Le Faux Rhum
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Dans le Manoir... Le Borgne a trouvé Rafaella
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Posté le 01/06/2006 à 11:59:25
Les choses étaient sûres maintenant : la menace de le Borgne n’était pas qu’une vantardise de plus.
Les pirates voulaient effectivement s’emparer du manoir.
Rafaella avait appris la chose la veille au soir.
Elle se reposait à l’étage encore meurtrie que son invitation au mariage de Madre Anna ait été annulée au dernier moment.
Le señor del Chocho avait très gentiment proposé de veiller sur son sommeil.
La nuit fut rude remplie des cauchemars qui peuple toutes ses nuits...
Mais le réveil se matin là ne fut pas une délivrance.
Des cris ! Des bruits de combat !
« Le Borgne est là ! » Une voix féminine puis un bruit de lame et un nouveau cri.
Del Chocho se réveille difficilement et me dis de me cacher derrière le lit : il va retenir le Borgne.
Hélas le combat ne dure qu’un instant et avant que je n’ai le temps de me cacher le monstre m’a aperçu.
Il a l’air surpris mais son sourire n’en est pas moins cruel.
Incapable de réfléchir je suis complètement désarçonné quand une main squelettique sort de sous le lit et me saisi.
Je tombe à la renverse tout en essayant de me débattre pour me débarrasser de cette assaillant morbide.
Le Borgne s’approche en riant, tandis que je me débat de toute mes forces.
Et soudain, le plancher craque et je me retrouve entre les deux étages !
C’est l’occasion rêvée, je vais pouvoir lui échapper !
Je commence à ramper pour trouver une sortie, le Borgne au dessus me cherche, stupéfait que j’ai réussi à disparaître sous ses yeux.
J’entend au dessus de moi des bruits de combat, le Borgne est au dessus.
Un flot de sang me fait hurler !
Il sait où je suis maintenant.
Je passes sous un mur profitant du fait que le señor Coco le retiens quelques instant...
Et je sors le tromblon au poing espérant que le Borgne est quelques peu affaiblis par ses combats.
Mais il n’en est rien.
Il arrive dans la pièce le sourire aux lèvres, il viens de sortir une rose de noire de sa besace.
« Si vous faites un pas de plus je vous crible de balles, tout monstre que vous êtes »
Ma voix tremble.
Et il rit tout en se précipitant sur moi.
D’une main il me désarme et sa baffe me fait tomber sur le lit
« Il a l’air confortable ce lit... Tiens toi tranquille ! » dis le Borgne tout en se rapprochant.
A l’instant ou il arrive près de moi, je me jette sur le tromblon et tire.
La balle le touche à l’épaule.
Son sourire se crispe et il se jette sur moi. Tout en me débattant j’arrive à lui tirer une autre balle. Mais ce ne sont que des éraflures pour lui.
Je suis au sol.
Le Borgne vient de me rouer de coup et je n’ai plus de force.
Il dit d’une voix énervée :
« Calme toi je te dis !
Tu es la prisonnière des frères de la côte à présent.
Aucun mal ne te sera fait...
si tu te calmes »
Et tout en jetant mon tromblon à l’autre bout de la pièce :
« Et arrête de me tirer dessus, merci. » Puis il me toise en riant tout en s’approchant pour me relever de force.
Il s’arrête.
Je suis au sol, j’ai des larmes dans les yeux et je tremble, mais mes mains sont crispée sur mon arme.
Mon rasoir est posé sur ma gorge et je dis d’une voix faible :
« Je suis prisonnière des frères de la côte...
Mais je préfère mourir, plutôt que de laisser tes mains me toucher encore une fois »
Une perle de sang doucement coule le long de la lame.
Je tremble, j’ai froid, mais mes mains savent ce qu’elles ont à faire si le Borgne fait un pas de plus.
http://img204.imageshack.us/my.php?image=leborgne48yu.jpg |
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Posté le 01/06/2006 à 12:14:13
Le soleil brillait, comme à
son habitude, transperçant
montagnes et forêts pour ne laisser qu'entr'apercevoir des
ombres.
Une ombre mesquine vînt
chatouiller mon nez!
"Quel est donc ce mauvais
pollen!! pouarff ..... "
Le mois de
juin fulmine par son abondance en
pollen!
L'ombre s'immiscât dans mes oreilles et un son..... ce
son
raisonnât....
"Rafaella,,,,, elle a besoin d'aide,,,,, le Borgne,,,,,,," |
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Posté le 01/06/2006 à 12:38:04
les espagnols savaient que les frères de la côte se dirigaient vers la manoir .. arrivé la veille, le borgne avait du faire place nette au rez de chaussée, infesté par du corizo moississant par terre, infectant ce lieu assez plaisant finalement
tiens .. ca pullule dans le coin, ses batards n'ont donc pas encore compris que ce manoir est maintenant en notre possession ?
je m'en vais donc leur remettre les idées en place ...
et c'est cubain au bec que le borgne avance comme la mort dans ce manoir ... le sang jiclant sur son passage, nettoyant ses bottes de la merde qui s'y trouvait encore ...
ahahah regardez donc à quoi sert votre sang amigos ...ahahah voyez ce que je fais de vos carcasses ...
le borgne, dans un élan de bonté, pensa à sa soeur Mary et sa collection ... il lui garda donc quelques oreilles au frais dans sa besace .. il ne manquerait pas de lui montrer ... celà lui ferait certainement plaisir ...
le journée était passée et la nuit s'était faite tranquille ...
le petit matin avait vu un borgne de bonne humeur, reparti dans son grand nettoyage
une tasse de café, un cigare .. et du sang espagnol plein la figure ...
décidemment, il allait devoir penser à prendre un bain prochainement ...
madre de dios ... mais combien de litres avez-vous dans vos veines ...AHAHAHA
si vous aviez autant de courage .... AHAHAH
il devait porter le drapeau noir sur le toit du manoir, histoire que tout le monde sache que celui-ci, désormais, était à eux et personne d'autre ...
il se rendit donc au premier étage, histoire de passer par une fenêtre pour grimper sur le toit ...
hum hum ... point de sortie par là ... il va falloir que je passe par la chambre .. il me
semble qu'il y a une fenêtre de ce coté
il était encore dans le couloir quand des cris féminins se firent entendre ...
