Faux Rhum Le Faux Rhum Faux Rhum  

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Les bloqueurs en colère  
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L'Inconnu
L
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02/11/2005
Posté le 04/02/2008 à 14:17:48 

Il parait qu'une rumeur fait le tour de l'île ?
RIP
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Posté le 04/02/2008 à 14:24:20 

03 Février Dans une grande salle de l’auberge du repaire, une 40aine d’individus étaient rentrées. Quand on vit Jacques faire son entrer et fermer la porte derrière lui. "Je m’appelle Jacques, vous me connaissez tous, cela fait déjà 2 ans que je suis chef des Bloqueurs de l’île. Ce soir, si je vous ai réunit, amis Bloqueurs, c’est pour vous dire mon dégoût de nos soi-disant employeurs, les pirates. Vous savez comme moi, que ceux-ci nous traitent comme des sous-fifres ; des esclaves, voir même des chiens. ET cela pour un salaire de misère. Dernièrement, une de leur dernière recrue nous a agressé mon frangin et moi. Tout ça parce qu’on avait pour ordre de garder une pièce et de n’y laisser rentrer personne. Il voulait rentrer et il nous a agressé puis leur capitaine est venu et nous a insulté nous disant que nous étions des incapables. Si je vous ai réunit, c’est pour vous faire part de mon envie de vengeance contre eux. " Dans la salle les visages étaient approbateurs. Toutes ces personnes avaient un jour ou l’autre subit une humiliation devant un pirate. La rancœur pouvait se lire dans leurs yeux. "Mais qu’allons nous pouvoir faire contre eux, ils sont trop fort pour nous…." interrogea un lascar d’au moins 2 mètres pour 140 kilos de muscles. Jacques sourit à l’assemblée réunit devant lui. Il avait déjà pensait à tout ceci. " Nous allons demander aux 4 nations de l’île de faire la chasse aux pirates en leur mettant des primes astronomiques. Et cela fait, nous leur laisserons l’accès libre au repaire." Dans la pièce, des exclamations se firent entendre de partout. "Le repaire…. Mais ce n’est pas possible…" entendait on par ci. "Le repaire…. Mais que feront les habitant du repaire…" entendait on par là. Jacques reprit la parole et enchaîna tranquillement, tellement son plan était d’un grand machiavélisme. " Oui mes frères, j’ai bien dit le repaire. Les habitants sont assez grands pour se défendre. Regardez le marchand d’arme, il nous demande de l’or pour les armes qui sont sensée le défendre. Il sera obligé de traiter avec les corsaires, ou il crèvera. Pareil pour les filles de joies qui ne veulent pas de nous …. Je dis stop. Arrêtons d’être prit pour des chiens… rébellion mes frères, rébellion …." Le plan était en route… les pièces se mettaient en place, lentement, mais sûrement. D’un jour à l’autre les pirates allaient subir la vengeance des Bloqueurs et les corsaires allaient aussi avoir un rôle important dans le plan de Jacques....
Dante
Dante
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01/07/2006
Posté le 06/02/2008 à 19:33:51 

6 Février C'était improbable, mais pourtant...les impies avaient pénétré la cité de Calakmul. Ils grouillaient comme des fourmis dans ce lieu sacré, interdit au vivant. La faute revenait à un bloqueur incompétent qui fut tué au plein milieu de son travail. L’imbécile... Et voila qu'une folle rumeur cours... Rumeur parlant d'une réunion secrète de bloqueur. Quel que soit leur plan, je les punirais de leurs incapacités ! Et une fois leurs rebellions mataient, je placerai personnellement un bloqueur devant Calakmul !
RIP
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Posté le 06/02/2008 à 23:59:22 

Jacques venait d'avancer encore les pieces de son echiquier diabolique. Les 4 nations de l'île allaient devoir mettre des primes sur les pirates et à cette unique condition, Jacques allait leur remettre les clés du repaire........
Tyler
Tyler
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19/03/2006
Posté le 07/02/2008 à 10:31:25 

Il ne devrait plus tarder maintenant... « Between wolves and dogs » qu'il m'avait dit... Il est déjà tard et le soleil se cache comme s'il avait volé la lune et s'était fait prendre... Le gros Jacques et son alcoolyte de surveillant d'entrée de repaire me zieutent par en dessus. Ils marmonnent dans leur barbe qui peinent à dissimuler leur jovialité de porte de prison... J'en sais quelque chose... J'en viens. D'ailleurs j'ai oublié un paquet là-bas et c'est lui que j'attends. Le petit me montre du doigt et m'interpelle : _ Toi l'emplumé là ...! T'as pas d'la flamme que j'allume mon brûle gueule ... ? Un emplumé... Je n'en crois pas mes oreilles. Mais... Ils ne savent pas parler aux gens ces bougres. Je me demande bien où est-ce que Sing les a trouvés. Le visage impassible, je décroche la lampe à huile accrochée au mur pour la déposer à ses pieds en une courbette volontairement et françoisement grotesque. Je ne m'attendais pas à un signe de gratitude de sa part, mais alors que je retournais faire le pied de grue... _ Sinon la santé... ? Ca va...? Pasque pour nous en ce moment c'est............ Mes oreilles s'étaient fermées à ses premiers mots... Le reste de sa plainte ne fût qu'un chuintement vague et indistinct... La santé... Voilà une chose importante pour le commun des mortels... et des « comment va la santé ? » par-ci, des « bonne santé à toi » par-là... On trinque même à la « Santé » sur tous les comptoirs de Liberty. Les viols, les humiliations, les cœurs déchirés par l'amour, les tromperies, les calomnies, la pauvreté, la médiocrité, l'athéisme, le vol, l'hypocrisie, la mauvaise foi, la dépression, le suicide, la bêtise et la connerie gangrènent cette île... Et toujours un con pour vous dire : « Oh bah au moins, on a la santé... » Je vous jure que le prochain que je croise et qui me demande comment va ma santé... ne gardera pas la sienne longtemps...
RIP
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Posté le 07/02/2008 à 22:06:47 

