, les gars faudrait haler.
On s'repos'ra quand on arriv'ra
Dans les ports de Tacoma.


Et les filles ça s'met dans les bras
Oula ! Oula !
Et les filles ça s'met dans les bras
Oula ! Oula !

Pare à virer, les gars faudrait haler.
On s'repos'ra quand on arriv'ra
Dans les ports de Tacoma.
Le Nouveau Gédéon
Le Nouveau Gédéon
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30/09/2008
Posté le 25/01/2010 à 11:01:52 

[HRP: Le Panda a dit, il y a bien longtemps: "Quinze Marins - version de Cap à l'Ouest, groupe d'un de mes oncles, reprise de Michel Tonnerre".   Euh, c'est Yaouank, ton oncle? T'es qui toi? Yaouank et Tonnerre je les connais...]

                         LE MAÎTRE A BORD

Eh quoi les matelots, vous avez tous la frousse,
Et oui je le sais bien, il est vieux mon Trois Mats.
Mais il me faut douze hommes, un capitaine, un mousse,
Qui le raménera vers le Guatemala

Alors pendant ce temps, il cherche un équipage,
Contraint de le former de marins d'occasion,
Vagabons sans aveux, dont certains tatouages
Affichent l'anarchie, et la Révolution.
               Mais lui, le Malabar, lui qui n'a peur de rien,
               Au moment du départ, leur dit, je vous préviens...

                              JE SUIS LE MAÎTRE A BORD
                              A bord je suis le maître
                              Bien des costauds, des forts,
                              ont du le reconnaître.

Je vous promets, moi commandant:
Double ration, bon vin, bonne route.
Je serai juste et indulgent,
Mais il faudra que l'on m'écoute.
Et maintenant, le cap au Nord.
           Je suis le maître à bord. 


Pendant 40 jours, le navire est en route.
Les vents sont contre lui, le mauvais temps aussi.
Et bientôt plus de vivre, et plus d'eau dans les soutes,
On sent que la révolte est à bord, et grandit. 
S'avançant dans la nuit, 4 hommes fous de rage
Vont l'insulte à la bouche, le couteau à la main,
Parler au Capitaine, au nom de l'équipage:
Il faut que tu nous donnes des biscuits et du vin. 
          Mais lui le Malabar 
          Leur dit: Voyez là-bas,
          Voyez briller ce phare,
          C'est le Guatemala.

                              JE SUIS LE MAÎTRE A BORD
                              Ce soir, demain j'espère,
                              Nous toucherons le port,
                              Vous serez libre à terre

 Oui mais ici, Mille Sabords!
Je n'admets pas la moindre riposte.
Je materai tous les plus forts.
Que chacun regagne son poste.
Sur tous j'ai l'droit de vie, de mort
               Je suis le maître à bord.
 

Mais la brise fléchit, balloté par la houle,
Le Trois Mâts va, tanguant, sous la force du vent.
De tribord à babord, il va, il vient, il roule.
"Qu'on me donne la barre!" a dit le commandant.
Bientôt, c'est l'ouragan, on ne voit plus le phare,
Les voiles se déchirent, et les flôts furieux
Emportent un marin. Devinant le naufrage,
Alors le Malabar s'écrie: "Sauve qui peut.
      Les canots tous à la mer
      Que dieu veille sur vous".
      Et tous les matelots crient:
      "Venez avec nous"
                                                     NON

                             JE SUIS LE MAÎTRE A BORD
                              Je dois le reconnaître
                             Mes droits me rendent forts
                             Me font parler en maître

Mais le devoir commande encore,
Honneur au pied du mât de Misaine
Tu ne dois pas quitte ton poste,
C'est le devoir du Capitaine.
               Et maintenant, face à la mort, Je suis le maître à bord...
Anne Providence
Anne Providence
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Posté le 26/02/2010 à 19:32:31 

Alanis, Alanis,
Du fond de Liberty
Alanis, Alanis
De bâbord à tribord
Tu veilles sur la Confrérie
Sur la liberté aussi

Alanis, Alanis
Capitaine d'la Confrérie
Alanis, Alanis
Même si tu parais de glace
Ton cœur est bon
Ton cœur est grand
Pour accueillir tes amants.

