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Plus le temps passe, plus mon coeur s'emballe.  
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Posté le 07/09/2007 à 20:03:47 

Le visage face au vent je m'en allais vers le phare. Rien ne m'y attendait mais je me sentais comme attirer par ce lieu. J'avais souvent entendu parler de ce phare et ce que j'avais entendu sur ce lieu m'avais donné envie d'aller le voir. On m'avait dit que la nature et le bâtiment ne faisaient qu'un. Plus les jours passent, plus mon cœur s'emballe. Sur ma route j'ai entendu des rumeurs venant du manoir, les pirates aurait amené une des leurs pour qu'elle s'entraine sur tout les jeunes espagnoles et anglais, aucun de ceux qui étaient arrivés en même temps que moi sur l’île n'avez réussi à la battre cela serait un défis à relever si un jour j'en ai l'occasion. Son nom était Anne Providence. J'arrive au phare et mon cœur est remplit d'allégresse, le lieu et comme on me l’avait décrit, il avait l'air de l'extérieur aussi basique qu'un autre phare mais à l'intérieur au première étage la nature se confondait dans les murs ou sortait du sol. La bibliothèque était grande et plutôt en bonne état vu comment cet étage était humide, le bois de l’armoirie n’était pas pourri par l’humidité. Le sol était un peu glissant à cause de la mousse qui était sur les dalles. Plus les jours passent, plus mon cœur s’emballe. J’apprends que la pirate du nom de Anne Providence allait arrivait le lendemain au phare. Je finissais d’explorer se bâtiment qui me donnais une étrange sensation de bien être, « Un lieu reposant se phare… » me dis-je. Le jour j est arrivé, Anne tue beaucoup de mes compatriotes dès son arrivé je lui envoie une lettre de défi, je lui propose un duel. Je reçois sa réponse, elle accepte. Plus les heures passent, plus mon cœur s’emballe. Le duel va commencer. Je m’inclinais devant elle comme le voulait la coutume dans les duels, ensuite le combat commença. Elle me lança un regard de travers qui en disait long, elle pensait me battre en moins de deux. Je pris mon air détendu bien qu’en faite j’étais on ne peut plus crisper. Je commençais à attaquer. Je ne fis que des attaques dans le vide jusqu’à ce qu’elle relâche son attention me prenant pour trop faible pour se battre sérieusement. Le combat se poursuivit je lui fis quelques entailles autant qu’elle ne m’en fit. A chaque coup réussi une insulte sortait de ma bouche pour me motiver autant que pour lui dire mon opinion sur sa façon de croire le combat finis. J’étais à bout de force, je me dis : « Celle ci est ma dernière attaque après je suis finis ». Je poussais un cri de rage et de désespoir et fondis sur elle. Elle reçu une sévère entaille. Je lui dis : -« Touché mécréante » mais au moment où je finis ma phrase, je reçu sa lame dans le ventre puis tombais à terre épuisé. -« Vous êtes fort » Je répondis tout bas à cause de l’agonie que je supportais -«Certes mais pas assez, je ne fais que débuter dans l’art du combat - Entrainez-vous encore. »Semble vaciller un peu, puis se reprend. - « Reposez-vous pour être prêt face à messire Lucifer je vous soignerais bien mais je ne peux même pas me soignais moi-même pour le moment » d’un ton baissant de plus en plus, je me sentais partir. –« Je suis fière d’avoir croisé le fer avec vous, c’est mon premier duel sur cette île.»dit-elle mais je l’entendais de moins en moins. -« Moi aussi »dis-je avec mes dernière force puis je sombrais dans inconscience et à mon réveil me retrouvais à l’infirmerie du phare. Je me lève du lit et m’étirais. J’ai quelques courbatures. Cela me dit bien que j’étais tendu lors du duel. J’étais à deux doigts de la battre pas de chance…
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Posté le 12/09/2007 à 13:59:56 

Me remettant de mes blessures je me décidais de partir du phare pour aller vers la ville d’Unlungen. La route fut calme et pas une goûte de pluie durant le trajet. Regardant la mer tout en marchant, en contemplant les vagues. Mon cœur s’emplissait de joie face à ce merveilleux spectacle que la nature nous offrait. Je sentais l’écume, je sentais le vent sur mon visage et croisais nombre d’hollandais sur le trajet. Je croisais une jeune fille auquel j’offris trois bandage, je ne pense pas qu’elle puisse comprendre pourquoi mais cela faisait en faite trois jours que j’avais fait ce duel avec Anne. Je me sentais si vide, si triste de ne pas lui avoir reproposé un duel. La marche fût longue et mon cœur remplie de mélancolie. J’arrivais enfin à Unlungen au bout de 3 jours de marche. J’y croisais Van Pauletado, nous avons fait quelques affaires, fort bonne d’ailleurs. Je recommençais à m’entrainer pour pouvoir reproposé un jour à Anne un nouveau duel, mais ce jour n’arrivera pas avant que je sois meilleur qu’en ce jour. Il me faut servir ma patrie pour lui montrer que je lui étais loyale et pour cela il faut que je joue un rôle qui puisse être important pour elle, je me proposais en tant que juge, j’envoyais une lettre au Gouverneur Wildekat et j’attendis la réponse. Cette réponse qui ferais que je me fasse peut-être un nom dans ma patrie ou alors que je resterais inconnu toute ma vie… Après avoir envoyé ma lettre je vis une jeune demoiselle fort belle lui offrit une rose et mes compliment. Je lui dis : «Tenez, une fleur pour une belle demoiselle, bien que cette rose soit bien pâle face à votre beauté, je vous l’offre.» la demoiselle rougis et répondit « Merci……heu…… » Se reprend. « Merci moussaillon ! Le sentimentalisme est un de mes points faibles. » elle soupir, puis je lui réponds : « Les sentiments peuvent être une arme si on sait les utilisaient. Je suis comme vous et je laisse mes sentiments sortir telle qu’ils sont, si je n’aime point quelqu’un je lui dis et pareil si je ne l’aime pas. Les sentiments peuvent être utiles lors d’un combat, ils vous font oublier la douleur. ». Puis sur cette réplique je la laissé réfléchir au choix qu’elle devait faire, essayer de retenir ces sentiments ou alors les utilisaient. Le jour suivant je reçu la réponse du gouverneur. Mon cœur battit plus fort et plus vite que jamais, cette réponse je ne l’attendais pas aussi vite…J’ouvris la lettre et lut : « Contact de : Wildekat Sujet : Message : Bonsoir Silk, Pour le poste de Juge, Michiel s'en chargera. Je crois qu'il vaut mieux une personne avec un peu d'expérience en tant que Procureur pour bien connaitre les rouages (j'ai commencé par exemple par 4 mois de poste de Procureur avant d'être Juge, car il y a de nombreux cas particuliers que l'on apprend à reconnaitre dans le temps.) Si la Justice vous intéresse, je vous invite à contacter Michiel pour lui demander de l'aider dans le poste de Procureur! C'est un bon début pour se familiariser avec les lois. Wildekat. » Je fis donc ce que le gouverneur m’avait conseillé, envoyer une lettre à Michiel pour tenter de devenir procureur, même si je n’étais pas juge, j’avais toujours une chance de pouvoir aider mon gouvernement et ressortir un peu du lot. Dans l’attente de cette réponse, plus le temps passait, plus mon cœur s’emballait… [HRP: j'ai légèrement modifié ce que j'ai dis lors de la rencontre avec la demoiselle ^^]
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 15/09/2007 à 23:58:56 