Jacques pris 4 lettres et les expedia aux quatres coin de l'île. Dans ces lettres il avait ecrit : Avis aux gouvernement de toutes les nations. Moi Jacques chef des Bloqueurs de l'île ai besoin d'une réponse. Envoyer mon un courrier m'informant si l'accord est tenu. J'attends de vos nouvelles le plus rapidement possible. Mes conditions étaient simples : un contrat sur la tête de tous les pirates de Liberty. Jacques ::
Liberty Sing
Liberty  Sing
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27/03/2006
Posté le 07/02/2008 à 22:13:09 

Sing n'avait pas l'habitude de s'ennerver, mais là, franchement! Quelle idée! Une révolte, une grève , et pourquoi pas une manif entre le lac Red et la corniche? Aller bandes de moules, fermez vot' gueule et mettez des mandales à tous ces corsaires qui veulent entrer au repaire! Et toi Jacques, arretes de raconter des conneries! Tu veux une prostipute pour toi tout seul? Wiggins nous a ramenné une plante de tout premier choix, meme si elle n'est plus très fraiche. Négocie avec lui plutot que de venir nous les briser avec tes pleurnicheries à la Noudwi! Malgré tout, Sing savait que les choses allaient mal et qu'il fallait régair. tout d'abord, battre le rappel d la confrérie. Que peuvent faire 200 corsaires en robe de soie contre les frères de la cote? Hummm, après mures reflexions, Sing entreprit d'engager quelques mercenaires pour filer un coup de main. Il serait dommage que notre réserve de rhum tombe entre les mains de ces pleutres. bouteille à la main, Sing sortit au devant de scorsaires pour leur crier tout le mépris qu'il éprouvait à leur encontre Bien malin le malin qui fera du mal à ma main! zzzzz
Tyler
Tyler
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19/03/2006
Posté le 07/02/2008 à 22:23:46 

C'est trop facile quand les guerres sont finies D'aller gueuler que c'était la dernière Ami bourgeois vous me faites envie Vous ne voyez donc point vos cimetières Tais-toi donc Grand Jacques Et arrête un peu de crier Laisse-les pleurer de joie Toi qui ne fus même pas soldat
Liberty Sing
Liberty  Sing
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27/03/2006
Posté le 09/02/2008 à 23:29:30 

Bon , jacques, je crois que tes tentatives sont vaines! Tu vas prendre une dérouillée, puis rentrer dans le rang en buvant un bon coup avec nous, avant que je ne te découpes an rondelle pour donner tes entrailles à manger à Maurice. ça te convient comme programme? Ah , non, tu préfères rappeler quelques nouveaux aventuriers de l'extreme promis à une mort certaine? Bon, jouons encore un peu alors.
John W. Creasy
John W. Creasy
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26/02/2007
Posté le 10/02/2008 à 00:18:46 

J'avais réussi à entrer dans le repaire... Ca puait la sueur... - Ils ne se lavent jamais ces foutus pirates ? Ramène le Rouge venait d'arriver à son tour, son tromblon prêt à faire feu. - Salut Creasy ! Belle soirée pour bouffer du pirate hein ! - Ouep Ramène ! Mais on est là pour trouver la carte, ou l'antidote... L'état de notre cher Valiente me fait peur... Viens, faut qu'on fasse vite. J'ai l'impression d'entendre la Nonne qui ronchonne dans un coin... Les deux compères s'avencèrent prudemment dans le repaire des bandeaux-noirs. De cache en cache, les tromblons s'agitant dans toutes les directions, comme si c'était eux qui pensaient. Ils entrèrent dans une sorte de débarras, un bordel pas possible y était entassé. La signature de Zvargas, sans aucun doute... J'aperçu un coffre au loin ! Mon coeur s'accélerait ! L'antidote pouvait-il y être ? Ou peut-être était-ce la carte ? Je regardai à l'intérieur prudemment... Une carte !!!! - Ramène !! Ramène !!! J'ai la carte !! J'ai la carte !!!! Je me tue. Des bruits étranges provenaient de l'extérieur... Plus rien. Le silence total. Je pris le temps d'examiner la carte... Mon excitation retomba, ce n'était qu'une carte au trésor, qui appartenait à Zvargas... Pas celle de Ferrington... La déception m'envahit le corps entier... - Putain on s'est fait rouler !! C'est pas la bonne carte !! - C'est pas grave, viens, on va chercher ailleurs. On sorti de bordel de Zvargas. Personne dehors. Cap nord-est, Caratawc nous y avait indiqué un coffre qu'il avait pu voir de loin. Il fallait le trouver. Au bout de quelques minutes, on tomba effectivement sur le coffre... Qui ne contenait rien du tout... Nouvelle déception. - Hey Creasy ! La porte est ouverte ici !! - Cara avait dit que c'était fermé !!! - Bah maintenant c'est ouvert, alors bouge tes miches, on va entrer !! La porte s'ouvrit dans un sinistre grincement... On entra dans un couloir. -Bon ça ne sent pas le pirate ici. On se sépare pour fouiller plus rapidement. Tu prends les portes de gauche, moi celle d'en face ! On se retrouve ici dans 5 minutes ! J'entrais dans une drôle de chambre... L'antre du Boucanier, sans aucun doute. Rien d'identifiable à une carte ou à un antidote... Je devais faire demi-tour. Revenu dans la précédente salle, j'entendis des cris sourds. - Yo Creasy !!! J'suis bloqué dans la chambre de cet abruti de Titus !! Putain j'trouve plus la sortie !! - Merde mais t'es bourré ou quoi ? T'es bien entré par quelque part ? - Ouais mais impossible de remettre la main sur la poignet d'la porte... Putain j'suis bloqué !!! A cet instant, une vision d'horreur s'offrit à moi. Sanca. Son tromblon pointé sur ma tête... Je réussi à entrer dans une pièce avant qu'il puisse appuyer sur la détente. J'écoutais à la porte. Il arrivait. - Merde merde merdeeeee !!! Je me cachait derrière des caisses. Il entra. Je réussi à ressortir sans qu'il ne me voit. Il avait dû entendre la porte claquer légèrement, car il était ressorti lui aussi. Je lui mis la porte dans le gueule, et entra de nouveau dans la pièce. Je ne pouvais pas prévenir mon compagnon, Sanca découvrirait de suite que quelqu'un m'accompagnait... Il s'adressa à moi : - Tu crois que tu vas rester ici longtemps ? Je me poste là, et j'attends que tu sortes... Car tu seras bien obligé de sortir... J'étais coincé. Rien à faire. Sanca d'un côté, une chambre vide de l'autre. Que choisir ? Sanca maintenant, ou une légion de pirate dans 10 minutes, le temps qu'il les alerte. Mon choix était fait : Sanca. Je sorti de la chambre tel un coup de vent, puis courru en zigzaguant à l'opposé du pirate. Ma tactique était la bonne, il ne put m'atteindre. Je lui hurlait tout en courant : - Tarlouuuuuuuuze J'entra dans une autre chambre. - Ah ah Ammokk, j'ai trouvé ton repaire !!! Je fouilla un peu dedans, à la recherche d'un quelconque antidote ou une quelconque carte... Que dalle !!!! C'est à cet instant qu'une douleur fulgurante me transperça le flanc... J'étais touché. Oui, mais par qui ? Chancelant, je me retournai... Le Cubain... Ce satané Diego m'avait eu par derrière... Un combat acharné s'engageait. Pourfendeuse contre Poufendeuse de chine. La différence n'était pas flagrante, mais son arme était plus légère, et cela se sentait. Il m'atteignait sans que puisse rien faire... Lorsqu'il fut sur le point de me mettre un coup fatal, je lui sorti ma botte secrète et lui mis un bon coup d'épée dans les miches. L'honneur était sauf, je l'avais touché. Dernier coup... Je m'effondrais sur le sol. Mort. Ou presque mort, je n'en savais rien. Je me réveilla peu de temps après, je n'étais pas encore au royaume des cieux... Mais j'avais une poupée vaudou dans les poches... Saleté de Diego... Je m'effondrais, inconscient. J'aurai ma vengeance... Valiente, on trouvera ton antidote, tiens bon
Nico Miguel de García
Nico Miguel de García
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31/07/2006
Posté le 10/02/2008 à 15:04:44 