Le fier Sournois est ton vaisseau
Le pavillon noir est son drapeau
Momo et Manitas sont avec toi

Alanis, Alanis
Avec ton équipage
Alanis, Alanis
Tu mène au pillage
tu sèmes la terreur
D'un bord  l'autre
Tous les corsaires

Alanis, Alanis
Capitaine d'la Confrérie
Alanis, Alanis
Bien plus fort que la mort
Tu es toujours au rendez-vous
N'importe quand, n'importe où
Tu es toujours au rendez-vous
Toujours avec nous
Anne Providence
Anne Providence
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Posté le 27/02/2010 à 16:09:44 

Pensez à compléter les paroles, mais celle-ci elle vaut de l'or, il s'agit d'une oeuvre collective :


Le petit Zombie en mousse

Le petit Zombie en mousse
Qui t'poursuis avec son hachoireuuuuuh!
Tel une fouzère se trémousse...
Comme ta maman l'fais chaqueuuuh soiiiiir !
La petiteee, petiteee zombinetteeee...
Qui s'étaaaaale, qui est sans têêêête !
Rutger Roeland
Rutger Roeland
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Posté le 02/03/2010 à 21:50:47 

spéciale dédicasse aux français


Les Filles de Port Louis

Michel Tonnerre par Rhum et Eau

Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï
Bien qu'elles aillent à la messe
Dimanche matin
Ne dédaignent point la fesse
Ni les jeux malins
Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï

On dit des filles de Provence
Qu'elles sont tendres et bien jolies
Mais la seule qui m'fout en transe
C'est une fille de Port-Louis

Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï
Bien qu'elles aillent à la messe
Dimanche matin
Ne dédaignent point la fesse
Ni les jeux malins

Les filles d'Hennebont on l'chuchotte
N'ont pas d'boutons à leurs culottes
Mais quand elles rentrent à la maison
C'est sans culotte et plein d'boutons

Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï
Bien qu'elles aillent à la messe
Dimanche matin
Ne dédaignent point la fesse
Ni les jeux malins
Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï

Et c'est derrière les remparts
Qu'elles font bande à part
Voilà mes amis j'vous l'dis
C'est un vrai traqu'nard

Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï
Bien qu'elles aillent à la messe
Dimanche matin
Ne dédaignent point la fesse
Ni les jeux malins
Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï

Et puis dès le matin très tôt
Depuis l'Port de Keroman
Pire qu'les sirènes des bateaux
On entend leurs gémissements

Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï
Bien qu'elles aillent à la messe
Dimanche matin
Ne dédaignent point la fesse
Ni les jeux malins
Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï

Il y en a une très jolie
Avec qui je suis de mèche
Et dans le lit elle me dit
Fais-moi l'amour mais pas la pêche

Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï
Bien qu'elles aillent à la messe
Dimanche matin
Ne dédaignent point la fesse
Ni les jeux malins
Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï

Et certaines grandes goules
Vous diront c'est une fable
Quand on fait la pêche aux moules
Il faut s'méfier des p'tits crabes

Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï
Bien qu'elles aillent à la messe
Dimanche matin
Ne dédaignent point la fesse
Ni les jeux malins
Les Filles de Port-Louis
Sont bien chaudes touï
Kurota Ryuga
Kurota Ryuga
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29/08/2007
Posté le 02/03/2010 à 22:24:12 

Ecoute mon histoire, matelot
Si lorsque tu regardes les flots
Tu vois des femelles aquatiques
Qui te font dans le froc comme un cric
Le mauvais oeil sur un bateau
Ca s'attrape en y pensant trop
Méfie-toi d'elles, méfie-toi matelot
Ces femelles n'en veulent qu'à ta peau

Tous les marins savent que les sirènes
Hey hey ho, écoute-moi matelot
C'est pas du sang c'est de l'eau salée
Qui coule dans leurs veines
Hey hey ho, écoute-moi matelot
Si les femmes te travaillent la chair
Il fallait rester sur la terre

Ecoute mon histoire, écoute bien garçon
Si tu veux pas finir ton quart bouffé par les poissons
Si tu touches aux écailles d'une fille de Neptune
Tu reviendras avec un trident planté dans la lune
Si les vagues dans le coeur te font du ressac
Lorsque tu penses au port et aux filles de Piriac
Dis-toi bien que même les pirates, que même les corsaires
Ont peur de sombrer dans les pattes d'une fille des mers

Tous les marins savent que les sirènes
Hey hey ho, écoute-moi matelot
C'est pas du sang c'est de l'eau salée
Qui coule dans leurs veines
Hey hey ho, écoute-moi matelot
Si les femmes te travaillent la chair
Il fallait rester sur la terre