Je quittais Esperanza de façon musclée. Les massacres nocturnes dans cette ville comme à Port Louis devaient rappeler aux corsaires qu’ils n’avaient pas à se considérer chez eux sur cette île. Je préparais mon expédition vers New Kingston. Les duels me manquaient un peu. Les jeunes Anglais avait été contactés. Je revoyais le premier avec un Hollandais, Silk qui avait eu le courage de me défier. Un beau combat, un courageux garçon Il m’avait soigné, puis le combat avait débuté. Il avait porté ses coups m’insultant pour se donner du courage. Je revoyais le moment où nos deux visages avaient été si proches, seulement séparés par nos lames. Nos souffles se confondant. Une fulgurante envie de l’embrasser m’avait saisi. Est-ce à se moment là qu’il avait gagné du terrain sur le combat ? J’avais eu du mal à me ressaisir. Plus le temps passe et moins je l’oublie. Cette île est petite nous sommes appelés à nous revoir c’est inévitable. La providence nous mettra bien face à face….
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Posté le 22/09/2007 à 13:11:43 

Je marche durant plusieurs jours sans but réel, j’avance un pas après l’autre, Unlungen est à quelque heures de marche. Je regarde ces arbres qui sont là depuis bien plus longtemps que moi et me demande : « Ils doivent un peu s’emmerder depuis le temps qui sont ici eux… Déjà moi je commence à m’ennuyer parce que je ne fais que marcher mais eux, ils ne peuvent rien faire de leur journées en dehors d’attendre ! Je déteste passer le temps à ne rien faire! » Je commençais plus que divaguer, un peu plus et j’allais parler à des arbres… Long est le temps quand nous attendons quelque chose, c’est un fait que j’ai remarqué depuis longtemps. On a l’impression qu’une seconde équivaut en faite à 10 minutes. On regarde ce qui se passe autour de nous, nous attachons à des petits détails sans importance. Chaque chose nous parait digne de la plus grande attention et cela… « AAIIIIEEEUUUUUUUHHHHH !»un perroquet m’étais rentré dans le derrière avec un message attaché à sa patte, je le ramassais et tentais de prendre le message mais il se débat dans tous les sens je ne vois plus rien à part de plumes volant dans tous les sens, il me mordiller dès que j’essayais de prendre le message. Je me décidais donc à lui donner une récompense et lui fis don de ma bouteille de champagne que j’avais conservé pour un évènement au cas où et lui fracasser celle-ci sur le crâne puis pris le message. Au moment d’ouvrir la lettre les secondes qui allaient suivre aller me dire si oui ou non j’étais procureur, plus les secondes passer, plus mon cœur s’emballait. J’étais accepté comme procureur. Ma joie avait atteint des sommets lorsque je lu cette réponse. Si l’on me demande aujourd’hui si je suis fière d’avoir se poste ? Je réponds : oui, pourquoi ? Car je me sens utile. Ma première affaire a-t-elle étais une réussite ? Bien sûre que non, c’est moi qui étais l’accusé et en ça s’occuper d’une affaire dont je suis la cause et fort gênant, mais elle s’est bien passé tout de même. Deuxième affaire, agression d’un espagnole, j’envoie une lettre à l’homme pour des explications, au bout de 5 jours pas de réponse. Et ben on lui met un contrat nation. Sinon je me ballade sans réel but. Je me suis mis à aider des français en accomplissant des taches pour eux, simple mais longues. Mais avant cela je suis parti dans ce bar réputé, le « El Dante » où j’ai connu le petit couple Matt et Jade, j’aime beaucoup les taquinés, ils sont importants pour moi, c’est comme si j’avais un nouveau frère et une nouvelle sœur...Henry et Erika…il me manquait tout les deux, Erika sûrement morte par la balle dont j’ai tiré dont le but étais mon père, et si cela ne l’avais pas tué il y avait l’incendie, elle était celle auquel je tenais le plus dans cette famille; quand à Henry depuis ce jour je ne l’ai pas revus, je ne sais pas si il est vivant, quand je repense à mon frère et ma sœur, mon cœur se remplit de mélancolie et je verse toujours une larme, cela m’empêche d’oublier mon passé. J’ai rencontré Noudwi aussi dans ce bar, par moment il me rappelle Peter que je n’ai pas vu depuis trop longtemps, nos nations respective nous en empêche.
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Posté le 03/10/2007 à 19:54:51 