Nico Miguel ouvrit les yeux. Il était à Santa Lucia. Ses souvenirs de la veille étaient encore assez vagues : la traversée de la forêt adjacente au repère pirate, la visite de l’antre à la recherche de la chambre de Tyler, la visite surprise du Cubain durant la matinée, l’antidote de Valiente. Il se demandait ce qu’il avait bien pu advenir de son ami Nino, il espérait qu’il ne lui était pas arrivé malheur. Il sortit de son lit, à la recherche d’une infirmière. - Hola, vous vous sentez mieux Señor de Garcia ? - Oui, oui ça peut aller. Savez-vous si Nino el Taxidermista a, lui aussi, été admis à l’hôpital aujourd’hui ? - Oui bien sûr, il est arrivé juste avant vous dans un sale état mais il s’en sortira. Il se trouve tout au fond de la salle. Sans dire un mot de plus, Nico Miguel prit la direction indiquée par l’infirmière, son sac sous le bras. Il eut du mal à reconnaître son ami, ressemblant d’avantage à une momie qu’au commerçant charismatique qu’il est d’habitude. - Hé bien dis moi, ils ne t’ont pas ratés. Nino ouvrit un œil. Il semblait heureux de constater que Nico Miguel était en vie lui aussi. - Pour sûr, mais, tu m’connais, il en faut plus pour m’abattre. Nico Miguel sourit. - Je sais je sais, t’es un vrai dur ! Bon, ce n’est pas tout ça, il faut qu’on vérifie qu’on ne nous a pas dépouillés de nos trouvailles en nous jetant comme des ordures hors du repère. Nico Miguel prit son sac et celui de Nino et les déposa sur le rebord du lit. Il sortit de son sac une fiole bizarre. - Mission accomplie mon cher Nino, l’antidote de Valiente est toujours en notre possession. - Manquerait plus que ça ! Après l’mal d’chien qu’on a eu pour s’ le procurer. Encore heureux que s’t’espèce de sorcier Maya à 2 PO était trop occupé à ronfler comme toute une brigade pour s’occuper de nous. Les souvenirs de Nico Miguel lui revenaient peu à peu, ils avaient tourné en rond pendant des heures avant de trouver la planque de Tyler. Endroit magnifique, digne de la grande Calakmul elle-même. En longeant Tyler, endormi, ils avaient pu accéder à ses affaires et, plus particulièrement, à l’antidote de Valiente. En voyant cette fiole, l’ambiance se détendit pour les deux Espagnols, ils n’étaient pas allés là pour rien. Ils se rappelèrent ensemble les autres moments forts de la nuit. - Et dis, tu t’rappels la frayeur qu’on a eu quand on a entendu des bruits dans les escaliers ? Heureusement, c’était une fausse alerte - Oui, c’est sûr, c’était Miroul et non pas un pirate qui montait. - Ouep et tu nous as entrainés de force dans la chambre de Wiggins pour nous cacher. C’était un bon coup du sort, il y avait quelques papiers intéressants dans le lot. - Toujours aussi littéraire à ce que je vois, je me demande bien ce que tu as pu rapporter. - Il n’y a qu’un seul moyen d’le savoir blanc bec, apporte moi mon sac. Nico Miguel regarda Nino fouiller dans ses affaires et sortir un tas de documents, d’apparences sans intérêts. Soudain, Nino s’exclama : - Bon diou, regarde moi ça, j’y crois pas !!! Nino tendit une carte à Nico Miguel qui n’en croyait pas ses yeux non plus, c’était la carte de Ferrington. Ce n'était pas leur objectif en partant, seul comptait Valiente. Néanmoins cette trouvaille supplémentaire ne pouvait pas faire de tort. - Hé bien, deux sacrées prises dans la même soirée. - A qui l’dis-tu, on peut être content d’nous. - Je vais te laisser te reposer et te remettre de tes blessures, je vais prévenir notre générale et notre moustachu préféré que ses poils vont bientôt repousser. - Fais donc, c’est sûr qu’il aura l’air plus malin sans c’te cogne d’poulet déplumé. Mais, avant que tu partes, trinquons une petite fois ensemble en souvenir de c’te nuit agitée. Nino sorti de son sac deux bouteilles, cuvée spéciale du père Ralex. - Sacrée Nino, tu n’as pas pu t’en empêcher, il fallait absolument que tu achètes quelque chose. - Hé oui, qu’est s’tu veux, on s’refait pas. Nico Miguel sourit une bu une grande gorgée revigorante de cet alcool pirate. Il se dirigea ensuite vers la sortie de l’hôpital avec l’antidote de Valiente, bien décidé à le tirer d’affaire au plus vite.
Liberty Sing
Liberty  Sing
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27/03/2006
Posté le 10/02/2008 à 16:11:29 

