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l'aurore aux doigts de rose  
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Gorg Wulfaz
Gorg Wulfaz
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25/08/2007
Posté le 11/08/2010 à 15:01:35 

1.NAUFRAGE ET CONVALECENCE


-Honte sur toi sale chien! Honte!!! Hoooooooonte!!!!!!
hurlât le maréchal Betzancouille, de son nom Jean D'Araden, en frappant sur la tête du capitaine Ottoman avec son Oud alors que les digues du ciel venaient de rompre, 
-Sahib! Non! Arretez!!! Il faut que je prenne la barre! La tempête! Nous risquons de nous échouer!!! suppliât le marin turc,
- Je m'en fous!!!!! Quand on ne sait pas comment cuire un bol en glaise pour en faire de la terre cuite en ne mérite pas de vivre lui crachat il,
- Il faut que je retourne a la barre, il faut que nous réusitions a accoster au port d'Espéranza avant que....
-Rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!!!!! crias D'Araden J'ai donné ma sentence, et temps pis si nous échouons je m'envolerais du bateaux et volerais grâce mes noires ailes jusque a l'Abzou, et la bas je saurait en fin le fin mot de l'histoire!
-Mais quelle histoire?!? Ca n'as aucun sens!!!!!
-L'histoire du Gegene et d'la Martiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiine!!!
http://www.youtube.com/watch?v=vsc3I3KMHkU&NR=1
 puis après avoir assommé l'oriental de son instrument égyptien a corde, il le soulevas et le jetas par dessus bord. Il ramassât ensuite une hache qui traînait par terre et réduit le gouvernail en copeaux. Un marin d'origine perse du nom d'Ali ben Murad arrivas sur le pont de commandement ou Lupus(car c'était lui le fou) était désormais seul a donner des coups de hache partout ou il marchait, comme si il visait des ennemis invisible:
-Rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!!! Des gnomes!!!! Partout!!!! Et cette pluie qui me brûle le front!!!! C'est insupportable!!! Mais ils ne m'auront pas!!!!! Je suis le Wulkkos Lukaan Lharr-Lupomorthos!!!!!
-Seigneur, êtes vous êtes devenus fou? Ou est le capitaine? s'enquit le jeune homme, L'autre tournât la tête vers lui et reculas d'éfroit
-Les gnomes ne sont pas venus seuls, j'aurai du m'en douter..... Enlil, maudit soit tu! Mais je vaincrai tes démons Komurbay, mais je les veincrais!!!!!!!
Il pris Charognarde, son épée qui était accrochée a son dos. L'épée de ses ancêtres, forgée pendant les croisades par un illustre aïeul. Puis il se lançât sur le marin en faisant volteface et faisant un saut d'une souplesse incroyable et lui enfonçât l'arme dans le ventre. L'épée était dentelée, aussi quand il la retiras du pauvre homme, ses entrailles vinrent avec
-Alanaha elnic wa narh Zehrya. prias le roi-loup puis fracassât la rambarde et sautât sur le pont ou étaient l'équipage
-les  Komurbays! Ils sont des dizaines! Mais je les tuerais tous! Ils n'ont pas le droit d'être sur le vaisseau-temple!
puis brandissant son arme et courus vers l'équipage et la plantât dans un quartiers maître qui le regardât d'un air surprit avant de s'endormir pour l'éternité. Après être resté un instant hébété, l'équipage complet dévisagèrent leur patron comme un seul homme. Lui même tournait sur lui même en les regardant les menaçant avec son épée
-Trop nombreux! Ils sont venus en horde! Rhaaaaaaaaaa! Maudit soit tu, Pluie, pourquoi insiste tu as me brûler le crane?!? Tu est sencée fertiliser la terre, et non torturer un de ses plus grands seigneurs
il lançât un couteau vers la tête d'un des marins puis les bousculât et courus dans ses quartiers. Le navire était très grand, ses quartiers aussi. Il se retrouvas dans une pièce spacieuse meublée comme le salon d'un sultan, une vingtaine de jeunes femmes habillés en danseuses, des musiciens, des chanteurs et des acrobates s'y trouvaient. Il passât entre eux en parlant seul, remis Charognarde sur son dos et pris deux poignards longs. Un courbe Mamelouk et une droite vénitenne
-il ne faut pas qu'ils aient totale possession du navire, il ne faut pas qu'ils aient totale possession du navire, il ne faut pas qu'ils aient totale possession du navire.
il quittât la pièce en courant tout en massacrant marin sur marin qui essayait de l'attraper pour mettre fin a sa folie, mais il n'est pas facile, lorsque on est un simple marin de contrarier les résolutions d'un aussi grand guerrier, aussi fou soit il. Aussi il n'eus aucun problème majeur a prendre des tonneaux de poudre et les placer autour du mat supérieur, puis d'y mettre feu, créant une énorme explosion qui fis tomber le mat et tuas d'autres marins, il regardas vers la terre, ils en entaient très proches, si quelqu'un tombait dans l'eau, le courent le ramènerais a la terre, sûrement mort, mais peut être vif. L'équipage le compris et les marins se mirent a sauter par dessus bord, ainssis que les suivants de Lupus, prévenus de la folie de leur maître. Lui même, voyant que les démons fuyaient les provoquât:
-Revenez lâches!!! Sont-ce les terribles fils d'Enlil qui fuient comme des femmelettes?
il rengainât ses lames, retournât chercher son Oud qu'il accrochat a lui avec une corde et plongeât dans les flots déchaînés par la tempête.