Affaiblie par les combats pour survivre dans une jungle endiablée, des pillards m’attaquaient sans relâche, je résistais tant bien que mal aux attaques, plus ils arrivaient plus mon cœur s’emballé. Plus j’en tuais plus ils arrivaient. Jusqu’à ce que je reçois tout d’un coup une entaille, à la jambe, une à l’épaule et une au visage. Allongé dans mon propre sang je ne voyais plus que flou. Je distinguais à peine les hommes qui m’entouraient et qui continuer de s’acharner sur moi. Je sentais toute les lames se frayant un chemin en traversant mon corps … Se réveil en sursaut « Se rêve avait l’air si réel…Chaque coup, chaque sensation… » Nous sommes le 23 Septembre de l’année 17** : Mon crâne est sur le point d’exploser, j’ai bu trop d’eau de feu. C’est ma première véritable soirée à la taverne à me saouler seul. « A cette migraine! », j’avais l’impression que l’on me fouillé le crâne lentement avec une cuillère pour trouver quelque chose. Je continue mon entrainement mais avant j’essaie la méthode d’un ancien ami pour passer se mal de crâne : Boire une bouteille de rhum. Je reprends mon entrainement, je revois chaque mouvement et essaie de m’appliquer au possible pour que les mouvements deviennent des gestes habituels pour que ça soit plus facile en combat. Je fais une pose un peu et m’approche d’une flaque d’eau et m’applique légèrement de l’eau sur le front pour me rafraichir un peu. Mes cheveux m’arrivent aux épaules maintenant. Ils ne me gênent pas trop durant mon entrainement mais il faudra que je pense à les raccourcir pour qu’ils ne m’empêchent pas de voir non plus, mais le moment n’est pas arrivé. Je croisais après m’être un peu rafraichit un français dans un mauvaise état, je m’approchais de lui et m’occuper de ces blessures, ils étaient salement amoché et était endormi pendant que je m’occupais de ces plaies, au moment de désinfecter se fut plus délicat de ne point le réveiller, quand je versais le rhum sur sa plaie il se réveilla en sursaut et hurlant de douleur. Je finis de lui mettre les bandages puis lui conseilla de ne pas trop faire de mouvement brusque pour éviter de rouvrir les plaies. 24 Septembre : Sinon dans la suite de ma journée je croisais Katleen Van Meulebroek den Hoof et fis affaire avec elle, ensuite je fis affaire avec Lucifer, j’avais besoin de remplacer mon vieux tromblon qui commencer à être trop rouillé… Plus tard après avoir étalé un pillard qui m’avait fait quelques égratignures, j’ai croisé Lem Topar, il me bandait mes plaies puis je lui demandais si ils avaient des choses à vendre, il me répondit que oui il avait des roses, je lui demandais les prix et fût sur le cul une fois entendu : 36270po (me souviens plus exactement mais c’est dans ces environs là) la rose. Je lui dis : « Un peu chère pour de simple rose cher ami ^^ » Il me répondit cette phrase qui me marquai à jamais et auquel je n’avais pas pensé : « Oui, mais c’est le principe qui est chère, l’amour, la mort, l’amitié, l’estime, la trahison… » Puis ensuite il me donna une rose bleu, encore une aujourd’hui dis donc, il me dit sa signification : « Rose bleu, c’est l’amitié. » Je lui dis : « Connaissant le prix de vos roses, je considère cela comme un honneur d’en recevoir une. » Il me sourit puis me dit « C’est pour cela que tu ne dois pas donner ces roses à la légères. »Et parti, mon regard poser sur lui. Je m’entraine toujours, je suis à un stade plus élevé de jours en jours dans mon entrainement, aussi minime que cela soit, je m’améliore. Mais la chasse fait aussi parti de mon entrainement. La survie dans un endroit hostile et le principale entrainement de tout corsaire quand ils cherchent un navire, en allant de ville en ville, sur lequel ils peuvent devenir matelot avant d’avoir un jour leurs propres navire. Après cette journée à chercher à manger pour les 3 jours suivant, viandes et fruits, je fis une pose et me mis sur une branche d’un chêne pour éviter d’être sur le chemin d’un être sanguinaire qui aurait envie de me massacrer pendant que je dormirais. J’essayais de trouver où mettre la nourriture et surtout comment monter une carcasse de sanglier à un arbre? En fin de compte je pris seulement ce qui m’intéresser sur le sanglier puis après l’avoir dépecé j’empaqueter ce que j’avais, et me nettoyais les bras plein de sang dans une flaque d’eau. Puis fis ma sieste. A mon réveil je vis un petit bout de parchemin avec écrit dessus : Bonjour cher Procureur…joli travail! Continues! Signé Wildekat. sourit Une étrange rose bleu était posée à côté de son message, je la pris et la mis dans une de mes poches, elle me piquerait mais ça ira le temps que je puisse trouver un meilleur endroit, car maintenant que je connaissais mieux les significations de ces roses j’y tenais. Sinon mes premières affaires à la cour c’était passé sans trop de problème. Je lui avais demandé conseil sur certains points qui m’étaient obscur. 29 Septembre : Ce jours-ci marquait le début d’une longue affaire à la justice que je ne suis pas prêt d’oublier, « l’affaire Gaël vs Cacahuète ». 2 jours pour avoir enfin une réponse de notre justice sinon cela c’est enchainé sur des enchainements d’argument et contre-argument de la part de l’ancien gouverneur Gaël, le gouverneur Wildekat, Michiel et moi et d’autre personne qui me tapaient sur les nerfs car ils se permettaient de me juger alors qu’ils n’avaient absolument rien à faire dans cette cour, et plus le temps passait et plus mon coeur s'emballait. A la fin de cette journée je m’étais posé puis avait fini la soirée avec une bouteille de rhum comme seul compagnie.
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Posté le 06/10/2007 à 17:35:34 