Une semaine! Une semaine, c'est le sursis que Valiente venait d'obtenir avec une fiole d'antidote. Néanmoins, il va nous falloir mieux proteger la reserve de Tyler, maintenant qu'elle est découverte!
Jyotsna Shideh
Jyotsna Shideh
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09/10/2006
Posté le 10/02/2008 à 16:40:51 

Voilà trois jours que je gesticulais et me débattait, ligotée, fagôtée comme un saucisson sur un lit au fin fond du repaire. J'avais passé plusieurs nuits incognito dans la chambre de Wiggins, j'en avais profité pour y enterrer la carte de Ferrington, quand il eut le dos tourné, m'assurant une voie de sortie si jamais les choses devaient mal tourner. Et puis finalement, on m'avait découverte et flanquée dans une pièce de l'autre côté d'ici, le laboratoire du docteur Sing, qu'ils l'appelaient. Des pirates étaient venus me questionner régulièrement sur ce que j'avais pu faire de la carte. Les jours avaient passés, je restai muette. Et puis un matin, la pièce vide, des coups de feu, du boucan dans tous les sens, et au pied de mon lit, un Français qui me tenait par la main, son sabre dans l'autre. - Vite, vous avez plus de lien, vous pouvez vous échapper, les pirates sont supprimés.... Je le fixai quelques secondes sans un mot. M'échapper? Les pirates supprimés? Je regardai autour de moi, il venait de défaire mes liens, ceux-ci étaient éparpillés tentaculairement sur le lit. Il n'y avait plus personne, Sing et Maurice de la Rippavière, qui la veille encore se relayaient pour me surveiller, n'étaient plus ici. Je fis un sourire équivoque au Français, en guise de remerciement, et puis, il me faussa compagnie lorsque dehors retentirent de nouveaux coups de feu. Sans doute ses compagnons d'arme, qui avaient pris possession des lieu, il me laissa seule dans la pièce.
Le Comte
Le Comte
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03/12/2006
Posté le 10/02/2008 à 19:41:07 