- au secours .... au secours .... le monstre m'a trouvéeeeee
toujours pret à secourir la première venue d'un danger quelconque .. le borgne se précipita sabre en main et cigare en travers de la bouche vers la pauvre fille ... quel ne fût pas sa surprise de tomber nez à nez avec Rafaëlla Salazar, la creme de la creme espagnol .. celle que toutes les femmes maudissait pour sa grande beauté et l'attrait tout particulier qu'elle exercait sur la gente masculine de l'île ...
ainsi donc te voilà .. AHAHAHH je ne te cherchais pas .. et c'est toi même qui vient te jetter dans mes bras ... AHAHAH
mais .. la belle était alerte et rapide ... le borgne n'avait pas encore compris ce qui arrivait que la belle avait disparu ... surpris, il décida de la retrouver coute que coute .. elle ne devait pas etre bien loin ...
il traversa les pièces une par une, liquidant tout sur son passage ...
AHAH TE VOILA ...
finalement ,à bout de souffle, la pauvre fille se retrouvait acculée dans un coin .. mais ... elle sorti son pétoir et fit feu sur le monstre sanguinaire qui s'avancait inexorablement sur elle ...
finalement, elle n'en puis plus .. les balles avaient l'air de passer à travers lui, à peine était-il touché, qu'il avancait de nouveau ...
- PAF PAF ...
TIENS TOI TRANQUILLE MAINTENANT ....
- PAF
décidemment, les techniques du borgne ne changeaient guère ... mais au vu de l'efficacité de celles-ci, pourquoi devrait-il en changer ....
il réussit à la désarmer d'un coup de savate ..envoyant son pétoir voler dans l'autre coin
voila ... calme toi, .. tu es notre prisonnière maintenant .. tu ne crains rien ...
je ne te ferrai aucun mal tant que ton gouverneur nous obéira ...
pendant qu'il essuyait sa lame encore dégoulinante, la belle sorti un couteau et .. plutot que de le lancer sur le borgne, et le posa sur sa gorge et le menaca ... et pour lui montrer qu'elle ne blaguait pas ... elle fit couler le sang le long de sa nuque
le borgne ne s'était pas attendu à celà .. il allait de voir réagir vite ...
ola non, ne fait pas celà ... tu ne peux te trancher la gorge .. toi .. une Croyante ... mettre fin à tes jours ... quelle hérésie .. et quelle trahison envers Dios que tu dis aimer ...
le borgne venait de toucher un point sensible de l'espagnole ..
elle eu un léger moment de doute ... suffisant pour un homme comme le borgne, et juste avant qu'elle ne se décide, d'un geste rapide et précis, il placa sa main entre la couteau, qu'elle avait légèrement écarté, et sa gorge ...
la main en sang, il réussit à la métriser .. la désarma .. fit bien attention qu'elle n'avait plus d'arme sur elle ... et la ligotta
ouch ... tu as faillit m'avoir ... tu es pleine de courage ... aie ... ouch ...
le borgne déchira un pan de sa chemise pour se faire un pansement ...
il allait falloir contacter le gouverneur à présent
il se tourna alors vers la belle, mais celle-ci ayant déjà perdu pas mal de sang, venait de s'évanouir ...
le borgne déchira donc l'autre moitié de sa chemise, se trouvant torse nu, couvert de sang ... il faisait comme il pouvait pour arreter le sang, sans l'étrangler ...
il allait falloir la soigner au plus vite s'ils voulaient garder leur monnaie d'échange en vie ... elle ne tiendrait pas comme ca jusque demain ... il davait trouver un soigneur coute que coute ... dut-il le menacer de sa lame
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Posté le 01/06/2006 à 12:56:10
"et quel trahison envers Dios que tu dis aimer ... "
Rafaella eu un instant de stupeur, le Borgne était alerte et en profitat.
En fermant les yeux Rafaella se trancha la gorge, ou plutot tenta.
Le sang giclait mais ce n'étais pas le sien.
L'entaille sur sa gorge n'était pas très profonde, mais le sang s'écoulait tout de même, doucement...
Doucement...
Je n'ai plus peur
Doucement...
Mais j'ai froid
Doucement...
Je suis mieux maintenant
Doucement...
Les yeux de Rafaella sont clos, elle a perdu connaissance, sa vie s'écoulant doucement... |
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Posté le 01/06/2006 à 13:12:39
le chemin allait être long,
les embûches fleuriraient comme
des violettes au printemps.
"Rafaëlla ne mérite pas tel
sort!"
les souvenirs,
furtifs, de soirées où Rafaëlla préparez un thé, si explosif en
bouche, me ramenèrent à la
réalité.
Demain, je prendrai la route pour la
sauver.
