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La mort d'Amélia -1- 2  
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Amélia Johnson, morte dans la solitude
Amélia Johnson, morte dans la solitude
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26/06/2007
Posté le 08/08/2008 à 05:03:09 

Je me dirigea mal au point et à bout de souffle vers la caverne du crâne. Je me vida de mon sang, mais je continuer mon chemin comme si rien n'était en me tenant les côtes. La guerre contre les fraçais était rude et j'ai été grièvement blesser lors des combats. J'essayais de trouver un coin proche et tranquille ou je pouvais mourir en paix.Le seul endroit que j'avais pu trouveren ma mémiore, c'était la caverne du crâne. Je passa devant New Kingston sans m'y arrêter car je savais qu'ils refuseront de me soigner pour cause de mauvaise réputation sur ma nation. En plus j'étais recherché alors je ne prenais pas de chance de me faire voir. Je passa devant New Kingston en y jetant un bref coups d'oeil. C'est alors que je vis une pancarte au portes de la ville. Prise de curiosité je m'y avança en fesant attention de pas me faire repéré. Il avait deux message sur la pancarte. Ils s'adressaient tout les deux au peuple anglais. Je me mit à lire le premier. Avis à la population de New Kingston Nous avion besoin d'un grand nombre de personne, quelque soient leurs compétences, afin de reconstruire notre palais qui a été démoli lors du récent pillage de notre colonie. Pour cette mission, rien ne sert de savoir manier une épée ou un tromblon, il suffit juste de se rendre à New Kingston. Nous vous y attendons donc, John Daemon Gouverneur L'offre était tentante, mais je ne pouvais pas y participer pour cause de mes blessure et le fait que je suis rechercher. Je me mis à lire le deuxième message. Avis à la population de New Kingston Rendez-vous à tout les anglais ce jeudi à 20h au palais de New Kingston. Nous avons besoin de 30 personnes pour reconstruire et ça se passeras ce soir! Il auras des boisson gratuite. Nous vous y attendons donc. John Daemon Gouverneur de New Kingston Je quitta immédiatement après avoir fini de lire le deuxième message. C'était pas le temps de me faire repéré avec les blessure que j'avais. Il m'aurait été impossible de me battre J'arriva dans l'Anti-Chambre vers la fin de la journée, alors que le soleil s'apprêtait à se coucher. C'est alors que je me souvenue d'un endroit tranquille ou je pouvais avoir la paix. Je décida de me reposer et de reprendre le chemin que le lendemain. Je m'intalla dans un coin et dormie. Le lendemain matin, je me leva tôt et c'est alors que j'apperçu un magnifique bouquet de rose à côter de moi. Un mot y était attaché. Je le prit et me mit à lire. Je vous offre ce magnifique bouquet de rose. Van Pauletanaldo Des larmes me monta au yeux. Je reprit mon chemin avec l'intention de lui envoyer un message un peu plus tards. Je me dirigea vers la caverne humide. Je monta le chemin et prit un passage secret qui menait vers la plage des joyaux. Arriver là-bas, tout était calme. Il n'y avait personne et on entendais que le bruit des vagues qui se fracassa sur la plage. Je m'installa dans un coin. Je sortie une plume, une bouteille d'encre et deux parchemin de dans mon sac. Je trempa ma plume dans et je me mit à écrire. Cher Gouverneur, Bien que j'aimerais participer à la reconstruction, Je ne pourrais malheureusement pas me joindre à vous. J'ai été gravement blesser lors de la guerre contre les français et mes blessures sont trops profonde et trops grave pour pouvoir me déplacer. Il y a le fait que je suis recherché et je ne veux pas qu'il me retrouve. Je vous souhaite un bon courage pour la reconstruction du palais et j'espère qu'il seras aussi magnifique qu'autrefois. Cordialement Amélia Johnson Je roula le parchemin et l'attacha avec un ruban rouge. Je le déposa à mes côters et prit le second parchemin. Je me mis à écrire un deuxième message. Des larmes coula sur mes joues et tomba sur le parchemin en se mélangeant avec l'encre. Cher Van Pauletanaldo, Je vous remercie pour cette magnifique bouquet de roses. Elle sont vraiment belle. Je m'excuse d'avance pour mon arogance, mais pourquoi tant d'attention? J'ai toujours était seul et j'ai eu très peu d'affection et d'attention de mes proches qui était peu nombreux alors je ne suis pas habituer à celà. Amicalement Amélia Johnson Je roula le parchemin et l'attache avec un autre ruban, mais cette fois-ci il était bleu. Je prit l'autre parchemin et mis deux doigt dans la bouche pour y émettre un faible sifflement. Quelque minute plus tard, un perroqua arriva. J'attacha un message sur chaque patte et lui donna les instruction. Quand j'eu fini, l'oiseau s'envola vers la sortie. Je serra la plume et l'encre dans le sac et sortie une vielle couverture. C'était une couverture que j'avais depuis que je suis toute petite et jamais je m'en suis débarrasée.Je m'apprita et me coucha. Je m'endormie aussitôt que je déposa ma tête sur la pierre. J'eu une nuit très agité par d'étrange rêve. Le lendemain, Je me fis réveillé par des coups d'épée dans les côtes endolories. je regarda qui avait bien pu me réveillé à une heure aussi matinal et surtout dans ce coin perdu. Je reconnu aussitôt son bandeau. C'était un français.
Lulu
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24/03/2007
Posté le 10/08/2008 à 23:33:09 