3 Octobre : Mon entrainement se poursuit dans la forêt, chaque mouvement et entrer dans mon esprit, chaque mouvement est retenu, je continue à gagner en musculation, mon cœur se calme quand je commence à me battre et ne part pas au quart de tours dès qu’un combat commence. Le temps passe, le soleil n’est pas complètement levé, les rayons du soleil passe à travers les arbres. http://img239.imageshack.us/img239/2451/finl1808bm7.jpg Une brise matinale se lève et j’entends de personne se battre. Un homme d’après la tonalité de sa voix, et une femme car à entendre cela est plus agréable à entendre qu’un homme. Je m’approche des voix que j’entends. Je vois l’homme allongé sur le sol et du sang coulant sur ses lèvres et au niveau de la poitrine, je le reconnais je l’ai déjà vu à Unlungen, et la femme debout sans une seule égratignure. Je m’approche d’elle, je la reconnais, c’est la description de la femme tuant de jeunes arrivant que j’avais entendu. Je fondis sur elle et quand elle se retourna je sentis qu’elle n’avait pas bu que de l’eau récemment, un peu déconcerté par cela. J’essayé de l’attaquer sans réussite et elle ne me loupé point. Comme lors du combat avec Anne après quelques attaquent auquel je me pris plus que j’en avais donné, je sentis comme une poussé d’adrénaline et fondis sur elle encore mais avec une simple envie qui étais de la massacrer et non de venger l’homme qu’elle avait mis KO. Elle reçu une entaille assez sévère puis une autre encore, elle tenait à peine sur ces jambes après ces coup-ci. Elle fondit sur moi avec l’énergie du désespoir et j’esquivais sans mal, elle n’était plus du tout concentrée, je n’avais pas réussi à la touché cette foi-ci non plus mais elle se prit tout de même le coup qui lui fût fatale ensuite. Je regardais Cunégonde allongé sur le sol et je perdis l’équilibre tout d’un coup. L’excitation que j’avais lors du combat était parti et maintenant je ressentais la douleur des blessures qu’elle m’avait affligé. Je dis tout bas : « Sale catin » Et je perdis connaissances. A mon réveil je vis Bascréan puis Neoh van Angtig s’occuper de moi, je repartis en les remerciant tout deux de c’être occupé de moi. 4 et 5 Octobre : Je me remettais de mes blessures doucement mais je n’arrêtais pas de bouger et donc mon rétablissement prenait plus de temps que prévu. Et c’est alors qu’une jeune femme me voyant boité à cause de ces blessures vint vers moi. Elle me prit par l’épaule et m’aida à m’asseoir et s’occupa de vérifier mes blessures, elle remplaça les bandages me regardant d’un œil noir montrant que celui qui avait ces blessures ne faisait pas attention à lui et se ré ouvrait les plaies. Quand je la vis je me dis c'est la plus belle doctoresse que j'avais jamais vu. Plus je la regardais plus mon coeur s'emballait. Durant ces deux jours à chaque fois qu’elle me voyait elle refaisait les soins car je n’y faisais jamais attention. Le soir du deuxième jour, je vis là où cette femme se posait, elle dormait au moment j’arrivais, je marchais doucement vers elle et y déposa une rose dite « de l’estime » (depuis la rencontre avec Lem Topar j’avais appris les significations des différentes roses), j’y déposé aussi trois bandage pour lui rembourser les siens, car cela ne devait pas être facile d’en avoir en pleine forêt. Puis repartis ensuite sans bruit et m’en aller en direction de Port Louis où une affaire m’y attendais.
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Posté le 10/10/2007 à 21:50:17 

8 Octobre : Je marche vers PL, toujours avec mon idée de trouver différent pas que j’appelais « pas de dance » en parlant de mouvement pour l’escrime. Je marchais tout en essayant d'avoir une idée de "pas de dance" originale jusqu’à arriver à PL , aussi étrange que cela pouvais paraître j’y allais pour rencontrer un hollandais : Van Pauletado. Une fois entré dans la ville je me mettais à l’endroit que je considérais comme la place des marchands. Cette place était assez sympathique, différentes ruelle amener à cette place mais aussi le chemin principal. Tous les chemins amenaient ici. A ce moment là j’étais pensif tout en regardant chaque chose avec précision, c’est une manie chez moi de toujours regarder chaque chose avec une attention plus grande que nécessaire mais pour ensuite vite oublier. Un homme passe me regarde vite fait et me donne un bandage et une bouteille de champagne, je ne comprends pas trop pourquoi jusqu’à ce que je reconnaisse la personne. Mon cœur s’emballait quand je le reconnu : C’était Ammokk, il était connu pour sa loyauté envers sa nation, sa gentillesse envers les plus jeunes mais surtout parce qu’il avait été marié à Dudu. Je le regardais longuement puis le remercia pour ces présents. Enfin après cette rencontre fort agréable je vis celui que j’attendais : Van Pauletado. Notre affaire allez pouvoir ce faire. Il m’avait parlé d’une étrange amulette qui apparemment aurait un côté un petit peu magique, il m’expliqua que personne comprenait comment ça marchait mais que quand l’on portait cette amulette, notre arme paraissait plus légère et donc plus facile à manier ainsi que d’avoir une impression que notre force se décuplait. Je la testais et l’a mis autour de mon cou et ne sentit aucune différence au premiers abord. Alors Van me conseilla de faire quelque mouvement que j’avais l’habitude de faire pour m’entrainer. Et j’eu l’impression étrange qu’il m’avait décrite. Cette impression de force tout d’un coup. Je lui donnais donc la somme plus l’objet promis en échange de celle-ci et que je lui paierai au fur et à mesure le reste. Je réfléchis longuement sur comment pouvait fonctionnais cette amulette. Après des heures de réflexion je me suis dis que c’étais peut-être le fait de croire en cette amulette qui faisait que cela marche, et que si l’on y croit pas cette effet étrange ne serais pas présent et donc que se serais une amulette ordinaire. Je me suis souvenu d’avoir entendu un mot définissant bien ce que je venais de vivre sur le continent. Cela s’appelait : l’effet « placebo » car cela se passe dans notre tête. Le jour où j’avais entendu cela je m’étais dit cet homme est fou mais maintenant que j’avais vécu ce que l’homme avait décrit, je me suis mis à y croire dur comme fer.
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 18/10/2007 à 21:45:27 