Tel fus la fin du voyage de "l'aurore aux doigts de rose", vaisseau du comte d'Araden entre l'empire Ottoman et Liberty. Pendant toute la durée du voyage, il avait faits énormes efforts pour être dans ses quartiers quand il pleuvait, ayant depuis peu, pour d'obscure raison peur de la pluie, et devenait fou et incontrôlable lorsque elle tombait sur lui. Mais le dernier jour de voyage, heureux de terminer la traversé d'une mer et d'un océan, il s'était endormis en jouant du Oud, et fus réveillé par l'eau du ciel.
Jean D'Araden alias Wulkos
Jean D
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25/08/2007
Posté le 12/08/2010 à 16:16:03 

 Le lendemain matin, dans sa misérable cabane, un pauvre pécheur et potier espagnol du nom de Puablo Sanchez* se réveillait. Après s'être nourris d'une galette sans goût et fait une prière a la vierge, il pris ses filets et sortit pécher de quoi manger. le marché n'étais que le lendemain, et il prévoyait déjà de vendre ses rares assiettes pas trop cassés et les quelques poissons plus ou moins frais qu'il avait péché depuis le dernier jour de marché.
 Il grimpât sur son mulet et le forçat a partire vers un coin un peu poissonneux, assez loin de la ville, mais au moins il avait tous les poissons pour lui.
 Il grimpèrent une colline, traversent une prairie et entrèrent dans une foret, touchant au but, il prias pour que sa barque n'ai pas étée volée.
 Il descendît de son âne, l'attachât a un piquet et détachât sa vielle barque qui y était aussi, comme elle n'était pas lourde il n'avait pas de peine a l'amener a l'eau, mais lorsque il regardait vers la plage, il la lâchât. En effet, l'épave d'un gigantesque navire était la, et sur le sable des dizaines de corps noyés ou presque, il laissa tomber la barque, courus vers sa monture, le détachât et la fis courir vers la ville aussi vite qu'il pouvait, il avait vu que certains des corps n'étaient pas morts, et n'ayant aucun talant de secouriste il avait résolus d'aller chercher de l'aide.
_________________________________________________________________

Aaaah! Aaaaah-aaide......
Il n'avait plus aucune force, il avait faillis se noyer. Il tramblait, il avait froid. Il ne revenais pas de ce qu'il avais fait. Il avait l'impression que c'avait  été un autre homme, mais c'était bien Lui qui avait fait naufrager le bateau, qui avait tué les autres sans raison. Il s'en dormis.