Fil de Fer , se réveillait. Il était en pleine forme. La veille, alors qu’il gardait avec témérité l’entrée de la corniche, le général Zapata et Titus, avait tenté de forcer sa garde. Avec un aisance humiliante pour Fil de Fer, Zapata l’envoya au tapis après seulement quelques estocs. Enjambant son corps, le laissant pour mort, il quitta les lieux. Titus le suivait. Riant de l’humiliation de Fil de Fer, il voulu achevé le jeune homme. Mais le destin décida qu’il en serait autrement… Bien que mortellement blessé, au souvenir de son ami Gonzac qui avait disparu, Fil de Fer trouva la force de repousser, son ennemi et le vaincre sans la moindre blessure. Mais ses premières blessures l’empêchèrent de faire plus… Il ne lui resta simplement assez de force pour écrire une lettre demandant l’assistance de Jean François et d’Hélène de Miranville, qui n’étaient point loin. Tard dans la nuit, Jean-François le rejoignit et attacha adroitement un bandage sur son épaule droite. Hélène en fit de même. *********** Lorsqu’il se réveilla, le soleil était déjà à son zénith. Jean-François semblait déjà être parti, le corps de Titus, sévèrement assommé gisait sur le sol. Cette fois, ce n’était pas lui pensa-t-il avec un pâle sourire. Un perroquet s’était posé sur le torse du malheureux. Il fixait Fil de Fer un lettre était attaché à sa patte. Il le saisit. […] Fil de Fer jura. La lettre était de Marius. Candyce, la jeune sœur de Gonzac venait d’égaler l’audace de son frère, elle avait foncé tête baissé dans le repaire pirate, après avoir éliminer plusieurs pirates, elle avait succombé aux balles du sombre Melinigos. Jean-François était parti aussi, tentant de retrouvé le champagne volé par la vermine pirate. En vain… Drake avait surpris le maître de l’Ordre, et lui aussi était tombé. Fil de Fer fut pris d’un vent de panique quelques instants, il reprit ses esprits. Il était le dernier sur place, il lui faudrait tenter à son tour une percée. Son sang ne fit qu’un tour. Attrapant son épée, il se releva violemment et couru vers le repaire pirate. ************ Il était en sueur, mais sa rage était assez grande pour empêcher une quelconque sensation de le prendre. L’entrée du repaire n’était plus gardée. Prenant une grande inspiration, il se jeta à son tour dans la gueule du loup. Une grande pièce s’offrit devant lui, deux pirates s’y trouvaient. Nul peur l’envahit, seule la vengeance le guidait. Il fonça sur le plus proche, Lord de la Vengeance. Fil de Fer avait une revanche à prendre sur le pirate. Après un combat serré, le jeune homme à la rage grandissante asséna une violente attaque à son adversaire, ce dernier succomba. Essuyant avec nonchalance le sang de son ennemi sur un pan de sa cape, il se jeta sur le second: Melinigos, s’était la première fois que Fil de Fer rencontrait le terrible pirate. Une balle partie du pirate, traversant la cuisse gauche de Fil de Fer. Mais cela était loin d’arrêter le jeune homme. Il fondit sur le pirate qui subit le même sort que son comparse. Les deux pirates à terre, le jeune français scruta les lieux. Sa mission était double: trouvé d’autres pirates à abattre et trouver l’endroit où les pirates avaient caché le champagne. Il s’aventura dans les multiples pièces de l’immense repaire, au point de s’y perdre. La respiration haletante, l‘épée à la main,Fil de Fer courrait de l’inconnu vers l’inconnu, entrant peu à peu dans l’intimité même des frères de côtes, violant leur « sanctuaire ». Il finit par traverser le « sanctuaire » du fameux Sing, chef des pirates. Une jeune et séduisante femme était ligotée et bâillonnée sur le lit qui se trouvait dans le coin de la pièce. En s’approchant un peu, il l’a reconnu: June S. Elijah O'Malley. Générale espagnole déchue au passé douteux, naturalisée anglaise, elle aurait conservé un comportement des plus suspicieux. On dit qu’elle aurait dérobé une carte à un certain Lord, le jeune homme ignorait son lien avec les pirates, et il ne savait guère plus à son sujet. Cependant, là n’était pas la question. Elle demeurait malgré tout, et était avant tout, une jeune femme aux mains des pirates, il n’en était pas moins que de son devoir de gentilhomme de la libérer. Il s’avança donc vers elle et découpa ses liens. La prenant par la main, et lui adressant un sourire qui se voulait rassurant, il attira en dehors de la pièce. Plusieurs coups de feu retentirent, se tournant vers elle, il lui indiqua la sortie, puis sans dire un mot, il la quitta et couru vers la source du coup de feu. Il arriva dans ce qui ressemblait à un auberge. Brusquement, il commença à ressentir une faiblesse à sa cuisse gauche, précédemment touchée. La fatigue commençait à le gagner petit à petit. Il avançait maintenant lentement, sa rage frénétique l’ayant maintenant quitté, un frisson le parcouru. Un crac se fit, puis un cri. Le sien. Son dos venait d’être sévèrement éraflé. Il se retourna pour faire face à son nouvel agresseur: Drake Le malin. Le combat commença, chacun se rendait coup pour coup. Fil de Fer parvint, pendant un laps de temps à prendre un certain avantage, mais peu à peu, sa dextérité diminuait, et l’étonnante endurance de son adversaire prenait peu à peu le dessus. Il frappait de plus en plus lentement. Puis il ne frappait plus. Puis… les ténèbres se firent…
Tyler
Tyler
Déconnectéparia
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19/03/2006
Posté le 11/02/2008 à 07:02:07 

Maudit opium ... Idéal pour s'endormir ... un calvaire pour émerger d'un sommeil de plomb ... Nico Miguel s'était emparé d'une fiole d'antidote, faite à partir de l'absynthe que je cultive dans mon jardin ... Il a profané l'antre de mon sanctuaire ... et j'enrage ... Kawill ... guide mes pas et mon bras vers leur juste chatiment ...
Une ombre devenu dingue
Une ombre devenu dingue
Déconnectéparia
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Posté le 11/02/2008 à 08:00:10 

Avant que le soleil ne se lève, j'entrais dans le repaire pirate, peur au ventre... Je commençais mon exploration de ce sombre endroit et n'y trouvait personne. Mais le pub fit mon bonheur, je dégustais quelques brochettes et aller voir s'il n'y avait toujours personne. Quand tout à coup, j'entraperçus Tyler , je commençai à reculer, pris de peur, eh puis non, je n'allais pas reculer comme un lâche!Mais c'était trop tard,il n'était plus là! Puis après quelques heures de marche , j'entendis des pas lourds et résonnants dans tout le repaire... Aaah, Le Cubain etait jute à côté de moi, j'entendais sa respiration quelque peu forcé, il était bléssé. Je n'hésitai pas une seconde et prenait mon tromblon pour en tirer une balle, la deuxième fut tardive car mes mains tremblaient comme quand on touche de la gelée. Le Cubain m'avait vu et riposta aussi avec son arme de tir mais c'était trop tard, j'avais été le plus rapide ... Il m'avait tout de même salement amoché, je me dépéchais pour sortir du repaire en faisant un petit détour par le pub prendre quelques vins rouges. En sortant du repaire, je vis une mignonne petite plage et je m'y installai. J'aurai bien voulu dormir mais j'avais peur que les pirates ne se vengent, c'était décidé, je ne dormirai pas mais resterai éveillé. Mais l'alcool fit son effet et ma garde diminua, qui sait, peut etre que demain j'allais oublier tout ce qu'il c'était passer avec la dose d'alcool que j'avais pris !
Peter
Peter
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15/06/2007
Posté le 11/02/2008 à 09:10:13 