"même s'il me faut 4 jours pour
rejoindre le manoir, aucun d'entre vous ne
m'arrêtera!" |
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Posté le 01/06/2006 à 14:11:38
Alejandro voyait le
manoir, son objectif n'était plus très
loin maintenant. Il avançait prudemment car on avait
signalé Alfred dans les environs. Il regardait
derrière chaque rocher, derrière chaque
arbre.
Il fit une pause à moins de deux heures du
manoir qui se dressait menaçant
devant lui. Cet endroit maudit habritait aujourd'hui un monstre à faire
paraitre le démon pourpre
pour un enfant de coeur.
Le Brogne était là.
Le Monstre
sanguinaire se régalait du
sang Espagnol depuis deux jours et surtout, surtout il allait finir par tomber
sur Rafaella à un
moment ou à un autre et là...
Alejandro tressailli car il connaissait bien cette
femme et
savait de quoi elle était capable.
Sur ces garde, il ajusta son tromblon en regardant le
manoir. Il pouvait y être avant ce soir mais il n'aurait pas le temps de s'y cacher. Il serait
vulnérable à l'entrée mais il ne pouvait pas se permettre de trainer. Alors qu'il allait se
remettre en
route un bruit le fit se retourner brusquement et il la vit.
Mary Read se
trouvait là et essayait
de le contourner, elle se dirigeait vraissemblablement vers le manoir
aussi et voulait l'atteindre
rapidement car elle ne l'avait pas chargé.
Cependant
Alejandro, sur ces gardes, était tendu comme
une corde prête à rompre et à peine avait-il reconnu
la pirate que la balle partait déjà du
tromblon.
Mary Read fut atteinte en pleine poitrine
et du sang gicla abondamment.
Surprise, elle
changea d'avis et le chargea lame au
point.
Alejandro n'eu pas le temps de tirer d'autre balle
que la furie était déjà sur
lui.
Elle lui tira deux balles à bout portant et lui assena un magistral
coup d'estoc alors
qu'Alejandro essayait de degainer cette lame avec laquelle il n'était pas encore
très à l'aise.
Le combat dura et il reussi à blesser légèrement Mary Read mais les coups de butoir de la
pirate
finirent par avoir raison de lui et il sombra dans l'obscurité de l'inconscience...
Il
repris connaissance en sursaut et reconnu l'hopital
d'Esperanza.
NOOOOOOOooooooooooooooon
Son cri resonna dans toute
la ville
jusqu'à ce que la douleur qui déchirait chacun de ces membres le précipita de nouveau
dans le noir. Un
noir de jais, comme celui d'un corbeau de mauvais augure... |
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Posté le 01/06/2006 à 14:28:47
Mendosa alors en route
vers la colonie anglaise, venait d'apprendre que les pirates compter prendre
d'assaut le manoir,
il fit rapidement le point sur la situation et se rendit compte que la cible du
pirate le borgne,
la belle et douce madrilena, se trouvé au premier étage de celui ci.
Sans plus
attendre il
rebroussa alors chemin et couru vers le manoir usant de toute ses ressources pour arrivé a
temps,
mais a pein eu-t-il mis un pied dans le manoir qu'il entendit des coups de feu à l'exterieur.
Maintenant il sait que cela etait le combat de don alejandro.
Un peu plus tard il entendit
un cri a
l'etage, c'etait la voix de Rafaella, le borgne l'avait capturé. Mendosa se tient
maintenant pret à
fondre sur sa proie avec quelques hommes de confiance. Il prend conscience de la
situation, les pirates
sont nombreux, attaquez de front pourrait etre risqué por la madrilena. Lui
vint alors oun
idée.
Le Borgne, Si tou m'entend la haut, yé té defie , battons nous
à un contre un ,
n'impliquons personne d'autre, si yé perd yé serai alors ton prisonnier et si
yé gagne vous quitterez lé
manoir, ma laisse la partir avant tout, tout sait depuis notre derniere
rencontre à esperenza qué yé soui
homme d'honneur. |
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Posté le 01/06/2006 à 14:55:05
le borgne était en train de penser les blessures de sa captive ...
il entendi du raffus au rez de chuassée et se demanda s'il avait bien fermé la porte du manoir car il sentait une légère brise ... qui lui amena les paroles du Mendosa ..
le borgne parla pour lui ...
AHAHAHAH MENDOSA .... tu ne crois quand meme pas qu'on va te répondre maintenant idiota ... sache que tu n'es point chez toi ici et je ne me rapelle pas que nous t'ayons invité dans notre nouvelle demeure ...
il faudra que ton gouverneur vienne payer en personne si tu veux revoir la captive vivante ... ou alors monter ici AHAHAHAHHA
le borgne savait bien que Mendosa n'oserait jamais faire celà, il était plus malin que ca le Mendosa ... il savait que s'il passait l'escalier, la vie de Rafaëlla ne tiendrai plus qu'a un tout petit fil de rien du tout ...
se penchant au-dessus de la rembarde, il lui cria ...
amene nous l'or et elle quittera notre demeure saine et sauve ....
tente quoi que ce soit .. et elle mourra par ta seule et unique faute ... à toi .. l'orgeilleux Mendosa ...
pour le reste, je note ta demande de rendez-vous ... mais la liste est longue amigo AHAHAHAHA, tu n'es pas le premier a exiger mes faveurs AHAHAHA
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Posté le 01/06/2006 à 15:29:12
que faire alors? se
demanda mendosa, il ne pouvait rester
impuissant devant cet atrocité
Ne bougez pas , ne
montez pas à l'étage avant mon autorisation,
cela est trop risuqué pour le
moment.