"Quinze fois volé et ensuite bien amoché ! C'est ça qu'ils appellent la paix ? Laissez-moi rire ! Ils se foutent de moi ! Ils me montrent la paix à leur façon ? Eh bien moi je vais la montrer à la mienne ! Liberty ne se portera que bien mieux quand je les aurai tous éradiqué." Telles étaient les pensées de Lulu alors qu'il s'enfonçait d'un pas décidé dans les mines du crâne avec pour but de tuer tous les bandeaux rouges rencontrés. D'ailleurs, il devait dégager tellement d'ondes négatives que tous le sentaient arriver mais aucuns ne voulaient rester sur son chemin. Du moins c'est ce qu'il pensait car il ne pouvait croire qu'aucun anglais ne se trouvait ici. Après un petit bout de temps de marche, Lulu arriva enfin à la plage des joyaux, cet endroit paradisiaque caché par les mines où seul un contrebandier vivait. Pourtant il n'était pas seul cette fois-ci. Enfin ! Oui, enfin il en rencontrait de ces sales anglais. Enfin plutôt une anglaise, qui avait d'ailleurs l'air bien mal en point au vu de toutes ses blessures. Il était à quelques mètres et pourtant elle dormait toujours. Il réfléchit quelques secondes à la meilleure façon de la réveiller et finalement sortit son sabre et commença à lui enfoncer la pointe de la lame dans les côtes.
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26/06/2007
Posté le 10/08/2008 à 23:39:04 

Il m'a fallut bien sûr que peu de temps pour m'être réveillée. Malgré mes blessures, je me mis debout, essayant de montrer au français que j'étais tout de même en forme. En réponse au regard froid de Lulu, je lui répondis avec un air menaçant : -Pourquoi me réveilles-tu ? Et qu'est-ce que tu fais dans ce coin perdu ?
Lulu
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24/03/2007
Posté le 10/08/2008 à 23:42:52 

"Ce que je fais ici ne regarde que moi. Quand à la raison pour laquelle je te réveille, tu vas bientôt la découvrir." Joignant les gestes à la parole, il rangea son sabre dans son fourreau et sortit un poignard puis commença à s'avancer vers Amélia.
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26/06/2007
Posté le 10/08/2008 à 23:52:58 