Le vent soufflait dans mes cheveux, cela me faisait un bien fou, je me sentais plus vivant que jamais malgré les quelques blessures que mon corps possédaient. Je marchais vers le repère pirate qui disait -t'on était ouvert; n'importe quel corsaire pouvait se rendre dans ce lieu, mais cela ne voulait pas dire que l'on pouvait en sortir en pleine forme. Je pénétrais dans ce lieu avec un certain respect, mais sur mes gardes. J'étais en effet assez angoissé, je m'attendais à croiser un pirate à n'importe quel moment, mais la première personne que je croisis fut Bauldreg qui faisait des achats; je n'avais rien à craindre de lui pour le moment, après tout chacun avait un ennemi commun : les membres aux foulards noirs. Je pénétrais dans un lieu où je découvris une carte au trésor, mais elle avait l'air parfaitement inutile et mon exitation retomba d'un seul coup. Le silence raignait, mais je pénétrais dans l'antre pirate assez confiant. J'ouvrais toutes les portes que je voyais, c'est ainsi que je visitais les chambres des frères de la côte, la première que je vis fut celle d'Ammokk et il en suivit de nombreuses autres, jusqu'à ce que j'entrre dans celle de Sing... Mon coeur fit un bond car dans cette pièce se trouvait June S Elijah O'Malley qui était prisonnière d'après les rumeurs des pirates. Je fis un pas vers elle quand une détonation retentit : une balle venait de m'atteindre. Je cherchais mon adversaire des yeu mais je ne le voyais pas... Je fis un autre pas sur le coté et une nouvelle balle m'atteignit, et à ce moment je vis mon adversaire : c'était Sing qui ricanait tranquillement en ajustant a nouveau son arme à feu... Une nouvelle balle m'atteignit encore, je perdais beaucoup de sang et il n'était pas question de songer à un affrontement, alors je pris la fuite en espérant qu'il ne me poursuivrait pas, ce qui fut le cas. J'entrais tout en sueur dans une nouvelle chambre, soufflant et aspirant beaucoup en quête d'air pour mes poumons. Je ne vis rien d'interresant mais étant toujours blessé et perdant du sang je ne parvenais pas à retrouver la sortie, ma vision se troublait lorsque j'entendit une voix : -Au revoir! Je ne parvenais pas à identifier où se trouvait mon nouvelle adversaire, mais il me sembla reconnaître Tyler avant que celui si ne me frappe provoquant ma perte de conscience. Je me réveillais dans l'hopital de Nk en me disant que je n'avais pas fini de tout visiter dans ce repère...
Dante
Dante
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01/07/2006
Posté le 11/02/2008 à 09:31:06 

Imbécile de Sing...Même pas une journée d'écoulait et il y a déjà des corsaires dans leurs repaires. Si le Gouverneur Espagnol meurt, la nation entière meurt ! Je ne peux pas me permettre que ces ordures trouvent la potion. Je dois agir ! Esperenza est vide maintenant...Tous les défensseurs ont été tué. Les Espagnols devront choisir: Sauvés leurs jeunes ou leur gouverneur. Mon honneur ? Il est mort en même temps que mon âme. Sentiment ? Je ne suis plus humain. Aider les pirates ? Qu'importe, si cela me permet d'accomplir la volonté divine je les aiderais. Les bloqueurs peuvent attendre un peu. Bloody blade...Drunk of pleasure
Nino, Apprenti Tartologue
Nino, Apprenti Tartologue
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20/02/2007
Posté le 11/02/2008 à 18:35:38 

Pendant ce temps là, dans une arrière salle du comptoir Espagnol de la Ni-No-Co & Co, dansent sur les murs de sinistres ombres. La tension y est palpable, quelques gouttes de sueurs perlent sur des sourcils froncés, quelques battements de cœur sont manquant à l’appel. Deux assistant aux traits rougis par la lumière des braseros attendent, fébriles, les ordres et injonctions du maître d’œuvre. " Lame fine de 12 ! " Ces quelques mots donnent naissance à une multitude de mouvements, d’interrogation, de recherche vaine parmis les multiples étuis de cuir brut qui jonchent la table d’opération. " Lame de 12 FoutrePorc ! Là ! A coté d’l’escourbisseur catalan d’ 16.5 ! " Nouvel instant de panique et d’intense activité pour l’equipe d’accompagnement. L’un des jeunes apprenti saisi enfin l’objet de toutes les attentes et la présente silencieusement a l’homme penché sur ce qui semble etre une créature simiesque immobile. "Nan, ça c’t’une lame en V d’16 damassée pour dentelle sur cartilage. Blette burne d’mandril albinos des îles Tsango, c’est y si compliqué d’me passer une lame fine d’douze ? Tudieu d’fruit d’crachoir à graine d’chiard anémique, l’couvreur d’ta daronne t’as fini a l’bière décuvée ou quoi ? Celle la , là ! V’la… M’ci beaucoup très cher. " C’est avec la langue qui pointe (signe d'expertise assurement !) que le maître d’œuvre entame un savant découpage, l’acier de la lame crissant légèrement en filant et taillant le cuir traité du sujet de son attention. " Quelle idée quand même d’voir écrit c’te carte sur d’la peau d’fesses d’babouin ?... Z’aurai pô pu l’faire sur d’vélin comme tout l’monde ? " Et l’artiste de se reculer de quelques pas pour contempler son œuvre : Sur la table d’opération, repose Zongo, brave babouin d’exposition aux tripes emplie de paille et de bourres diverses, le séant proprement amputé d’un beau carré de peau. Le maître d’œuvre contemple le morceau de tissu animal et le compare a ce qui semble etre une carte… " Bon bah.. l’dimension, s’les bonnes… L’touché d’le cuir, c’est l’même… L’grain est bon, mais va falloir qu’j’fasse quequ’chose pour l’poil qu’reste… L’a fallut qu’Zongo soit l’seul tudieu d’babouin à l’ouest d’not’sainte patrie à avoir d’poil aux miches… " Il ne peut alors s’empêcher alors de tapoter l’épaule du singe empaillé qui lui fait face. " J’dis pô ça en mal mon vieux hein ? Et j’te r’mercie même d’ta contribution au projet. J’comprend qu’c’est pô pour t’plaire, mais bon, faire un faux d’c’te carte est indispensable, y’en a plus d’un prêt à s’brouter les burgnoles rin qu’pour p’voir y j’eter un œil. Comme qui dirait, s’t’un bout d’carte qu’vaut la peau des miches, au propre, comme au figuré ! " HRP : Aux MJ qui supervisent cette belle animation, je vous laisse seuls juges quand au succès ou non de ma tentative de créer un faux de la carte récupérée et de l'incidence que cela peut avoir "ou pas" sur la suite des événements N'hésitez pas à supprimer ce paraphe à votre guise.
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 14/02/2008 à 23:44:12 