Laisse moi l'entendre le borgne, je veux etre sur
qu'elle est encore
vivante...
En tout cas laisse moi te dire une chose, tu veux le manoir, soit ,
j'espere que tu
le trouve a ton gout car tu n'en sortira jamais, et si tu veux un jour en sortir cela
sera les
pieds devant uniquement. |
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Posté le 01/06/2006 à 15:36:54
*le padre apprenant la
nouvelle prit sa plus belle plume et
ecrivit*
Le Borgne,
Nous avions conclou oune
marché, tou ne respecte pas ton
engagement...
Laisse cette jeune demoiselle, prend quelqu'un
d'autre, ou Dios te montrera son
couroux.
Raisonne toi, tou t'éloigne de ...
Le
Borgne, reflechis, vois l'avenir et prend
les bonnes decisions.....
El Padre
*puis
le padre envoit son fidele pigeon... vers le
manoir |
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Posté le 01/06/2006 à 16:08:11
Aux alentours d'un
buisson, j'entendis des bourdonnements
diffus!
Un homme griffonnait tout en
parlant.
C'était le Padré Pelallo, invectivant le Borgne et
graciant un seigneur.
"Padré, comment des prières pourraient-elles nous aider?
le temps joue
contre
nous!"
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Posté le 01/06/2006 à 17:12:31
le borgne était toujours à l'affut de la moindre traitrise ....
il devait s'assuere que Mendosa avait bien compris, il s'approcha de l'escalier, se coucha par terre, tête vers le bas et cria ...
Mendosa ... tu es un des rares à avoir prouvé ta valeur lors du pillage, hijo dé puta, tu nous a subtiliser le coffre ... mais .. tu nous a combattu brillament ...
c'est pourquoi, tu seras notre interlocuteur à la place de ce Montoya de mes fesses
je te le dis
ne tente rien, et laisse passer mes frères et soeurs qui voudront nous rejoindre ...
Téquila va venir soigner la madrileña, elle en a besoin ...
au moindre problème, tu pourras pleurer de toutes tes larmes la mort de l'Espagnole
tu m'as bien compris Mendosa ....
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Posté le 01/06/2006 à 17:39:57
Mendosa fait un signe de
la main aux personnes présente pour
qu'ils cessent toute avancée.
Bien téquila va les
rejoindre ne faites pas de mouvement contre
elles car elle va allez soigner la
madrilena.
s'aproche de l'escalier afin que le borgne et
lui puisse echanger des
regards et tester leur determination
Tequila pourra passé, mais
si nous la
laissons monter il est evident qu'elle se doit egalement de respecter notre treve à son
égard.
De plus téquila sera la seul a avoir le droit de vous rejoindre, tant que je n'aurai
pas vu
rafaella vivante de mes propres yeux, il n'en sera pas autrement. |
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Posté le 01/06/2006 à 17:58:50
la proposition de Mendosa était juste ...
le borgne savait que si Mendosa était aux commandes, il n'arriverait rien à sa soeur Téquila ... il le valait mieux pour la survie de leur captive en tout cas
très bien Mendosa, laisse passer Téquila et tu donneras un répis à la madrileña
après, tu pourras la voir ...peut-être auras-tu le droit de monter ici désarmé et de t'assurer de sa personne
nous verrons bien demain ...
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Posté le 01/06/2006 à 18:04:47
Mendosa est soulagé que
la proposition soit accepté et que
d'autre pirates ne se melent de suite a la "
fete"
cependant il sait qu'il aura du mal a soutenir
le regarde de tequila pendant son
passage, lui qui pour sauver sa ville à du la combattre et la bléssé
mortelement.... |
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Posté le 01/06/2006 à 18:11:47
le borgne voyant la satisfaction de son adversaire ... ajouta ...
mais garde toi bien te t'attaquer à un autre de mes frères Mendosa ...
après avoir mis Mendosa en garde, le borgne s'en retourna examiner l'état de la Madriléña, état qui l'inquiétait ... et laissa la garde à Mary ... la plus redoutable d'entre eux ... rien que sa vue leurs permettraient de passer une nuit tranquille à veiller Rafaëlla
aie ... il faut qu'elle tienne le coup .. elle a perdu beaucoup de sang ... je dois lui trouver une petite infirmière en attendant les soins spécialisés de Téquila ...
c'est à ce moment là que son regard fut attirer par une jeune anglaise, il l'avait déjà croisée en entrant dans le manoir mais n'avait pas trop fait attention à elle
le borgne s'approcha d'elle, la pris par le bras et l'emmena avec lui vers la chambre où était toujours inconsciente l'espagnole
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Posté le 01/06/2006 à 19:13:48
Depuis plusieurs jours, je
croise des pirates dans le manoir,
ils n'ont pas l'air agressifs.
Mais aujourd'hui, je
monte a l'étage. Apparement, il s'y trame
quelque chose.
J'avance dans le couloir. Il n'y
a pas grand bruits, mais une odeur infecte . Je
suis épuisée, apres une journée de combat contre
des momies enragées, mais je ne peut pas dormir ici, il
doit bien y avoir une chambre abandonée
quelque part.
C'est alors que je glisse, et m'étale par
terre de tout mon long. Un
liquide poisseux s'étale sur mes vêtements et mon visage, c'est ca qui ma
fait tomber! Je me met
à genoux. C'est du sang ! Il y a une trainée de sang dans tout le couloir. "Mince,
si le
propriétaire de ce sang n'est pas encore mort, ca ne va pas tarder." Je me demande qu'est ce qui a
pu provoquer un telle horreure, je n'ai pas envie de tomber nez a nez avec ce monstre.