Le 12 octobre L'IERP avait repris, je connaissais bien la zone maintenant poursuivant sans relâche mes allées et venues entre la cabane de l'ermite et le monastère. Quelle ne fut pas ma surprise ce soir là de découvrir un Hollandais de connaissance : Mes lèvres ne purent retenir un sourire carnassier. Silk vous ici, ça alors vous vous êtes perdu, cette zone est sous notre contrôle ! - Un si grand territoire pour des personnes si peu convaincantes. Devant son sourire de défi je perdis le mien. pour prendre un air plus mauvais Et bien, vous faites des progrès, on dirait une réaction digne de votre gouverneur, que faites vous ici ? - Je m'occupe des vermines qui traînent n'en auriez vous pas vu ? - La plaine en est pleine de tout ces maudits corsaires qui ne veulent pas payer l'IERP d'ailleurs, c'est votre cas ! Ca fera 7 bouteilles de rhum ou je vous réexpédie à Ulungen en civière ! - Je parle de vos amis bien sûre - Mes "amis", j'ai fort peu d'amis, des gens pour qui j'ai de l'estime et mes frères. - pour Ulungen, allons donc vous ne feriez pas ça - Tiens donc, vous voulez voir ? - En effet j'aimerai bien cela Déjà il mettais la main sur son empaleuse et je faisais de même. Le temps à passer depuis le phare, vous vous souvenez ? - Oui, de l'eau à couler sous les ponts depuis. - Et le sang aussi a coulé,sur toute l'île ! Le rhum coule moins, c'est fort dommage - Et le votre ne devrait pas tarder si vous ne vous retirez pas gentiment d'ici. Il tentait de prendre un air décidé et mauvais : Tiens donc on fanfaronne ?
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Posté le 18/10/2007 à 22:41:09 

- Tiens donc on fanfaronne ? Elle me regarde d’un air méfiant, que faire? Je ne sais rien de comment elle a pu évoluer, quels sont ses progrès, toujours est-il que moi je pense avoir plutôt bien progressé mais est-ce assez? J’oublis tout ceci et me détends. Je reste toujours un minimum sur mes gardes serrant toujours mon empaleuse dans ma main sans dégainer, quand à elle, elle sort lentement la sienne en me fixant d’un regard noir, tel un aigle près à fondre sur sa proie. Ayant réussi à me détendre je la regarde calmement et le regard rempli d’admiration pendant qu’elle se mettait en position de salut. Elle savait ce qu’elle faisait. Puis soudain pour rompre le silence elle dit : -Et bien? Tout dans le verbe? Rien dans les actes? Croyant qu’elle avait baissé son attention je l’attaque. Je reçois une estafilade au bras pour démentir ce que je venais de croire. Ayant pris trop d’élan je ne pu m’arrêter et reçu une deuxième entaille dans le dos cette fois-ci. Pour éviter de perdre ma répartie je lui dis en signe de mon admiration et de mon manque de réflexion pour mon attaque : -Vous m’avez éraflé je crois. -Deux fois oui. Elle me regarde en passant de sa lame à moi, un mince sourire aux lèvres. Je deviens plus faible qu’avant ou quoi, je n’ai même pas réfléchi j’ai foncé comme un bleu croyant avoir l’avantage de la surprise. Tout bas : -Je suis navrant… Elle m’attaque en faisant un coup d’estoc que j’esquive facilement et je profitais de cette instant pour frapper -Décidemment, c’est toujours pareil avec vous. Vous êtes comme les serpents. - Hum… J’accepte le compliment. dis-je avec un léger sourire aux lèvres. Ensuite plus le combat avançait et plus je recevais de quoi, aussi faible pouvaient-ils paraître le nombre faisait des dégâts important, et elle m’eut à l’usure malgré les quelques coups qu’elle reçu de ma part. Regardant vers le bas et dans un soupir quelques larmes aux yeux l’empaleuse glissant de ma main. Anne étant sur le point de porter un autre coup s’arrêta dans son mouvement et paru étonné, je dis : -Je n’y arrive pas… -Et bien Silk vous rendez les armes? -Je suis faible mais point sot. Je sais très bien que j’ai perdu… Anne baissa son arme mais resta tout de même un peu en arrière hors de ma porté au cas où j’aurai une envie soudaine de l’attaquer. Je la regarde, et admire son honneur, elle me laisse alors qu’elle pourrait m’achevait mais sachant que je m’avoue vaincu elle me laisse la vie sauve. -J’aurai ma revanche un autre jour si vous voulez bien, au vu de mes performances ce soir. -Et bien… Nous verrons. un court silence puis Mais que faisons nous maintenant ?
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 19/10/2007 à 20:33:32 

Je revois la scène du duel au phare, nos visages si proches juste séparés par nos lames. Je me sens rougir en pensant au désir qui m'avait assaillit un court instant ce soir là. Silk s'approche doucement de moi en boitillant légèrement et me regarde droit dans les yeux. Vous retournez à l'assaut ? Je m'apprète à me mettre en garde mais renonce aussitôt je le regarde aussi. Une autre sorte d'assaut je dirais plus tôt. Il en rougit légèrement. Je rattrape de justesse mon empaleuse qui me tombait des mains. Le jeune homme retire son bandeau et le met dans sa sacoche. Etonée je l'interroge : Silk ? Silencieusement il prend l'empaleuse de mes mains, la pose et me regarde. Je le laisse faire. Je réalise à ce moment là : Vous êtes blessé.. - non je vais bien puisque je suis avec vous ... Il met sa main devant sa bouche, réalisant qu'il a dit quelque chose qu'il aurait dû éviter. J'écarte sa main. Il reprend : Mais en effet je suis blessé vous m'avez touchez. Je lui retire sa chemise. Montrez-moi, je ne suis pas medecin mais j'ai un minimum de bon sens. - Et vous n'êtes vous point blessée ? - Pas aussi gravement, j'ai la peau dure ! Il esquisse une caresse sur ma joue. Mais si douce - Votre chemise est fichue. Je la déchire pour en faire de la charpie. Je tente de comprimer les plaies pour limiter le saignement. - Est-ce si grave pour le moment ? Je m'arrête et relève la tête. A vous de me dire.
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Posté le 20/10/2007 à 12:40:38 