Il était temps que je puisse me lever, entre les recomandations répétées de Tequila et le visite d'Alfred, j'avais pris mon mal en patience mais avec la disparition mystérieuses des bloqueurs je devais sortir de ce lit sinon quelqu'un viendrait 'my retrouver et non plus l'amour mais certainement pour la mort ! Il était hors de question de ne pas me battre ! Le premier jour je sorti avec précaution. Les corsaires ne se génaient pas pour fouiller dans nos affaires. Ils avaient trouver des fioles chez Tyler pour sauver Valiente et aussi a carte de Ferrington ! Il avait délivrer June. Comment était elle arrivée là ? Ce foutu Wiwi n'avait pas réussi à faire parler June et elle était partie maintenant. Par la barbe de Neptune, j'aurais du la faire parler, comme on avait fait avec Dudu dans le labyrinthe ! En attendant délongeons tous ces gars d'ici ! Il n'ont même pas essuyé leur pied avant de rentrer en plus il y a désormais du sang partout.
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 16/02/2008 à 01:54:02 

15 février : Je dormais quand les Espagnols ont attaqué. Tôt, bien trop tôt, je ne les savais pas si matinale. En même temps, c'est pas à l'heure de la sieste qu'ils tenteraient quelque chose ! La journée se passe morose. Mais à la nuit venue une rumeur s'amplifie. Les Français à leur tour on décidé de s'organiser. Il faut vérifier l'information. Malheureusement je suis seule. L'hopital est plein et ceux qui ne sont pas hopitalisés dorment épuisé par les combat de l'aube. Je vais faire un saut tenant de glaner un conseil ou une approbation. Titus et moi discutons un petit moment tente une sortie. Mon coeur fait un bond lorsque je croise la silhouette de Philou. Mais ce n'est pas le moment de s'attarder, l'envie de prend d'aller le voir, mais non, il ne m'est d'aucune utilité pour le moment. Je dois surtout savoir quels sont les autres Français présents et leur intention. Un gars un peu bizarre Bartaly leur a offert le gite, enfin vu le nombre de Français présent ils bivouaquent aux abords de sa cabane. Je m'approche, ils sont nombreux ! Certains ont bien bu déjà. Il faut absolument que je sache. Féline je m'approche encore et toujours. 1,2 3 drapeaux le doute n'est plus permis. 1, 2 cette fois ce ne sont pas des drapeaux que je compte mais les balles qui sifflent à mes oreilles. Rohel est de garde, il porte fièrement son drapeau, Daniel monbars et Ernest brise nuqent accourt à son appel. Plus loin j'apperçois Hernanone et tant d'autre. Inutile de faire demi tour, Tanpis je fonce dans le tas. Rohel paiera pour les autres (j'espère l'avoir lui). La chance est avec moi c'est 4 Français qui toment sous ma lame. Je m'arrête épuisée, reprenant mon souffle. Alors qui viendra maintenant ? - viens te battre toi, trainée ! - Ne me dites pas que vous avez peur d'une femme ! Edmond faites un effort votre main tremble ! En effet, il a tenté de me loger 2 balles sous la peau, maisn'a fait qu'écouer la mentable. Nous échangeons quelques amabilités comme jadis avec Shadow lorsque tous 2 épuisés nous n'avions plus que la force de nous invectiver. Je suis épuisée et blessée; Finalement c'est Ernest Brise nuque qui après avoir cherche de longues minutes son cornet de poudre et son sac de balles qui recharge son arme et met fin à ma percée dans leur rang. Demain mes frères seront alertés. pourvu que Titus fasse passer le message.
Général Zapata
Général Zapata
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21/02/2006
Posté le 16/02/2008 à 14:30:10 

16 Février!! Si y'a bien quelque chose qué yé né soupporte pas, ce sont les troubleurs de siesta!! Non dé dios, cé matin alors qué y'avais planifié oune bonne grasse mat' dé derrière les fagots, voilà qué yé souis réveillé par oune bande dé frances en train dé tambouriner à notre porte. -No mais, c'est qu'ils vont nous arracher les gonds ces cons là!! Yé mé précipité déhors por engueuler les fauteurs dé trouble, bien décidé à rétourner mé coucher derrière.. Ma cé né sont pas trois ou quatre gaminos frances qui mé sont tombés déssous, ma toutes la crème dé l'armée dou Roy qui faisait lé planton dévant nos barraquéments. "Putana! Mé voilà bien, en robe dé chambre, la tasse à café d'oune main y lé couteau à beurre dé l'autre" Oune seule soloution, harcéler les forces adverses... Y mé voilà à faire des allers y rétours dé l'intérieur dou barraquément vers lé déhors... Hahahaha fidèle couteau à beurre, nos ennemis n'ont su nous résister, et vas-y qué yé té tartine Boucentaure, qué yé té barrate Wildekat et tous les enfoirés d'empêcheurs dé dormir en rond... Ils y sont tous passé non dé dios!!! Mainténant vous saurez qu'avant 18h, on né troublé pas lé sommeil dou yénéral, ça loui hérisse lé poil... Sur ce yé rétourné au lit, il faudra qué yé pense à donner ma robe dé chambre à Troun, là voilà toute pleine dé taches dé café y dé sang
Sara
Sara
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17/05/2007
Posté le 18/02/2008 à 18:40:03 