Frissonante, je me remet à avancer. Il fait un peut sombre. J'entends des pas qui se
raprochent.
Je préfère me signaler."Il y a quelqu'un ? Je, ...je crois qu'il c'est passé
quelque chose ici !"
C'est alors que le borgne apparaît. Je reconnais mon ancien gouverneur. Il a
une carrure impressionante,
mais ca me soulage un peu que ce soit lui... Il arrive vers moi. Il
marche vite, et a l'air énervé. Il se
rapproche de moi, je n'est rien le temps de dire. Il me
saisit par le bras et m'entraine au fond du
couloir. "Qu'est ce qu'il se passe, ya du sang
partout ! qu'est ce que vous avez fait, encore..." Il me
regarde. " Tu sais soigner ?" "Oui, un
peu mais ..." Il s'arrête brusquement devant la salle qui se tient
devant nous. "Discute pas, et
fait vite. Il lui reste plus beaucoup de temps." Et il me pousse à
l'interieur.
ll y a
plein de pirates dans cette salle. Tout au fond, dans le coin, une jeune femme
est allongée. Elle
est couverte de sang, et inconsciente. Le borgne parle a ses frères, je m'approche du
corp inerte
de la jeune femme, que je reconnais maintenant. Rafaella, je l'ai croisé il y a quelque
jours.
Elle est dans un état presque desespéré. Je me tourne vers le borgne. Comment peut on faire des
choses pareilles ? Il me lance des bandages "Debrouille toi avec ca !" J'attrape ses bandages,
ils sont
tout sales. Je les pose par terre dans un soupir de mécontantement. J'ouvre mon sac et
sort ma trousse de
soins, je n'étoie les blessure de la pauvre espagnole puis les panses avec mes
bandages,
propres.
"C'est tout ce que je peux faire pour l'instant. Mais il lui faudrait du
repos, dans un
endroit propre, et..." " C'est bon, c'est bon. Tu peux te tirer maintenant."
Le borgne allume un
cigare. "Ah, ca non ! Eteignez votre cigare ! Mince, un minimum
d'hygiène quand même ..." " Il me
regarde, interloqué. Ces frères se mettent à rire. Je m'avance
vers la sortie, mais au passage, le borgne
m'enfonce sont cigare dans la bouche. "Tiens, faut pas
gacher !" Je le recrache en toussant, puis
l'écrase."Infecte !". Et je m'en vais. |
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Posté le 01/06/2006 à 19:21:41
* Azalée arriva on ne
sais comment au chevet de Rafaella,
sûrement encore de la sorcellerie... *
En effet
elle est mal en point la petiote, je ne sais
pas ce que vous lui avait fait mais vous n’y êtes pas
allé de main morte !
* Le Borgne
s’appréta à s’expliquer mais elle enchaîna un nouveau
sermon à l’adresse de la mourante
*
Psss...ma fille tenez bon ! Ce n'est pas trés
catholique d'essayer de vous trancher la
gorge...je ne vous félicite pas. Un peu de courage que
Diable ! Je n'ai pas envie de vous administrer les
derniers sacrements au milieu des momies
!
Bon, au grands maux les grands remedes !
* Elle
mit de petites claques à Rafaella
puis sorti une bouteille de sous sa soutane sous le regard interloquer
de LadY Salmakia, mais un
regard sévère de la Nonne la convainquis de ne pas se mêler de ça
*
C’est une bouteille
de Whisky Balentine que j’ai subtilisé au mariage de Madre Anna. Je
comptez l’offrir à Don Armando
à sa sortie de l’hôpital mais je crois que c’est une urgence.
*
Elle arrachât le
bouchon d’un coup de dents (enfin de dentier) et goûta une gorgée de la marchandise
*
Tenez lui la tête penchée et maintenez lui la bouche ouverte…et arrêtez de la dévorer
des
yeux, c’est assez inconvenant ! ! Je suis pas médecin mais ça devrais la remettre d’aplomb le
temps que
Téquila nous rejoigne.
Aller ma fille restez avec nous, ressaisissez vous !! Le
Seigneur est votre
berger et tout et tout...
* La Nonne commença à verser à doses un peu
trop généreuse le divin
nectar dans la bouche de la belle hispanique. Il ne se passa rien pendant
quelques secondes puis rafaella
fut pris s’un haut le cœur soudain et se mis à tousser. Elle
ouvrit les yeux et vit de manière trouble
Azalée et le Borgne qui la dévisageais *
Je
suis en enfer ? * émit faiblement la captive
*
Non non pas encore ma fille *
répondit Azalée * mais si vos amis ne payent pas, vous
pourriez vous y retrouver… |
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Posté le 01/06/2006 à 20:38:23
*Drake entre dans le
manoir dont il a violemment ouvert la
porte avec un grand coup de pied. Posture grand Seigneur, le
voleur regarde successivement à droite puis à
gauche, la tête inclinée vers le bas son regard se
tourne maintenant vers le fond du
couloir.*
*Il avance lentement, dévisageant
respecteusement chaque espagnol et montrant
qu'il n'est pas là pour tuer, chacun par peur, ou
par respect de cette décision, s'écarte pour laisser
passer le pirate.
Tout se passe bien,
''Le Malin'' a atteint la moitié du couloir, suivit par
les regards d'un nombre impressionant
d'espagnols.