A ce moment nos regards se croisaient et je ne pus me retenir de l’embrasser en caressant ses cheveux en même temps, elle me tenait en entourant ses bras autour de mon torse en caressant le dos. Ce baiser avait goût de miel, aussi doux et agréable, et avait un petit goût de rhum aussi. Au moins je savais que ce n’était pas pour soigner qu’ils demandaient l’IERP. Nous avions les yeux fermés durant ce moment si long et intense. A la fin de ce moment si agréable elle se recula légèrement et me fit un petit : -« Et ensuite ? » Je la soulevais du sol, et sentis mes blessures me tirailler. Mais cela n’avait point d’importance. Je l’amenais à l’abri des regards indiscrets. Puis répondis à sa question: -« A nous de voir, nous avons toute la nuit pour y réfléchir. » dis-je tout bas à son oreille. Elle me répondit de suite : -« Je refuse d’y réfléchir toute la nuit. Mais nous avons peut-être la même idée… » Me dit-elle en me faisant un regard qui voulais tout dire et le sourire aux lèvres Puis soudain nous entendions un craquement, je regardais en direction du craquement mais ne vis rien puis je tournais la tête vers Anne, elle semblait avoir vu quelque chose. Elle me regarda puis me dit de rester ici, j’hochais la tête pour lui dire que je comprenais. Je la déposais au sol puis elle parti en direction du bruit d’un pas léger et expert et aussi silencieux que celui d’une féline, empaleuse en main. Je l’entendais s’éloigner. Quelques secondes après j’entendis un cri de surprise, au moins j’étais sûre que ça n’était pas un animal sauvage, puis un combat se déroula hors de ma porté. Je restais là impuissant en attendant qu’elle revienne, le cœur s’emballant de plus en plus en fonction des minutes qui passaient, en attendant qu’elle revienne. Puis soudain plus rien le silence totale, le combat était finit mais je ne savais pas qui avait gagné, je décidais de rester sur mes garde, j’entendis des pas se rapprocher puis vis Anne. Elle était blessée… Je lui dis donc : -« Viens je vais m’occuper de tes blessures. » -« Vous êtes tous pareil… »Je la regardais, un peu perdu, pourquoi me disait-elle cela ? « …les hommes. » -« Les femmes je ne les comprendrais jamais non plus… » -« Tais-toi ! »dit-elle d’une façon qui aurait pu passer pour tendre venant d’elle, puis elle m’embrassa serrant ses bras autour de mon cou comme si rien ne nous avait interrompu il n’y avait même pas quelques minutes de cela. Puis après ce nouveau moment de détente elle me dit : -« Si tu veux je connais une grotte tranquille et loin de tout… »
Anne Providence
Anne Providence
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07/08/2007
Posté le 20/10/2007 à 17:48:07 

Qu'à telle de particulier? - Elle est tranquille, loin de tout et peut être encore aménagée comme il faut, je me le demande... -Alors si tu veux bien m'aider à relever, allons-y J'attrappe sa main et le tire Il me regarde tendrement et se relève difficilement malgré l'aide. Tu penses pouvoir marcher ? - Oui, il faut savoir souffrir pour connaitre le bonheur Il fait quelques pas en boitant et se retourne vers moi : Alors on y va à cette grotte ? - Par ici Nous partons vers le nord, Silk me suit mais difficilement. Après 1/4 d'heure de marche je m'arrete, il est essouflé. On n'y arrivera pas. Enfin, tu n'y arriveras pas. Je lui montre la foret. la montagne est trop loin. Nous sommes encore si loin de cette grotte ? - J'ai mis 4 bonnes heures pour venir en marchant vite. Il grogne de douleur. Alors où pouvons nous aller à l'abris des regards ... - Un bosquet tranquille ? Il me regarde tendrement. Quoi que tu puisses nous proposer se sera toujours plus discret qu'ici. Je le prends par la main et j'avance dans une partie plus touffue. Il ne me lâche pas et me suit. Au bout d'un moment je m'arrête et regarde autour de nous : Ici je pense que se sera bien Il regarde attentivement les alentours pui sourit. Je pense aussi. Reprenons là ou nous avions arrêté. Sourire entendu. Il recommence à m'embrasser en me retirant doucement ma chemise. Doucement il m'entraîne vers le sol tapissé de feuillage. Je prends juste le temps de retirer mon bandeau et de le ranger soigneusement dans ma poche avant de rejoindre Silk. ******************* Je me rhabille. Silk est encore allongé. Drôle de duel n'est ce pas? - Oui en effet. Il a un regard intrigué et se met un peu sur ses gardes. Presque habillée je cherche mon bandeau et le retrouve dans ma poche. Je le défroisse délicatement. Je le regarde un moment et mon visage se durcit. Je le noue sans rien dire sur ma tête, veillant à bien rentrer toutes mes méches de cheveux dessous. Silk est plus tendu, car il devine que quelque chose de mauvais se prépare. D'une voix neutre je lui demande : Silk...... l'IERP ? Tu ne l'as pas payé ? - ... Il reste muet. J'insiste : Tu as le rhum ? Il se prépare à m'affronter comme s'il savait ce qui allait se passer : Non, je n'ai pas de rhum et pas assez de champagne... Je secoue la tête l'air (presque) chagrinée Trésor, j'ignore si nous aurions du régler cela hier, cela nous aurait privé d'une folle nuit mais... - Achève moi qu'on en finisse Il dit cela d'un ton froid me coupant la parole. Je lui sourie, il est couillu le garçon. C'est ce que tu comptes faire alors fais le. -C'est très exactement ce que je vais faire, la confrérie avant tout ! Je sors mon tromblon et vise mon amant de passage. Je tire. Le Hollandais me regarde, prêt au moment de l'attaque, il esquive tant bien que mal ma première balle d'une roulade sur le côté. J'admire sa promptitude, mais je tire une seconde fois sans lui laisser de repis. Il gît inanimé à mes pieds et ne peut entendre mon éclat de rire. Il avait eu le temps d'attraper son empaleuse. Je ne peux m'empêcher de l'admirer encore. Lui laissant toutes ses affaires je le quitte pour rentrer au repaire assez satisfaite de ma nuit. Mes frères vont bien rire quand je leur raconterais cela !
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Posté le 23/10/2007 à 21:45:46 