15 février au matin Les espagnols viennent de rentrer dans le repaire pirate. Ils prennent possession des lieux, et commencent à visiter les diverses chambres. Je monte directement au premier étage, suivant Nico qui a déjà visité les lieux une semaine plus tôt. Nico part fouiller la chambre de Tyler à la recherche de l'antidote pour Valiente, et je vais retourner la chambre de Sing. Plus on trouvera de fioles, mieux ce sera pour notre gouverneur. A peine ai-je fini de fouiller la chambre de Sing avec Nico et Tio que les autres espagnols nous rejoignent. Quel meilleur endroit que la chambre du capitaine pour se réunir. Juan, déjà bien rassasié de rhum pirate, hurle qu’il a croisé June au rez de chaussée, dans le boudoir de la philosophie. Cela faisait maintenant presque trois semaines que Nara, Hernanone et Virgile étaient parti à la recherche de June. Ils s’inquiétaient de ne pas avoir de ses nouvelles depuis l’assaut de la prison de New Kingston par les pirates pour libérer Wiggins. Ils s’étaient mis en route rapidement, et avaient retrouver à la prison un polonais nommé Geralt. Il semblait être la dernière personne à l’avoir croisé. Puis ils s’étaient retrouvé à déambuler dans New Kingston tard le soir plusieurs jours de suite à la recherche d’indices. Lors du pillage par les espagnols, ils avaient enfin retrouvé sa trace. Des indigènes l’auraient amené au village Gou-chii. Hernanone fouilla le coin et apprit qu’elle avait été soigné par les Narawaks avant de partir retrouver Wiggins au repaire pirate. Hernanone et les deux espagnols se séparèrent, l’une allant récupérer le champagne français, les deux autres partant trouver l’antidote pour Valiente. Mais ils gardèrent tous à l’esprit que June aurait été au repaire, et que ce serait l’occasion d’en apprendre plus. Mais je n’ai pas le temps d’aller voir June, les pirates ne devraient pas tarder à arriver. Je préfère rester avec mes frères et sœur espagnols. Au nom de June, Inigo réagit et décide d’aller la tuer. Je le supplie de l’épargner. Après tout, nous venions pour les pirates. « L’Espagne n’oublie pas » me dit-il. Mais Nara non plus n’oubliait pas. En Août dernier, June avait été élue générale de la colonie Espagnole, seulement deux jours après que Nara soit passée paria. Elle l’avait choisi car certains lui avaient fait comprendre que sa place n’était pas en Espagne. Elle était restée sans nation, ne sachant où aller. Au bout de trois semaines de galère, June puis Nico lui avaient demandé de revenir en Espagne. Nara avait longtemps hésité, les problèmes qu’elle avait fuit existant toujours. Au même moment Hernanone quittait la Hollande pour la France. Mais elle avait finalement préféré faire confiance à June et Nico plutôt que de rejoindre Hernanone. Pour Nara, June resterait celle qui l’avait fait revenir en Espagne, et celle qui la première s'était souciée de sa vie au camp des parias. Inigo repart finir de visiter le repaire, notant les moindres recoins sur sa carte. Dans la chambre de Sing, le rhum coule à flot. Nous fêtons notre victoire depuis quelques heures lorsque les pirates forcent la porte. Ammokk, Lord de la Vengeance et Van Ray Vaughan entrent accompagné d’une femme. Elle n’est pas pirate. Je la reconnais, c’est June. Inigo l’a donc épargné. Je n’ai pas le temps de me demander ce qu’elle fait là que le combat commence. Je réussis à mettre Ammokk à terre, mais à peine ai-je le temps de reprendre mon souffle, que June vient à ma hauteur. Elle s’excuse puis sort son sabre. J’arrive à parer ses coups, mais la surprise est énorme. Je tombe sous le coup de Lord de la Vengeance et ne me réveillerai qu’à l’hôpital d’Espéranza, au milieu de nos compagnons. La rage m’emporte. Ma première idée est d’ordonner qu’on supprime à June l’accès à notre maison. Mais je me rappelle de notre discussion avec Hernanone lorsqu’elle m’apprit que June serait au repaire. Nous avions convenue de ne pas rejeter June sans connaître ses raisons. June n’avait tendu la main lorsque j’étais rejetée de tous. C’était maintenant à mon tour de faire pareil. Mais je suis trop déçue pour la contacter. Peut être plus tard, lorsque je serais calmée. Quelques heures plus tard, Inigo arrive à son tour à l’hôpital, blessé. Il me jette un regard plein de reproches. Je comprends qu’il m’en veuille. A cause de moi, June a attaqué nombre de nos amis. Je ne peux m’opposer à sa mise sur liste noire. Elle l’a mérite. [canal stratégique en haut et message de prox à l’hôpital]
Hernanone la Rousse
Hernanone la Rousse
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22/09/2006
Posté le 20/02/2008 à 18:12:41 

Elles avaient du faire équipe à part bien qu'elles soient amies et membres de la même guilde. Nara et Hernanone avaient d'abord fait passé leur nation avant leur amitié, devenant ainsi pour quelques temps des sortes "d'ennemis" mais elles gardaient cependant un but unique, celui qui les avait emmené dans la prison de New Kingson, puis dans la ville anglaise, puis dans une chasse au trésor...Elles cherchaient leur amie June...qui avait disparu. Hernanone avait appris que l'Anglaise se trouvait au repaire pour tenter de rejoindre son mari, un pirate. La chasse aux drapeaux avaient pris plus de temps que prévu à la nation française et la jeune Française n'avait pas pu accéder au repaire lors de l'assaut français, pourtant elle était vraiment proche, si proche mais tellement fatiguée après le relai d'un drapeau. Mais elle avait appris que Nara, son amie espagnole, avait, elle, pu y entrer et qu'elle y avait trouvé June quelques jours plus tôt. Elle attendait donc d'avoir des nouvelles...Mais qu'elle ne fut pas sa surprise à la lecture de la lettre de Nara...June semblait avoir perdu la raison. Elle avait attaqué l'Espagnole...aidant ainsi les Pirates. Hernanone se rappela alors que peu avant sa mort devant le repaire pirate lors du jour J, l'Anglaise lui avait glissé une rose noire... Elle ne savait plus que penser...Rejeter June, pour qui elles s'étaient embarquées dans cette histoire...lui demander des explications.... La Française décida de laisser une chance à l'Anglaise de s'expliquer avant de prendre une décision. Mais elle devait faire vite....Nara semblait avoir des problèmes avec cette histoire en Espagne d'après une lettre qu'elle avait reçue... Sans perdre de temps, elle se mit à écrire une lettre à leur "amie" June.
 

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