Tout se passe bien, jusqu'au moment ou une
immondice barre le chemin du
frêre de la côte, le tromblon armé.*
"Salut, j'm'appelle Kigon !
grrr...tu vas payer
pour...pour...hmmm...tu vas payer !"
"Hmm, Salutations, tu es qui toi ? Jamais
entendu
parler de toi, tu es une momie c'est ca ? Avec une tronche pareille, tu DOIS être une
momie...enfin j'esp..."
P A N
"...spère pour toi... Hey ! Qu'est-ce
que tu
fais ? Je suis pas là pour me battre, sale momie, maintenant tu me laisses passer ou je te
corrige, okay
Ki...machin ?"
"Moi vivant, tu ne passeras pas, je suis ici depuis plusieurs
années, je porte les
couleurs d'espagnes, bien qu'il y ait longtemps que je n'ai pas vu notre
belle Esperenza, 'bon bon,
m'enfiches des autres de ma nation, ahaha, crêve raclure de pirate
!"
*Drake sourrit à sa façon
habituelle : ironiquement, puis fais glisser son arme de
sa ceinture, et se jête au combat, le regard
planté sur son adversaire*
"Quoi qu'il
arrive, qui qu'ils soient, tu dois aimer les tiens,
car ce sont ta seule famille, els gens comme
toi me dégoutent, momie puante !"
*Suit un
combat acharné, durant plusieurs heures,
des dizaines d'échanges, là ou Drake avait l'habitude de
toucher à chaque fois, il du y
retourner plusieurs fois pour, finalement, finir l'espagnol
pseudo-haineux.*
"Repose en Paix, Sir."(HRP: j'ai honte^^,)
*Fatigué
du
combat, Drake part s'allonger contre un mur au bout du couloir, suivit par les yeux éffarés de
la dizaine
d'espagnols ayant assisté au combat, avant de s'assoupir, le voleur lance un : "Ne
vennez pas
m'attaquer et votre sort ne sera pas scéllé par ma lame, maintenant, qu'on me laisse
tranquil, j'ai
besoin de repos...".*
*Quelques heures après, qui lui parurent
des minutes, le
célébrissime fourbe Tacos, espagnol qui avait une réputation à la Chumbucket, la
"gloire" en moins, la
bétise en plus, vient attaquer le funeste dans son repos, le combat fût
cette fois, beaucoup plus bref, le
duel avec Kigon avait eu son effet sur la condition du jeune
voleur...*
*Réveillé en trombe dans la "zone de repos" du manoir, une
ravissante infirmière a ses côtés, Drake penssa immédiatement à Rafaella, avec qui il avait eu un
bref
échange de lettre : "désolé mademoiselle, le sang va encore coulé", ses frères voulaient
prendre le
manoir, soit, il en serait ainsi.* |
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Posté le 01/06/2006 à 21:16:42
le borgne tournait en rond ... légèrement inquiet ... la jeune anglaise avait réussi à colmater la blessure de Rafaella ... mais pour combien de temps ... il lui fallait des soins spécialisés de toute urgence ...
http://img188.imageshack.us/my.php?image=lafievrederafaella9oz.jpg
Rafaella était toujours à l'article de la mort, bien qu'elle ai repris certaines couleurs ... elle délirait ..
la fièvre commencait son attaque sur la pauvre captive ... Téquila devait intervenir rapidement ...
le borgne s'inquiétait ... Mendosa avait promis ... masi il savait qu'un autre espagnol était dans les parrages .. et que lui, il n'en avait cure de la belle ...
le borgne devait se décider ... il fallait agir avant la nuit ...
hawk mon frère ... tu es le plus en forme ici ...toi seul peut nous tirer d'affaire ... nous devons la garder en vie le plus longtemps possible ... mais si Tacos arrive ici, nous n'aurons d'autre choix que de la tuer ....
pars ... va faire couler le sang ... et reviens vainqueur ... le fourbe ne pas être loin ...
hawk n'avait pas attendu la fin qu'il était déjà parti, sabre à la main ... près à en découdre avec ses ennemis ...
le sang allait encore couler ... mais cette fois .. c'étais pour protéger la captive des méchants espagnols ... Mendosa ne pouvaient tous les controler ...
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Posté le 01/06/2006 à 22:22:19
*Lord Hawk, dans le
manoir se promenait tranquillement, ne
laissant même pas le temps au momies de sortir de terre
...*
Et bim, une de plus
...
*C'est alors que Hawk, en montant les escaliers
entendis comme les autres, des cris ... une
femme on aurait dit ... en effet, c'était Rafaella
!
Cette espagnole que le borgne voulait prendre en
otage ! Hawk alla alors dans la petite pièce
où se trouvait Rafaella, agonisante, le borgne et la
nonne.*
- Hawk ! vite ! des soins
! criait le borgne. Elle ne doit pas mourir !
- Je ne suis
pas médecin mon frère, je suis
désolé ! Tout ce que je peux faire c'est de surveiller l'entrée de la
chambre pour que personne
ne puisse tenter quoi que se soit envers cette charmante espagnole
!
*C'est d'ailleurs
ce que Hawk fit immédiatement. Mais apparemment, il avait beau le crier,
quelqu'un s'approcha,
discrètement, telle une ombre!*
Ola qui va la ? L'entrée est interdite
à toute
personne étrangère aux frères !
*Mais l'homme se déplaça et essaya quand même de forcer
le passage.
Il se prit un coup d'épée qui le fit s'écrouler par terre.*
Je suis
désolé
jeune garçon, mais je ne puis prendre aucun risque !