Je vis qu'il rangait son sabre pour sortir ensuite une dague. Il commença à s'avancer vers moi tranquillement. -Qu'est-ce qui compte me faire avec cette dague?, me demandais-je. Paraissant nullement intimidée, je fronça les sourcis d'un air menaçant et je répondis du tac au tac: -Que vas-tu faire avec ceci ? Me faire du mal ? Est-ce que tu oseras seulement le faire, en lâche que tu as l'air d'être ?
Lulu
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24/03/2007
Posté le 10/08/2008 à 23:58:48 

Bien que l'anglaise ne paraissait nullement impressionnée par l'arme que venait de sortir Lulu, celui-ci ne se dégonfla pas pour autant et continue à avancer en répondant : "Moi, lâche ? Sûrement moins que toute ta nation de dégénérés. Tout ce que vous savez faire est de planter des couteaux dans le dos des gens au moment où ils s'y attendent le moins."
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26/06/2007
Posté le 11/08/2008 à 00:04:55 

La fureur monta en moi. Je ne prenais pas le fait qu'il traite les anglais dégénéré et encore moins se qui me concerne. Furieuse, je lui répondit: - Tu dis que les anglais sont des dégénéré? Regarde plutôt ta nation de peureux qui sait seulement se cacher. Contente de se que je venais de dire, un sourire apparu sur mon visage et j'attendais voir sii il allait rappliquer.
Lulu
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24/03/2007
Posté le 11/08/2008 à 00:08:07 

"La France est une nation de peureux ? Une nation de fiers guerriers, tu veux sûrement dire !" Voyant que l'anglaise allait à nouveau répondre, Lulu fondit sur elle pour l'empêcher de le faire. En peu de temps, il était quasiment collé à elle et lui enfonçait le poignard dans le ventre tandis qu'avec son autre main, il lui tenait le dos pour l'empêcher de reculer.
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26/06/2007
Posté le 11/08/2008 à 00:12:18 

Je cracha un peu de sang, mais je ne lâcha aucun cri. Lulu vit avec étonnement un sourire naître sur ma bouche et fut encore plus surpris lorsque je répondit : -Alors finalement tu l'as fait…Mais tu n'oseras jamais le refaire une seconde fois. Rien que de me voir perdre mon sang doit t'effrayer !
Lulu
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24/03/2007
Posté le 11/08/2008 à 00:14:20 

"J'ai tellement vu de sang couler que d'en voir maintenant ne me fait ni chaud ni froid mais si tu veux un nouveau coup de poignard, ce sera avec joie que je te donnerai ce plaisir." Cette fois-ci, il se colla entièrement à sa victime et, faisant un mouvement circulaire avec sa lame, il lui planta dans le dos. On aurait pu croire qu'il l'enlaçait s'il n'y avait pas cette blessure qu'il venait de faire.
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26/06/2007
Posté le 11/08/2008 à 00:21:25 

Sur le coup du poignard, je tomba à 4 pattes à terre. Une fois de plus, aucun cri ne sortie. D'un air furieux je lui dit: -Si je meurs de tes mains de chiens galeux, je ferais le maximum pour te pourrir la vie de l'au-delàs et ce, jusqu'à la fin de ta propre mort. Je te suivrais où tu iras pour te faire soufrir jusqu'à la fin de ta vie misérable.
Lulu
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24/03/2007
Posté le 11/08/2008 à 00:28:35 

Ce fut à son tour d'être surprise lorsque le français répondit : "Mourir ? Peut-être tu tuerai-je mais pour le moment, nous allons un peu nous amuser, toi et moi." Ses yeux s'agrandirent de surprise et le sourire de défi qu'elle avait gardé jusqu'ici s'effaça pour laisser place à de la crainte. Lulu sut tout de suite qu'elle avait compris et reprit : "Oui, c'est bien ce que tu pense. Cela fait longtemps que je n'ai pas pris mon pied avec une jolie demoiselle, et ça tombe bien puisque tu es bien mignonne."
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26/06/2007
Posté le 11/08/2008 à 00:32:54 