23 Octobre : Je suis resté 11 jours à l’hôpital, le cœur déchiré par ce jour néfaste, mon coeur s'est emballé un fois de trop. Une balle reçu à l’épaule, une femme aimé de perdu. Ma rage grandissait, elle c’était moquée de moi. Elle paiera cet affront. Mon sang bouillonnait dans mes veines, ma mâchoire ce crispait. Elle avait connu le Silk naïf, elle connaîtra maintenant un nouvelle ennemie. Surveille tes arrières jeune brebis égarée, ne t’éloigne pas trop du troupeau. Ce serait un risque inutile. Je m’entraine au tire dès aujourd’hui et abandonne la voie de l’escrime, car je serais le chasseur et toi la proie. Tu n’auras pas ma pitié et je n’aurais point la tienne. Ma vie sera moins importante que ma patrie et toi tu seras moins que la merde que j’écrase sous ma botte par manque d’attentions tout comme toi tu m’as considéré par rapport à tes frères noirs. Je ne te lâcherais pas tant que ta vie ne sera pas éteinte entre mes mains. La cicatrice laissée par cette balle lâchée sur moi sera le souvenir que je devrais te pourchasser tel un démon, jusqu’à ce que ta vie s’éteigne. Ce sera mon contrat, pour que ma vie puisse recommencer. Je te pourchasserais tant que tu n’auras point lâché ton dernier souffle. Tu es une furie que les autres ne doivent pas connaître pour vivre en paix. Ils ne savent pas forcément à quoi s’attendre face à toi, maintenant que je le sais, je ne ferais plus la même erreur. Cours petite brebis, cours tant que tu le peux car je serais derrière, je surveillerais le moindre de tes gestes. Je me lève et quitte cette hôpital pour t’y amener toi, Anne. Je rajuste mon bandeau puis mets mon chapeau et m’en vais chercher des informations sur toi. Trouver des traces pour parvenir à mon but ultime : te tuer. Car on ne jette pas un homme quand bon nous semble, il faut toujours finir ce que l’on a commencé le savais-tu ? Car il ne faut jamais tourner le dos à une personne que l’on a blessé et laisser croupir le croyant mort, car la vengeance l’apportera toujours à nous.
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Posté le 27/10/2007 à 12:52:21 

27 Octobre : Je continu mon entrainement au tir, tout se passe bien, je m’améliore assez vite mais je ne touche pas encore les points sensibles. Il faut que je me dépêche tout de même pour avoir ma revanche, elle le paiera cher! Après des heures d’entrainement je m’assis un peu pour me reposer et réfléchis à ce qui m’était arrivé ces derniers jours. J’avais voulu aller trop vite, j’avais encore une chose à faire avant d’envoyer ces avis de recherche à chaque ville… J’aurai dû d’abord tenter de la rencontrer quand il n’y avait pas encore ces avis de recherche et lui faire croire une approche pacifique, mais maintenant c’est trop tard. De plus, quelques jours auparavant j’avais reçu des lettres de personnes voulant m’aider dans ma quête suite aux avis de recherches… Il fallait que j’arrive à avoir des informations de leurs parts et ensuite les lâchaient en cour de route, c’est pour cela que je les ai accepté à soi-disant « m’aider »… Comment faire…Je veux faire cela seul, il risque de m’entraver et de m’empêcher de faire ce que je veux. Je vais les laisser dans leurs coins pour le moment. Mon plan risque d'être remplacer vu comment cela se déroule par rapport à ce que je voulais au départ...Rien ne se passe comme je l'aurais souhaité. Pour me débarrasser d’eux il me faut un bon plan, pas un plan fait à la va vite. Il me faut trouver une bonne idée, le prétexte d’aller rejoindre mon filleul pourrait marcher si je lui avais écrit cette lettre car j’aurai su où la retrouver, mais ça aurait été trop facile de deviner que je cachais quelque chose. Mais maintenant je ne sais pas quand je vais la croiser la prochaine fois, je n’ai plus de base pour un plan il faut que je réfléchisse à tout cela. Il me reste à mon avis pas beaucoup de temps car cette île est plutôt petite…
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Posté le 14/11/2007 à 16:19:36 