*Hawk prit ainsi position a
l'entrée de la
salle, il vit alors le borgne aller chercher quelqu'un. D'ailleurs, il revint
5min plus tard traînant
par le bras une jeune anglaise*
Soignes la ! Qu'il lui dit en
lui balançant des bandages aux
pieds
*C'est d'ailleurs ce qu'elle fit, fort bien on
doit l'admettre. Elle repartie ensuite
avec tous les remerciements des frères
présents.*
Hey borgne, envois moi un des cigares cubains
que tu garde en réserve s'il
te plait !
Une petite pause nous fera du bien.
*Le borgne lui
en lança un et Hawk,
assis contre le mur se mit à le fumer tranquillement.
Mais c'est alors qu'un
bruit se fit
entendre après les paroles du borgne et de Mendosa. Un espagnol apparemment venait de tuer
des
pirates !*
Que se passe t'il ? Une tentative de libération ?
*Hawk avait reçu un
message de Drake, venant droit de l'hôpital :
"Tacos est la ! Ce lâche nous a achevé, mais on
ne sais
pourquoi, peut être pour Rafaella ?"
Rangeant le mot, Hawk entendis une conversation
entre un anglais
et un espagnol ... mais il ne compris pas tout*
.. umuhuhummuh ... les
pirates ... mhmhmhm ...
ouai ouai ... tacos
*A ce nom, Hawk se remit sur pied, sortit
son épée de son fourreau et alla à
la rencontre de cet énergumène ! Il n'était en effet pas très
loin.
C’est en plus sous les
encouragement du Borgne que Hawk partit à la rencontre de ce …
Tacos !
Il suffit de quelques coups
d'épée pour le renvoyer a l'hôpital aux coté de Drake et
Mary*
J'espère que tu sera bien
accueilli la bas ... dit Hawk avec un énorme
sourire.
*Regarde vers le ciel*
Je vous
ai vengé, Drake,
Mary.
*Après ce combat, un peu amoché, Hawk vit à coté de lui ... Night, celui
qui
parlait avec Tacos !*
- Hey toi, sais tu ce qui se passe ici ?
- euh ... non ... non
pourquoi ?
- tu soignes ?
- bien qu’est ce que ça peut te …
*Paf*
…
euh …
oui oui pourquoi ça ?
- et bien tu seras dorénavant mon esclave, tu me suivra partout est
ce clair
?
- et puis quoi encore … je suis pas ton …
*Paf*
- En fait ce
n’était pas une
question !
*Sur ce, Hawk s'assied aux cotés de night, bloquant le
passage a la salle ou est
détenue Rafaella.*
Assis toi n'ai pas peur
!
*Night, un peu réticent s'assied quand
même* |
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Posté le 01/06/2006 à 22:59:58
Night avait décidé de
retourner au manoir alors qu'il
rapportait les objets s'y trouvant à leurs propriétaires, car il
avait entendu un raffut monstrueux à
l'intérieur, ainsi que des cris d'angoisse.
A peine
entré, il vit des cadavres par terre, des
personnes tués à l'épée, instrument que les momies ne
savent manier... les squelettes ? à peine bons à en
tenir une, alors s'en servir, n'en parlons
pas.
Il suivit les cadavres des espagnols, ce qui le
conduisit à l'étage.
Là, il entendit
une femme hurler :
Au secours, un pirate me retient
prisonnière, sauvez-moi
!
Puis la voix d'un homme :
Tu vas te taire oui ? A tous
ceux qui peuvent
m'entendre, ne tentez rien ou l'espagnole mourra, AHAHAHAH
Night reconnu
la voix
du borgne.
Je t'ai enfin retrouvé, j'arrive, je sais que tu n'oseras pas la tuer, tu
en as besoin vivante.
Sur le chemin, Night croisa plusieurs pirates, mais il arriva
miraculeusement à passer sans se faire repérer.
Il se cacha dans un coin jusqu'à entendre les
cris de
mort de Mary Read, qu'il avait croisé quelques heures plus tôt.
C'est alors qu'une
ombre s'approcha
et qu'il aperçu Tacos, un espagnol qui était venu venger ses frères morts sous
la lame de le
borgne.
Il sortit de sa cachette et entama le dialogue :
- Ola amigo,
qué tal ?
J'ai cru
comprendre que tu venais d'occire Mary Read ? je t'en félicite, mes
oreilles sont ravies de
l'entendre.
Tu vas bien ?
- Oui oui, je t'en remercie, tu as
croisé d'autres pirates dans le coin
?
- Certains, les pirates ont apparemment décidé
de prendre possession de ce manoir.
- C'est
bien ce que je craignais, ça te dit de
m'accompagner et de m'aider pour les tuer ? Mais je suis fatigué
là, bonne nuit.
- ouai
ouai, bien sûr que je vais t'aider. Bonne nuit
tacos.
Sur ce, l'espagnol
parti se coucher, mais Lord Hawk arriva et tua Tacos devant
les yeux de Night.
Lord Hawk
l'aperçu et le força à être son esclave, puis Night se dit
:
Aïe, mais c'est qu'elle
font mal ses baffes, j'ai intérêt à me tenir à carreau, moi qui
venait délivrer Rafaella, me
voilà captif à mon tour...
Mais, ma jambe ! D'où il sort ce chien ? *PAF*
à la
niche.
Cependant, Night se sentait comme observé par le
borgne...
http://img189.imageshack.us/my.php?image=capturedenight7oj.png |
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Posté le 01/06/2006 à 23:39:41
Jour 0
:
Sa tête tournait encore un peu.