D'étrange image passa dans ma tête, mais elle passa trops vite pour que je puisse les voir. Soudain, je compris se que voulais dire le français et dit: - Tu ne comptes pas vraiment le faire, espèce d'odieux personnage. Violer une pauvre femme sans défense comme moi ?
Lulu
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Posté le 11/08/2008 à 00:36:50 

Lulu se mit à rire d'un rire presque sadique puis répondit : "Ah ah ah ! Ne crois-tu pas que c'est plus simple de le faire à une femme sans défense plutôt que de risquer sa virilité ? En tout cas, comme tu l'as dis toi-même, tu es sans défense alors je te conseille de ne pas te débattre."
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26/06/2007
Posté le 11/08/2008 à 00:43:49 

D'étrange souvenir me revie à me mémoire. C'étais celui de Dudu lors qu'elle se fesait aggresser par les pirates avant sa mort. C'est alors que je comprit que je vivais la même mort que Dudu à l'exception que c'était des pirates et qu'il était beaucoups plus nombreux. Je sentie la rage monté en moi, mais des larmes coula en pensa à se que Dudu avait endurer. Je tentais de reculer comme elle le pouvait tout en disant: -Si tu penses que je vais me laisser me faire enculer par toi, tu rêves en couleur mon gaillard. Je ne suis pas une chienne comme toi et je ne veux pas vivre la même mort comme une très bonne amie à moi.
Lulu
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Posté le 11/08/2008 à 01:01:02 

Il ne savait pas ce à quoi elle pouvait penser mais il avait clairement vu son regard changer puis des larmes se mirent à couler de ses yeux. Loin de le toucher, Lulu répliqua d'un ton ironique : "Enculer ? Quel terme grossier ! Mais en l'occurrence c'est vrai que tu l'as dans le cul en ce moment !" Tout fier de son jeu de mots, Lulu empêcha l'anglaise de s'échapper en lui attrapant la cheville puis il remonta presque en rampant tout le long de son corps pour enfin tenir ses poignets.
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26/06/2007
Posté le 11/08/2008 à 01:05:28 

J'essayait à nouveau de me débattre tout en lâchant un: -Je préfère mourir que de me faire enculer par un putain de français. Mais la prise du français en question était bien trop puissante pour que je puisse s'échapper. Il commença à me lècher le cou lorsque je lui donna un sévère coup de tête.
Lulu
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Posté le 11/08/2008 à 01:10:33 

Il fut surpris mais ne sentit pas grand-chose à cause des blessures qu'elle avait déjà et qui la vidait de ses forces. Néanmoins, cela le contraria et il lui mit à son tour un coup de boule en s'exclamant : "Espèce de chienne !" L'anglaise fut beaucoup plus sonnée que le français, qui en profita pour commencer à lui arracher ses vêtements.
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26/06/2007
Posté le 11/08/2008 à 01:13:29 

Pourtant je me remis vite de ce coup, bien trop vite d'ailleurs pour le français lorsque j'ai eu à nouveau la force de lui mettre un bon coup de pied dans ses parties génitales. Je lâcha alors d'un ton moqueur : -Je crois qu'avec ça, tu ne voudras plus faire l'amour avec aucun fille.
Lulu
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Posté le 11/08/2008 à 01:17:52 

Se roulant à terre tout en se massant les parties génitales endolories pendant une bonne minute, Lulu constata que l'anglaise ne parvenait pas à fuir, sûrement trop blessée pour cela. Il finit par se relever, l'air enragé et plaqua brutalement Amélia au sol, l'empêchant de faire le moindre mouvement et il lui répondit : "Tu crois ça ? Je peux te garantir que tu vas crier de plaisir !" A peine avait-il fini de dire cela qu'il termina de lui arracher ses vêtements, avec les dents cette fois-ci. Il commença alors à lui lécher les seins puis baissa son pantalon pour laisser sortir son engin. Bien qu'elle fût surprise, Amélia finit par prendre du plaisir à ce que le français lui faisait bien qu'elle le cachât. Lorsque Lulu baissa son pantalon, elle se mit à rire puis répondit : "Je ne vois pas comment je pourrais avoir du plaisir avec cette minuscule chose." De la provocation, toujours de la provocation. Pourtant Lulu sentait bien qu'elle n'essayait plus de se débattre. Il s'autorisa alors à relâcher un peu sa prise sur ses poignets et avec sa main droite, il dirigea son pénis pour pénétrer l'anglaise tout en lui disant : "Bien que tu le trouves petit, tu vas pouvoir prendre ton pied."
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Posté le 11/08/2008 à 01:31:52 