http://www.youtube.com/watch?v=8y0A1Div-fA&NR=1
Cela faisait 5 jours qu'il errait perdus dans les dunes, son uniforme en loque était taché de sang, du sien mais pas que. Il n'avait plus d'eau. L'attaque avait été rapide, aucun ne l'avait prévus, les rebelles leur étaient tombés dessus, et, après un cours combats la plupart des siens réussi a fuir, mais lui: le capitaine, était au corps a corps avec un des traîtres ottomans. Il as réussis a le tuer et s'enfuir, mais il n'as pas retrouvé les autres, et il allait mourir ici dans le désert. Il fis endors quelques pas et s'écroulât, il lui semblait entendre chanter au loin, une divine musique. Il sus qu'il était en train de mourir, il entendait les anges. Il sombrât.
Alélouya! Aaalééouyaaaaa! Aaaaaaaaalélooo ooooo ooya!
Il se retrouvas dans un lit, dans une grande piece les murs étaient des mosaïques byzantines. Une jeune femme voilée passait, vis qu'il s'était réveillés et courus vers la porte. Elle revenus peut après avec un grand homme a barbe blanche vêtus d'une grade robe richement rodée et portant une croix en or au tours du cou.

Il ouvrit les yeux en hurlant. Il était de nouveaux sur la plage et une goutte de pluie venait de tomber sur son front. Pendant qu'il dormait un pécheur était passé près de lui et étai en train de revenir avec de l'aide.





*échappé depuis peu de la prison de Port-Louis ou il fus enfermé pour le meurtre de Louis De Liberty, fils bâtard du roi de France exilé sur l'ile
Pedro de Camello
Pedro de Camello
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23/10/2006
Posté le 22/08/2010 à 15:34:43 

*Alors que l'aristocrate était du côté externe des murs d'Esperanza avec quelques autres espagnols, un misérable pêcheur du nom de Puablo Sanchez (accusé du meurtre de Louis de Liberty et que le Duque aida), arrive sur un âne quasis-mort de fatigue.. Le misérable adresse la parole au vénérable espagnol, il était très fatigué, il arriva tout de même à dire ceci : *

Un nauf...Un Naufrag...


*Le Duque ne comprenant rien, il lui demanda de se calmer et de parler une fois qu'il aurait reprit son souffle. Le pauvre homme s'exécuta et reprit.*

Monsieur le Duque, un naufrage a eu lieu pas très loin des côtes de notre belle cité. Il y a beaucoup de noyés. Il y a des survivants mais ils ne sont pas nombreux et je penses qu'il faut faire vite. Donnez moi de l'aide pour sauver ces pauvres vies !

*A ces mots le noble eu une curieuse pensée, l'homme ayant participé au meurtre d'un citoyen de renom français lui demandait de l'aide pour sauver quelques inconnus. Le Cœur de l'espagnol était grand, il se décida donc à venir en aide au pêcheur.*
 
*
Puablo conduisit l'aristocrate, le majordome ( Antonio, un indigène européanisé par le Duque) et cinq infirmiers qu'Antonio alla chercher à l'hôpital Santa Lucia. Durant le trajet jusqu'à l'épave, la pluie commença à tomber, lorsque la petite troupe arriva à bon port, ou plutôt sur le lieu du drame, ils virent un énorme navire marchand battant pavillon Ottoman et ayant le nom de : « L'aurore aux doigts de rose ». Le spectacle s'offrant aux yeux des secours était horrible, Percy ( le chien du noble) hurlait à la mort. Des dizaines de corps gisaient, inerte sur le sable fin et chaleureux de Liberty, la mer était rouge vermeille, l'écume était putréfié. Les infirmiers cherchèrent des corps ou le cœur battait encore mais ils n'en trouvèrent pas beaucoup. Il se mirent à chercher les personnes vivantes, ils en trouvèrent sept, on dénombrait déjà 43 morts mais les recherches allaient s'organiser. Les premiers secours étaient venu sur de fier montures, l'aristocrate demanda à Antonio de retourner en ville et de demander les services de l'hôpital, de demander les services funéraires et aussi de demander toutes les aides possible pour mettre fin à ce carnage. Les rescapés étaient dans des états pitoyables, il fallait faire quelque chose VITE.  *