Plus d'un gabier, plus d'un capitaine
Ont finis noyés perdus par ces chiennes
Elles te font tourner la caboche en faisant les câlines
Elles porteront ta paire en broche au bal de la marine

Tous les marins savent que les sirènes
Hey hey ho, écoute-moi matelot
C'est pas du sang c'est de l'eau salée
Qui coule dans leurs veines
Hey hey ho, écoute-moi matelot
Si les femmes te travaillent la chair
Il fallait rester sur la terre


Le clip est un joyeux portenawak bien dans l'esprit du jeu, avec ses anachronismes et son côté HRP pour rire...

http://www.dailymotion.com/video/xno36_elmer-food-beat_music
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 09/04/2010 à 20:03:32 

A toutes les corsaires que j'ai bernés avant 
Qui  me sont devenus indifférents maintenant
A leur volcan de larmes
A leur torrent de charme
Je suis resté insouciant
A tous les corsaires que j'ai bernés avant
Des donjons de Liberty à Louis le Grand
Aux perroquets déchirées
A leurs baisers volés
Je suis resté insouciant

{Refrain:}Ils avaient, ils avaient,
Des océans au fond des yeux
Je mentais, je mentais,
Pour les garder plus amoureux
Ils disaient, ils disaient,
Que l'amour c'est toute une vie à deux
Il y avait dans mon sourire un prédateur
Quelque chose de dangereux
Ils gravaient nos deux cœurs
Sur les arbres des forêts
Ils criaient comme on perd la tête
Quand on a trop aimé
Des océans au fond des yeux

A toutes les corsaires que j'ai bernés avant
Qui  me sont devenues indifférents maintenant
De leurs éclats de rire
A nos nuits de plaisir
Je suis resté insouciant
A toutes les corsaires que j'ai bernés avant
De plage, de soleil, en dîners dansants
Aux secrets murmurés
Aux passions déchirées
Je suis resté insouciant


{au Refrain}Des océans au fond des yeux
{au Refrain}Des océans au fond des yeux...
A toutes les corsaires que je bernerais encore
Little Olvia
Little Olvia
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08/02/2010
Posté le 14/04/2010 à 13:00:09 

Attention les gars, voilà la frégate, Attention les gars, c’est nous les pirates
Corsaires, pirates, ou bien flibustiers Corsaires, pirates, nous sommes sans pitié !
Attention les gars, voilà la frégate, Attention les gars, c’est nous les pirates
Toutes vos richesses, nous les volerons, Nus comme des vers nous vous laisserons !
Attention les gars, voilà la frégate, Attention les gars, c’est nous les pirates
                         Attention les gars, c’est pour vous qu’ça s’gâte Attention les gars, c’est nous les pirates
Troublion
Troublion
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20/04/2010
Posté le 20/04/2010 à 19:19:17 

http://www.deezer.com/listen-4618824

Ils leur ont dit, ils y ont cru
C'est à Liberty qu'ils sont bienvenus.
Prix du voyage : tous leurs bagages
Prix du voyage : tous leurs bagages

Un grand navire, des mois sur l'eau
Ils voient le pire, avant le beau
Quand on crie terre, ils ont des yeux d'enfants,
Quand on crie terre, ils ont des yeux d'enfants,

Refrain :
C'est leur île aux trésors, leur envie d'espérance
Mais à la place de l'or, ils trouvent Anne Providence
Ils ont pour seuls bagages, un sabre et deux bandages
Seules consignes du voyage, tuer des bêtes sauvages


Ils s'voient confiés grand nombre de quêtes
Ils doivent tuer de drôles de bêtes
Ils n'ont qu'leur sabre pour s'protéger
Ils n'ont qu'leur sabre pour s'protéger

Ils en oublient leurs rêves d'avenir
Ils sont partis, pour devenir
Mais c'est ici, qu'ils sont surpris
Mais c'est ici, qu'ils sont surpris


Refrain :
C'est leur île aux trésors, leur envie d'espérance
Mais à la place de l'or, ils trouvent Anne Providence
Ils ont pour seuls bagages, un sabre et deux bandages
Seules consignes du voyage, tuer des bêtes sauvages


Leur aller simple, est sans retour
Traqués le jour tout comme la nuit
Ils se battent pour rester en vie
Ils se battent pour rester en vie

Quand ils ont compris, ils font bataille
Toutes les nations se mettent à mal
Même leur patrie envoie des balles
Même leur patrie envoie des balles