D'un air moquer je lui dit: - Je ne vois pas comment je pourrais prendre mon pied si je ne ressens rien. Je disais cela, mais pourtant je pensais tout autrement. Je me mis même à rougir, mais j'essayais de pas lui montrer cette faiblesse. -Pourquoi est-ce que je prend plaisir à se qui me pénètre?, me dis-je. Pourquoi est-ce que je n'ai plus la force de me défendre ? C'est alors qu'il se mit à faire des mouvements de va et vient avec le bassin tout en lui demandant si elle ne ressentait toujours rien et recommença à lui lécher les seins pour qu'elle aille plus de plaisir. Bien qu'une étrange sensation m'envahissais, je continuait toujours à cacher mon plaisir et continua dans ses provocations : -Non, je ne ressens toujours rien. Je te l'ai dis, je ne ressentirai jamais rien avec ton minuscule jouet. Cependant, le français sentit que j'étais sur le point de craquer. Il lâcha alors complètement mes poignets et m'attrapa à la taille en allant de plus en plus vite dans les mouvements de bassin. Comme il l'avait pensé, je ne pouvait résister plus longtemps et je me laissa enfin aller, ce qui ne fit que redoubler les ardeurs du français. Je lâcha alors un cri de plaisir lorsque le français lâcha sa semence à l'intérieur de mon corps. Heureusement personne ne se trouvait dans les alentours pour l'entendre. Je le sentis bien que le français l'avait fait à l'intérieur en sentant une chaleur que je n'avait pas l'habitude de sentir au niveau du bassin. Je m'exclama : -Comment oses-tu ? Je pris les dernière force qui me restais et gifla le français. La marque de ma main apparu sur le visage du français qui était devenu rouge.
Lulu
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24/03/2007
Posté le 11/08/2008 à 01:34:16 

Celui-ci fut totalement pris au dépourvu, l'anglaise étant normalement la proie et le français le chasseur.Celui-ci se retint de lui rendre la pareille et lui répliqua en souriant : "Eh bien ma belle, tu vas pas te plaindre. P't-être bien que t'auras un gosse de moi, ça fera peut-être un guerrier anglais potable et au moins…" Il ne put terminer sa phrase car un horrible mal de tête le prit. La douleur passa au bout de quelques instants et il lâcha seulement : "L'enfoiré, il veut ressortir…" Alors qu'Amélia voulait le questionner sur le sens de cette phrase, il se mit à parler tout seul : "Hey, mais qu'est-ce que je raconte moi ? Je ne dois pas oublier ce que j'étais sensé faire. Manquerait plus que je devienne sympathique aux yeux de quelqu'un…" Il se tourna enfin vers l'anglaise avec le même air menaçant qu'à son arrivée sur la plage. Celle-ci n'eut même pas le temps de réagir que Lulu avait sorti son sabre et lui avait tranché nettement le bras droit. Elle regarda avec effroi son membre qui venait de tomber et le sang gicler en grande quantité pendant que Lulu prépara une nouvelle attaque horizontale destinée à lui trancher la tête. Heureusement pour Amélia, le sabre s'arrêta net alors qu'il n'avait entamé que quelques millimètres de chair. La cause de cet arrêt était la reprise du mal de tête, avec une douleur encore plus forte. Lulu se tenait maintenant la tête à deux mains et titubait en reculant. Sous le regard à la fois apeuré, affolé, et perplexe de l'anglaise, il finit par tomber dans les tonneaux situés derrière lui et commença à pousser des cris de douleur. Ces cris n'avaient vraiment plus rien d'humains. Enfin, ils cessèrent après plusieurs secondes. Lulu se hissa difficilement sur les coudes, surgissant d'entre les tonneaux, et regarda autour de lui avec le regard de celui qui découvre le paysage qui l'environne.
Amélia Johnson, morte dans la solitude
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26/06/2007
Posté le 11/08/2008 à 01:57:24 