*Cinq minutes après le départ du majordome, le noble entendit soudain un chant, la belle voix grave du chanteur n'était pas inconnu aux oreilles de l'aristocrate. L'hispanique accourut vers le son mélodieux et trouva un homme habillé d'un sarouel, de bottes pointues, d'une tunique et d'une ceinture en bronze. L'être vu par l'espagnol avait l'air d'être fou à lier. C'est alors que Percy en l'apercevant se mit à aboyer d'une façon étrange, le Duque se décida à regarder plus attentivement l'individu et découvrit que l'étranger portait un sabre, un collier en bronze et un sceau à l'éffigie d'une famille pas inconnu aux yeux et au cœur de l'Espéranzien. *

L'homme s'arrêta de chanter « Malbrougt s'en vas en guerre » (http://www.youtube.com/watch?v=5Bi_V9z6H7Y ) , lorsqu'il entendit l'animal hurler. Il se dirigea vers le noble, et là dit :

Monsieur le Duque ! Je vous vois ici ? La première personne que je rencontre ? Mais c'est Formidable ! Je vais pouvoir aller à la conquête de Liberty, cette ile maudite m'appartiendra !

*Le Duque à ces mots se rendit vite compte que l'état de son vieil ami laissé à désirer. La conquête de Liberty... mais que racontait-il ? Le Duque essaya de le raisonner.*

Mon vieil Ami Lupus, vous êtes blésé, venez avec moi pour vous guérir. Je vous accueil chez moi, vous pourriez vous mettre au chaud, vous reposez, vous remettre de ce drame. Je ferais tout mon possible pour que vous vous remettiez au mieux.
 *L'homme répondit alors :*

Je ne refuserais pas un peu de logis en effet, mais après la sieste, je rassemblerais des hommes pour assiéger Port-Louis, Espéranza sera mon repère et je la nommerais Wulkos.

*Deux heures après ce court dialogue, Lupus se retrouvait en train de dormir comme un petit louveteau dans les draps propre de l'appartement du Duque situé à l'auberge espagnole. Un médecin était passé pour le voir et avait pansez ces blessures.
Les secours prévenu par Antonio avaient emmenés les blessés à l'hôpital d'Espéranza, les morts commençaient à être ramassé, les recherches continuaient.*

Pedro de Camello
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Posté le 25/08/2010 à 23:20:15 

*Lorsque Antonio arriva en plein centre de la cité Hispanique, il allait dans tout les sens, il était perdu. Il trouva l'hôpital, y déferla comme une furie, il hurlait :*

UN NAUFRAGE ! VENEZ NOUS AIDER ! DES MORTS ! DES MORTS !

*Une infirmière arriva près de lui et lui demanda de se calmer, elle s'occupa de lui et elle réussi à soutirer de lui toute l'histoire du navire. Après le discours, l'infirmière organisa les secours. Elle demanda tous les médecins, ce qui faisait 10, un maximum d'infirmiers fût réquisitionné. Au final les secours étaient de 52 personnes. *

*Après sa visite à l'hôpital, le majordome se dirigea vers la morgue, les cinq employé se dirigèrent immédiatement vers le lieu de l'accident. Le bruit d'une épave se trouvant non loin d'Espéranza s'était propagé rapidement dans la cité, certains citoyens voulaient se rendre utile et aidèrent les secours. On comptait plus de 100 personnes pour porter aide aux naufragés.*


*Une fois sur place, les infirmiers et médecins ne furent pas surchargé, il n'y avait plus que 20 personnes vivantes. Cela allait du léger traumatisme à la jambe où le bras en moins. On dénombré une multitude de corps sans vie.*

*A la fin de l'intervention, il n'y avait plus que 18 rescapé (deux étaient morts car ils avaient perdu trop de sang.) et 92 décédés. Ce carnage avait fait beaucoup de bruit, il s'agissait du passé, il fallait tourner la page.*
Jean D'Araden alias Wulkos
Jean D
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Posté le 11/09/2010 à 14:46:58 

2.EN ROUTE POUR PORT-LOUIS


*Jean était resté quelques semaines en convalescence chez le duque, mangeant sa paella, fumant sa havane et buvant sa sangria, en attendant que ses blessures lui permettent de prendre la route, et c'est donc avec un léger boitillement qu'il lui fit ses adieux*


Allez! Au revoir, mon ami! *dit Wulkos en donnant une grande tape dans le dos de Pedro qui manquat de peu a le faire tomber l'espagnol par terre* Et ne vous inquiétez pas, je vous les rendrait vos 500 florins (empruntés au duque pour remplacer ses vêtements ottomans en lambeaux) Et bonne continuation! Vous n'aurez qu'as venir a Port-Louis et dînerez chez moi, vous connaissez l'adresse! Oh, Kassim, tu viens?