Louis-Philippe se remémora avec une certaine gêne les
évenements de ces derniers jours. Il s'était
aventuré sur les rives du Lac central, mais un
espagnol et un anglais avaient tenté de lui subtiliser le
peu qu'il possédait. Sa lame les avait
remis dans le droit chemin... Il s'était alors enfoncé dans les
montagnes environnantes, mais
alors qu'il franchissait un col, une embuscade tendue par des brigands
avaient failli lui coûter
la vie. Pourquoi fallait-il que tous s'acharnent contre lui ? Après avoir pansé
ses plaies du
mieux qu'il pouvait, c'est à dire fort mal, il avait bu une rasade pour se remonter le
moral.
Une rasade ou deux, ou... Bon, il ne se souvenait plus trop, mais ses côtes étaient encore
endolories par les coups du Cap'tain Vandam. Oui, alors qu'il cuvait en admirant au loin l'onde
propagée par le souffle d'Eol sur ce miroir aqueux aux reflets irridescents, un anglais, encore,
s'en
prit à lui. Fort heureusement, la douleur fulgurante de deux volées de plombs se fracassant
sur sa
cuirasse lui donnèrent la force de déchirer le voile de brumes éthyliques qui ouatait ses
sens, et dans
un sursaut d'orgeuil et de désespoir, il dégaina sa fidèle empaleuse. Le choc de la
charge de l'anglais,
venu s'empaler sur cette fine lame, le projeta à terre. Mordant la
poussière, bien incapable de savourer
son triomphe, il se traîna jusqu'à un buisson pour soulager
son estomac révulsé par tant de haine,
d'alcool aussi. Au petit matin, car il avait passé une
fort mauvaise nuit, agonisant seul dans ce buisson
d'épine, un autre anglais condescendit à
abréger les souffrances d'un Louis-Philippe toujours ivre.
C'est ainsi que celui-ci repris
connaissance à Sainte-Catherine...
Ouch. Ma tête ! Alcool du
soleil levant, réveil pour
sûr pénitent...
Apercevant une charmante
infirmière.
Aille, que je souffre,
je me meurs !
Devant l'air dubitatif de
l'accorte damoiselle, il cessa sa comédie.
Elle devait avoir ouï quelque récit de ses exploits dans une
avenante taverne, il ne pouvait
l'abuser par de telles ruses... Renfrogné, il se résolut à écouter les
rumeurs qui voletaient de
pensionnaire du dispensaire en infirmière. Et il apprit la terrible
nouvelle.
Rafaella
Salazar...
Comme il chérissait ce nom ! Les arabesques de son
écriture déliée et
élégante dansaient dans son esprit un flamenco qui enflammait son imagination. En un
instant, sa
résolution fut prise. Il irait la secourir, et s'il fallait pour cela traverser l'île toute
entière, et bien soit ! D'un bond, il jaillit hors de son lit. Avant de prendre conscience de sa
nudité... Se drapant, c'est le cas de le dire, dans les lambeaux de la bienséance encore à sa
portée, il
s'éclipsa sous les regards interloqués de ses compagnons d'infortune. |
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Posté le 02/06/2006 à 00:04:29
Alejandro sur son lit
d'hopital travaillait d'arrache
pied. Il tournait en tous sens les morceau de plan du manoir
qu'il avait pu se procurer.
On
pouvait y distinguer des marques, des X, tout un tas
d'inscriptions.
Il avait mal. Les blessures
que lui avait infligé Mary Read ne s'étaient
pas refermées car il ne consentait pas à se reposer. Il
redigeais frénétiquement des notes qu'il
tendait à l'infirmière pour qu'elle les envoie à qui de
droit.
Celle-ci les récupérait en
soufflant. Décidement, ce malade n'était pas de tout repos... Et
c'était qui cette Rafaella dont
il ne cessait de prononcer le nom ?
Night maintenant ! Ahh si
ces raclures s'en
prennent à tout mes amis je vais les eviscerer ! Il ne manquerait plus
que...
Alejandro
se figea. Les yeux fixé sur un point que lui seul pouvait voir, il
murmura
Elle est là
bas !
Il essaya de se lever en renversant ses note et s'affala
au pied de son lit.
L'infirmière vint le remettre au lit contre son gré et il ne céda que lorsqu'elle le
menaça de
lui administrer un somnifère ce qui l'aurait obligé d'arreter de travailler
Madre
de
dios ! Si il touche a oun seul dé ses cheveux, yé youre sour mi vida qué yé lé férait souffrir comme il
n'a yamais souffert !
Alejandro ne dormit pas cette nuit là
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Posté le 02/06/2006 à 10:04:10
la nuit fut longue et
difficile, la rudesse du sol du manoir
et les morts revenant à la vie ne facileté pas la vie à
l'interieur.
De plus l'idée de savoir
mourrante la madrilena à l'etage, n'a pas aidé non
plus à trouver le sommeil.
Ce n'est que tard dans
la nuit que Mendosa epuisé tomba dans les
bras de morphée;
les lumieres du soleil qui filtrer a travers
les murs ebreché du manoir le
tirerent de son sommeil
Il remis alors sa cape et reajusta son
armure.
Le
Borgne tu es reveillé?
comment va Rafaella Salazar?
Yé sais qué des
hommes à toi son dans la
cave, qu'ils né monte pas et qu'il y restent jusqu'à la fin de l'histoire, yé
né veux pas de
combat inoutile ici. |
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