Refrain :
C'est leur île aux trésors, leur envie d'espérance
Mais à la place de l'or, ils trouvent Anne Providence
Ils ont pour seuls bagages, un sabre et deux bandages
Seules consignes du voyage, tuer des bêtes sauvages
Ricolo
Ricolo
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22/04/2007
Posté le 02/05/2010 à 21:29:52 

Le pirate gallois

C’était un pirate gallois

Œil de verre, jambe de bois

Un pirate sans foi ni loi

Cœur de pierre et jambe de bois


Un pirate contre le roi

Main de fer et jambe de bois

Quand il coulait un voilier

Il se mettait à danser


Boum, boum, tip tip tip bang bang

La jambe de bois frappait en cadence

Boum, boum, tip tip tip bang bang

La jambe de bois du pirate gallois


Un jour le pirate gallois

Œil de verre, jambe de bois

Offrit à la fille du roi
Cœur de pierre et jambe de bois
Mais la belle n’en voulut pas

Main de fer et jambe de bois

Alors pour se consoler

Il se remit à danser


Boum, boum, tip tip tip bang bang

La jambe de bois frappait en cadence

Boum, boum, tip tip tip bang bang
La jambe de bois du pirate gallois

Un soir le pirate gallois
Œil de verre, jambe de bois

Enleva la fille du roi

Cœur de pierre et jambe de bois
Dans la mer elle se noya
Main de fer et jambe de bois

Alors pour se consoler

Il se remit à danser


Boum, boum, tip tip tip bang bang

La jambe de bois frappait en cadence

Boum, boum, tip tip tip bang bang

La jambe de bois du pirate gallois


Et puis le pirate gallois

Œil de verre, jambe de bois

Coula trois bateaux du roi
Cœur de pierre et jambe de bois
Enfin il se saborda

Main de fer et jambe de bois

Juste avant de se noyer
Les marins l’ont vu danser
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 13/05/2010 à 06:20:48 

Notre ancêtre Vidange

Voici l'histoire d'un naincapable (n'incapable) de tuer vite et de tier louin...
Dans son épopée formidable...
nous le suivrons un verre de rhum a la main... (WAII!!!!!)

refrain:
Nous sommes les pirates d'la Confrérie...
on tue le jour, on boit la nuit..
et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...


Un jour mon ancêtre Vidange..
fut envoyé écumer Liberty ..
y avait soi-disant de l'or et du rhum ..
si y en avait... ben on savait pas ou y strouvait..

refrain:
Nous sommes les pirates d'la Confrérie...
on tue le jour, on boit la nuit..
et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...


Il fit sa moisson en bordure...
d'une ville cossue peuplée de corsaires...
des gens qui boufent de la verdure...
évidemment ca ne fait pas de bonnes victimes..

refrain:
Nous sommes les pirates d'la Confrérie...
on tue le jour, on boit la nuit..
et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...


Vas t'en!..tu n'est pas le bien venu!..
lui dire ces corsaires ..en lui tirant leur balle..
voyant que tout était foutu...
il s'enfuit... en suivant la canquale..

refrain:
Nous sommes les pirates d'la Confrérie...
on tue le jour, on boit la nuit..
et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...


Il fut recueilli par les Syaides....
ondines bleues ...
bullant sur le rivage..
de l'eau de pluie lui fut donnée..
il recracha (Pouha) tout dans leur visage....

refrain:
Nous sommes les pirates d'la Confrérie...
on tue le jour, on boit la nuit..
et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...


courant a travers les fougères...
il arriva prés d'un village zombies...
bien sur qu'on y vendais de la bière...
mais aucun homme ne voulait servir un pirate....
Vidange massacra le patron...d'une taverne a coup de tabouret...
puis il rentra a la maison...et du repaire il ne reparti jamais...

refrain:
Nous sommes les pirates d'la Confrérie...
on tue le jour, on boit la nuit..
et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...