Je le regardai d'un air bizarre. Mais qu'est-ce qui c'est passée? Je ne comprenais plus rien. Je ramassa ma chemise qui était non loin de là et j'essaya d'arrêtée le sang avec sur mon bras santionner. J'essayais de ne pas pleurer à cause de la douleur qui envahissait tout mon corp. Je me retourna vers le français et lui dit dun air menaçant; -Qu'est-ce qui se passe? Tu ne voulais pas me tuer il y a 5 minutes? Est-ce que tu es devenu trops lâche pour finir le sale boulot? Je sentie que je l'avais énerver une fois de plus. Je fis un sourire en coin en attendant sa réponse.
Van Pauletanaldo
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30/05/2006
Posté le 11/08/2008 à 14:43:15 

Mon périple de ministre du commerce me menait en visite chez Cork le contrebandier afin d'y faire un stock de potions d'oubli et de potions d'amnésie. Malheureusement éreinté, je devais m'arrêter pour la nuit sur le pont à l'entrée de l'antichambre du crâne. Après avoir installé ma tente, donné de quoi manger et boire à mon fidèle mulet, je remarqua juste à côté une jeune femme qui me semblait en bien piteux état. Ne pouvant la soigner, étant donné mon serment de ministre, je décidais de lui offrir un bouquet de roses provenant du terrifiant temple Maya. Je lui laissais par la même occasion un petit mot signé. Il était temps d'aller dormir, le lendemain allait encore être une dure journée. ***** Le lendemain, un pigeon voyageur m'apportait une lettre portant une écriture très soigneuse signée d'une certaine Amélia Johnson qui me remerciait pour le bouquet de roses. La jeune femme que j'avais trouvé très belle malgré ses blessures et sa fatigue me remerciait chaleureusement de mon geste. Elle semblait particulièrement affectée par sa vie et sa tristesse illuminée par un simple geste d'amitié me donnait envie de mieux la connaître. Ainsi le pigeon voyageur eut de nombreux aller retour à faire et le voyage devint fort agréable pour ma part. Ayant chacun des tâches à effectuer nous nous sommes alors donner l'espoir de se retrouver d'ici quelques temps autour d'un verre pour en apprendre un peu plus l'un sur l'autre.
John Daemon
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13/11/2006
Posté le 13/08/2008 à 03:57:22 

Alors qu'il était en train de s'activer autour du palais en ruine, John reçu une lettre d'Amélia. Dans cette missive, elle lui exprimait son souhait de vouloir participer à la reconstruction, mais lui signifiait aussi que son état actuel ne lui permettrait pas. John s'en sentit quelque peu troublé, mais n'y prêtât pas plus attention. Il avait un palais à reconstruire ! Il envoya donc un message poli dans lequel il s'inquiétait de l'état de la jeune demoiselle. Suite à cette lettre, il reçu une deuxième missive qui l'alarma beaucoup plus. Dans celle ci, Amélia disait ne pas pouvoir réchapper de ses blessures... Il sentit donc en lui une gène de lui avoir envoyé ce premier message à la va vite et en renvoya un deuxième beaucoup plus chaleureux. Il connaissait bien évidemment, la mauvaise réputation d'Amélia, même parmi ses compatriotes. Mais il ne pouvait en tant que gouverneur, juger différemment ses citoyens selon ce genre de critères plus que relatifs. Il se promit donc de ne jamais oublier cette corsaire. Quoi qu'elle ait pu faire, elle resterait toujours à ses yeux, une fière citoyenne de New Kingston.
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