14 Novembre : Les Olympiades sont finies. La Barbu Team à gagner, ils ont gagné, pas moi, je n’ai fait que leur faire perdre des points, j’ai complètement oublié la recherche d’Anne c’est derniers temps. Je suis tendu, trop tendu, il me faut me détendre. Je me suis renseigné sur quoi faire aux médecins de l’île il y a de cela 5 jours. Tous m’ont dit une chose. Tente de te lancer dans la culture de l‘herbe. Je ne comprends pas là où ils voulaient en venir. Ils m’ont donné tous ces plantes, je m’en occupe et ils m’ont dit que je devais les utiliser. Je me suis renseigné par la suite et j’ai appris à le faire bien. Maintenant je suis moins tendu mais je n’ai pas toujours conscience de ce qui se passe autour de moi. Comme le jour des récompenses des Olympiades. Je ne sais plus ce qui c’était passé. Le lendemain je me suis juste réveillé ce matin avec la gueule de bois, une bouteille de Sasékoi, une de rhum et une de champagne à côté de moi. Il me faut rechercher Anne je me suis trop reposé. Je n’aurai point dû. Mon cœur s’emballe à l’idée de la rechercher, après tout, je lui ai laissé le temps de se remettre de se deuil. Mais je n’ai pas assez de connaissance pour cela, savoir où elle est. Elle a sûrement dû voir l’avis de recherche à PL, j’ai appris que les pirates l’avaient pillé, elle devait en faire parti à ce moment. Je suis un piètre chasseur, un piètre bretteur, et encore un tireur novice. « MAIS QU’EST-CE QUE JE FOUS BORDEL ! » Mais que dois-je faire à la fin je suis perdu ! Dois-je faire quelque chose ? Dois-je mettre au courant certaines personnes de mon entourage pour avancer ? Serais-se mieux ? Ma tête va exploser j’en ai vraiment l’impression, vite ces putains de plante! Je fume un peu et commence à avoir la tête qui tourne puis à vivre les actions au ralenti avec cette impression de bien à l’intérieur. Je m’allonge et fume tranquillement. http://img134.imageshack.us/img134/7656/liquidsnakeri0.jpg Je regarde le ciel, si bleu si simple. Un mélange de bleu, blanc et doré… Les nuages passent lentement et le soleil brille de mille feux. Le soleil cette lumière que tout être voit tous les jours… Je m’endors doucement le cœur léger.
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Posté le 18/11/2007 à 16:03:07 

18 Novembre: A la poursuite de ma route sur le trajet vers Esperanza on m’apprit de nombreux problèmes à la cour de justice. Donc je me renseignais sur ce qu’on me disait dans la lettre. Gaart avait tué un espagnol du nom de Pacharan. Encore cet espagnol là… Je réfléchissais donc ce que je pouvais faire pour Gaart, j’écris à celui-ci lui demandant pourquoi il avait tué Pacharan alors que nous avions un PNA. Il m’apprit qu’il était tranquillement avec Oog et que celui-ci avait utilisé des termes peu galants en parlant d’Oog et que Gaart l’avait tué pour son insolence. L’espagnol était donc tout de même en tort, incitation au meurtre, cela peu couté chère, mais seulement c’est Gaart qui est allé à la cour de justice de son plein grès, Pacharan n’a pas déposé de plainte. « Mais qu’est-ce que tu fou Gaart ?! Pourquoi y aller alors que personne ne se plaint ?! Qu’est ce qui t’est passé par la tête ! » C’est ainsi que je décidais de me détendre un peu, je croisais un marchand itinérant sur mon trajet. Je pris quelques roses et 10 barriques de rhum. Je me bus tranquillement le rhum et me balader maintenant dans un état fort peu recommandable quand on sait où en sont les relations entre hollandais et anglais… http://img411.imageshack.us/img411/4739/54840550be9.png Je m’arrêtais pour la journée auprès d’un arbre et m’endormis tranquillement en vomissant toutes mes tripes dans le buisson du coin. Le lendemain allait être fort difficile mais pour le moment je ne m’occupais que d’une chose. Eviter de vomir sur une personne et essayer d’éviter de m’endormir sur ce qui était sortit de moi… Plus le temps passe, plus mes hauts le cœur s’emballent…
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Posté le 24/11/2007 à 18:51:57 

23 Novembre : J’entendais le sang battre dans mes tempes… Mon cœur bat plus vite qu’à son habitude, la guerre approche, une envie de sang me prends. Ces français nous ont provoqué ils n’auront que le juste retour des choses. Ils se moquaient de notre justice et non rien fait de leur côté et maintenant qu’ils croient que l’on néglige leurs affaires certains se plaignent que l’on ne s’occupe pas de leurs cas ! Je fume un join cela ne me détends pas. La petite Octarine et quasi la seule à réussir à me calmer rien que quand je la vois… Je revois Erika en elle… Elle lui ressemble tellement. Si petite, si naïve… On est tous passé par là et on sait tous ce que ça apporte, une souffrance par la suite quand on découvre ce qu’est la vie. Je n’arrive pas à bien m’intégrer dans la LGD, je n’ai passé aucun moment avec eux, je suis trop réservé, renfermé sur moi-même. A chaque fois que je croise un des membres je sens mon cœur battre à tout rompre. Je n’ai aucun tact et manque d’esprit pour suivre leur discussion. Je veux aider mais n’y arrive pas. La seule personne à qui j’ai vraiment parlé dans cette guilde c’est Gaart, et encore c’est juste pour des conseils pour m’entrainer au tir. Oog est gentil mais je n’ose l’approcher trop, quand à Jade, la dernière fois que je l’ai vu ça remonte à la corniche où nous nous sommes seulement croisés… 24 Novembre: Je me lève ce matin, et revois ma cicatrice à l’épaule. Aurais-je complètement oublié Anne ? Je suis ridicule. Je dois la chasser, mais priorité à la Hollande, mes affaires attendront que la guerre qui se prévoit se finisse. Je me lève m’étire un coup en m’en vais en direction de Ulungen, la ville de lumière, pour protéger celle-ci les GIGN sont présent mais je pense leur donner un coup de main, mon aide leur sera peut-être utile, mais peut-être pas non plus… En allant vers la sortit je vois un français, un large sourire aux lèvres, il a l’air heureux… Je m’en vais lui retirer de suite sa joie, il n’a pas le droit d’être heureux en ces temps toublés… Je vide mes bastos sur lui et l’achève à coups de sabre et ensuite file un coup de pieds au chat qui passait dans le coin. Cette saloperie de chat m’a défoncé la jambe avec ces griffes en tentant de s’y accrocher. Je ne sais même pas pourquoi j’ai shooté dedans… Ce chat me disait quelque chose en plus, comme une impression de déjà vu…Enfin bon des chats sauvage il y en a tellement que je dois le confondre avec l’un de ceux que j’ai déjà vu. J’essuie ma lame, prends l’argent que l’homme portait sur lui puis reprends ma route qui sera longue avant d’arriver à Ulungen. J’arriverai peut-être un peu tard, mais mieux vaut tard que jamais…
 

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