Frères..restons bien a l'abris...
Mangeons..buvons..dans notre beau repaire...
Là-bas c'est peuplé d'abrutis...
Vas y Jacquot ressert donc nous un rhum!!

refrain :
Nous sommes les pirates d'la Confrérie...
on tue le jour, on boit la nuit..
et on n'aime pas les corsaires d'Liberty...
Inigo Montoya JunioR
Inigo Montoya JunioR
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Posté le 18/05/2010 à 07:57:07 

C'est le fameux trois mats
Del senor montoya
yepehaaa  yepeahyooo !
18 litres dans 400 tonneau
C'est tout se qu'on peut y trouver d'eau

Tiens bon la boutanche et lache rien dans les flots
yepehaaa   yepeahyooo !
Si dieu veut toujours titubant
Nous iront comme des alcolos


C'est a la taverne qu'on s'amarine matelot
yepehaaa   yepeahyooo !
Fais quand même gaffe quand tu lache des rôts
Parfois sa fais du pas beau

On prétend que chez moi le rhum coule à flots.
yepehaaa   yepeahyooo !
qu'on en trouve un vrai ruisseau
ben ouai j'en ai 400 tonneau

Un jour, je reviendrai chargé comme un bardot.
yepehaaa   yepeahyooo !
Au pays, j'irai voir El paso
Et je ravitaillerai pour rester a flot


Le joueur de junior s'enfuis en courant, aprés lecture de se qu'il as fais d'un jet de se pauvre santiano aprés une nuit blanche.
Mais comme la terre est ronde il devrai repasser d'ici demain.
Ocowyn
Ocowyn
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06/12/2010
Posté le 22/12/2010 à 23:27:32 

Jim le Souriant:

Il vous apportera de l'hydromel
Il vous apportera de la bière
Le visage fendu d'un large sourire
Il nous a servi d'année en année
Nous l'appelons Jim le Souriant.
Ocowyn
Ocowyn
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06/12/2010
Posté le 23/12/2010 à 00:10:27 

La Bataille d'Ulüngen :

Le vent souffle sur les plaines de Liberty, à Ulüngen,
Je jette un dernier regard sur ma femme, mon fils et mon domaine.
Akim, le fils du capitaine, est venu me chercher;
Les chefs ont décidé de mener le combat dans la vallée.
Là où nos compagnons, de vaillants moussaillons,
Après de grandes batailles se sont retrouvés bien cons.
C'est l'heure maintenant de défendre notre terre
Contre une armée de vils Anglais prêts à croiser le fer.
Et tout Ulu s'est réuni autour des grands menhirs
Pour invoquer les dieux afin qu'ils puissent nous bénir.
Après cette prière avec mes frères, sans faire état de zèle,
Les chefs nous ont donné à tous des gorgées d'hydromel,
Pour le courage, pour pas qu'il y ait de faille,
Pour rester grands et fiers quand nous serons dans la bataille.
Car c'est la première fois pour moi que je pars à la guerre
Et j'espère être digne des Hollandais, mes frères.

{Refrain:}
Les Hollandais (oh oh) ils sont là (la li la la).
Les Hollandais (oh oh) et ils comptent bien te mettre KO
Les Hollandais (oh oh) ils sont là (la li la la).
Les Hollandais (oh oh) tu finiras dans un tombeau.

Après quelques incantations de druides et de magie,
Les Hollandais, le glaive en main, couraient vers l'ennemi.
La lutte était terrible et je ne voyais que des ombres,
Tranchant l'ennemi qui revenait toujours en surnombre.
Mes frères tombaient l'un après l'autre devant mon regard,
Sous le poids des armes que possédaient tous ces barbares,
Des dagues, des sabres et des épées sur le sol d’Ulüngen
Qui écoulaient du sang sur l'herbe verte de la plaine.
Comme ces jours de peine, où l'homme se traîne
À la limite du règne du mal et de la haine.
Fallait-il continuer ce combat déjà perdu ?
Mais telle était la fierté de toute la ville d’Ulu.
La lutte a continué comme ça jusqu'au soleil couchant,
De férocité extrême en plus d'acharnement;
Fallait défendre la terre de nos ancêtres disparus,
Et pour toutes les lois des Hollandais d’Ulu.

{au Refrain}

Au bout de la vallée on entendit un cri de femme,
D'un chef ennemi qui rappelait tous ces infâmes.
Avait-il compris qu'on lutterait même en enfer
Et qu’aux fiers Hollandais appartenaient ces terres ?
Les Anglais repartaient, je ne comprenais pas
Tout le chemin qu'ils avaient fait pour en arriver là,
Quand mon regard se posa tout autour de moi,
J'étais le seul debout de tout Ulu ; voilà pourquoi
Mes doigts se sont écartés tout en lâchant mes armes,
Et le long de mes joues se sont mises à couler des larmes
Je n'ai jamais compris pourquoi les dieux m'ont épargné
De ce jour noir de notre histoire que j'ai contée.
Le vent souffle toujours sur Liberty, à Ulüngen
Et j'ai rejoint ma femme, mon fils et mon domaine.
J'ai tout reconstruit de mes mains pour pouvoir y arriver,
Et je suis devenu, Gouverneur Hollandais.