*puis il était partit, vétut d'un pantalon de chasse brun, de bottes noires, d'une chemise brune et d'une veste noir, un trivorne a plume noir sur la tete et marchant en s'aidant d'une canne, il était monté sur son cheval pour faire route avec une caravane de marchands et autres voyageurs préférant voyager par la terre que par la mer. Il chemineras avec eux jusques a New Kingston, a partir de laquelle il continueras jusques a Port Louis sans eux. Il serait accompagné de kassim, un de ses hommes qui avait survécus au naufrage.*

*a mesure que les voyageurs s'éloignaient de la ville espagnole, une marche lui revint en mémoire et il se mit a chanter de sa belle et grave voix, nostalgique du temps ou il commandait dans l'armée de france, voyagent a la tete d'une compagnie d'une centaine de guerriers. C'était le bon temps, soupire*

Grands dieux! J'ai le cœur à mon aise
Quand j'ai ma mie auprès de moi, auprès de moi
De temps en temps je la regarde
Et je lui dis : «embrasse-moi.»
Et je lui dis : «embrasse-moi.»

Comment veux-tu que je t'embrasse
Quand on m'a dit du mal de toi? du mal de toi?
On dit que tu pars pour la guerre
Dans le Piémont servir Le Roi.
Dans le Piémont servir Le Roi.

Ceux qui t'ont dit cela , la belle,
Ils t'ont bien dit la vérité. la vérité.
Mon cheval est à l'écurie,
Sellé, bridé, prêt à partir.
Sellé, bridé, prêt à partir.

Quand tu seras dans ces montagnes
Tu ne penseras plus à moi. ras plus à moi.
Tu penseras aux piémontaises
Qui sont cent fois plus belles que moi.
Qui sont cent fois plus belles que moi.

Si fait, si fait, si fait, la belle,
Je penserai toujours à toi. toujours à toi.
Je ferai faire une belle image
Toute à la semblance de toi.
Toute à la semblance de toi.

Quand je serai à table à boire,
A mes camarades je dirai: rades je dirai:
«Chers camarades, venez voir
Celle que mon cœur a tant aimé.»
Celle que mon cœur a tant aimé.»

Je l'ai aimée, je l'aime encore,
Je l'aimerai tant que je vivrai, tant que je vivrai,
Je l'aimerai quand je serai mort
Si c'est donné aux trépassés.
Si c'est donné aux trépassés.


J'ai tant, j'ai tant pleuré pour elle
Que trois moulins en ont tourné. en ont tourné.
Petits ruisseaux, grandes rivières,
Pendant trois jours ont débordé.
Pendant trois jours ont débordé.

http://www.youtube.com/watch?v=lYR1OHFSZp4
Jean D'Araden, comte de Betzancouilles
Jean D
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Posté le 14/10/2010 à 17:02:50 

Regarde Kassim, New-Kingston! Nous sommes a la moitiée de notre voyage...... Il faudrat néanmoin nous montrer prudent, ils n'aiment pas les français par ici, et si par malheur on me reconais......

Comment cela, "si on vous reconnait"?

Eh bien, c'est lié a la raison de ma premierre venue sur l'ile, une mission secrete que le roi m'avais confiée. Je devais aller dans cette ville incognito quelques mois et voler des documents secrets au palais du gouverneur. A l'époque je me fesait passer pour un écossait....

Il y as des risques qu'ils fassent le raprochement?

Je ne croix pas, mais montrons nous prudent, fesont comme si j'était espagnol, ils se méfieraient si je revélais que je suis français, et tout pretexe serait bon pour m'envoyer en prison, et si je rejous a l'écossait.... Ce serait la potence directe...... Fesons nos adieux a nos compagnons de route et prenons une chambre pas trop chere, pour passer la nuit.
 

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