{au Refrain}
Ocowyn
Ocowyn
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Posté le 09/01/2011 à 17:39:25 

J’étais dans mon village à réparer des chaises en bois
Mais l’aventure m’appelait, l’ennui était en moi
J’avais ouïe d’une île, située au-delà des mers,
J’ai attrapé mon pistolet, mon sabre et ma galère..

A l’aventure mes amis je suis parti pour Liberty
J’aurais p’têt’ mieux fait d’rester chez moi, la suite vous le dira.

J’suis arrivé sur Liberty trempé par un orage,
L’bateau m’a été pris mais j’ai gardé mon courage.
Contournant Ulüngen dont les portes étaient fermées,
J’ai fait  « c’est bien ma veine ! » et des pirates sont arrivés..

A l’aventure mes amis je suis parti pour Liberty
J’aurais mieux fait d’rester au lit, au lieu d’venir ici.

Ils m’ont piqué ma cape, mes sandwichs, mon pistolet,
J’ai dû abandonner mon sac et fuir comme un Anglais,
Poursuivi par ces brutes, je suis tombé dans un trou,
C’était l’entrée secrète qui passait par les égouts.

A l’aventure mes amis je suis parti pour Liberty
J’aurais mieux fait d’rester au lit, au lieu d’venir ici.

J’ai rampé dans la fange, les vermines et les sangsues,
J’ai atterri dans une taverne, la taverne d’Ulu
Ils ont soigné mes plaies, merci la Croix Orange,
Et puis ils m’ont offert du rhum et bien d’autres mélanges..

A l’aventure mes amis j’suis arrivé sur Liberty
J’aime l’hospitalité qu’y a, surtout les filles de joie !

J’ai traîné dans les rues d’Ulu sans armes, toujours pas d’veine,
Egaré dans la ville j’suis revenu à la taverne.
Des gens m’ont vu passer, courant vers le comptoir,
Je me demande encore tout ce que j’ai bien pu boire..

A l’aventure mes amis j’suis arrivé sur Liberty
Maint’nant moi j’suis un vrai bonhomme ‘vec ma bouteille de rhum !
Anne Providence "La Tigresse"
Anne Providence "La Tigresse"
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07/08/2007
Posté le 31/07/2011 à 13:09:43 

Petite moisson rapportée de Kandorya pour les différents posts qui suivent)

Hissons nos couleurs (Pirates des Caraibes)

http://www.dailymotion.com/video/x4uds5_hissons-nos-couleurs_shortfilms

Le roi et ses pairs
Ont enfermé la Paix/reine,
A bord d'un bateau de plomb.
Nous naviguons, et par ses pouvoirs
Moi et mes frères vogueront.

Yo ho sur l'heure
Hissons nos couleurs.
Hissez ho, l'âme des pirates
Jamais ne mourra.
Yo ho quand sonne l'heure
Hissons nos couleurs.
Hissez ho, l'âme des pirates
Jamais ne mourra.

Il y a les morts il y a les vivants,
On ne peut fuir le temps.
Grâce au clé de la cage
Il faut payer le diable
Et piller le levant/prier pour la forme
Les morts ne peuvent pas faire voile vers les mystères
Du funèbre océan.
( Mais ) nous ne sommes et soyons forts,
Et rentrons au port.

Yo ho quand sonne l'heure
Hissons nos couleurs.
Hissez ho, l'âme des pirates
Jamais ne mourra.


Hoist the Colors

The king and his men
stole the queen from her bed
and bound her in her Bones.
The seas be ours
and by the powers
where we will we’ll roam.

Yo, ho, all together,
hoist the Colors high.
Heave ho, thieves and beggars,
never shall we die.
Yo, ho, all together,
hoist the Colors high.
Heave ho, thieves and beggars,
never shall we die.

Some men have died
and some are alive
and others sail on the sea
– with the keys to the cage…
and the Devil to pay
we lay to Fiddler’s Green!

The bell has been raised
from it’s watery grave…
Do you hear it’s sepulchral tone?
We are a call to all,
pay head the squall
and turn your sail toward home!

Yo, ho, all together,
hoist the Colors high…
Heave ho, thieves and beggars,
never shall we die.


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